Injections C19 - Commission internationale d'investigation criminelle avec Reiner Fuellmich

 De : https://anamihalceamdphd.substack.com/p/icic-international-crimes-investigative? 

Commission internationale d'investigation criminelle . Nanotechnologie : structures auto-assemblées des injections à ARNm , avec Dr Ana Mihalcea, Karen Kingston, Dr Nixon, Shimon Yanowitz, Dr Mike Yeadon

par : Dr Ana Mihalcea MD , PhD  27 novembre 2022

Voici le lien vers cet épisode :

Nanotechnologie : structures d'auto-assemblage dans les injections d'ARNm

Dans cet épisode d'ICIC, le Dr Reiner Fuellmich et le co-animateur Dr Mike Yeadon ont une conversation perspicace avec quatre experts sur ce sujet explosif.

À l'aide de la microscopie à fond noir, le Dr David Nixon examine des échantillons de sang de personnes qui ont reçu une injection de substances à base d'ARNm et explique les résultats avec les images correspondantes. Des structures cristallines non naturelles sont révélées, qui changent lors d'observations ultérieures et présentent les caractéristiques d'une sorte de nano- ou micro-technologie.

Pour plus d'informations, voir : https://drdavidnixon.com/

Le Dr Ana Maria Mihalcea est intensément impliquée dans la recherche  des ingrédients des substances  des injections Covid. En particulier, également avec le soi-disant "effet d'excrétion" qui laisse  supposer que les excrétions nocives peuvent être transférées de "vaccinés" à "non vaccinés".

Karen Kingston, dont les intérêts de recherche incluent la toxicologie et l'analyse des données cliniques ainsi que les ingrédients des substances d'ARNm covid, se plaint que toutes les mesures concernant une gestion de l'assurance qualité fonctionnelle dans l'administration d'une soi-disant nouvelle "vaccination" à des milliards de personnes dans le monde ont échoué et ne sont toujours pas mises en œuvre après la situation déjà médiocre des données.

Pour l'ingénieur électricien Shimon Yanowitz, les résultats de ses recherches ont montré qu'il s'agit d'une sorte de micro-technologie, car les substances injectées changent étrangement dans le corps humain et ont des caractéristiques de circuits électroniques. Il est également troublant que les nanoparticules lipidiques trouvées dans les substances aient été approuvées en tant que "dispositifs techniques", comme le rapporte Karen Kingston.