Harcèlement en réseau - ondes - Rennes
Dans beaucoup de bibliothèques universitaires ( Ecole Polytechnique – UQAM -Montréal-Canada , par exemple ) , et dans la plupart des bibliothèques municipales du monde disposant d’internet, le visiteur de passage est gratifié d’un temps de connexion gratuit.
L’entrée de la bibliothèque de Harlem –NYC, avait cependant été un peu plus difficile.
Cette gratuité de connexion existe également dans certaines agences bancaires en Nouvelle Zélande.
Là, ce jour d’avril 2014, c’était à la bibliothèque de Rennes (35) France, que j’avais sollicité 20 minutes de connexion. Pour cela, le préposé m’avait fourni un post-it avec identifiant et mot de passe . Normal.
J’avais donc tenté ma connexion, ce post-it en main, et obtenu l’indication bizarre qu’il ne restait que 19 secondes de connexion. La connexion avait stoppé après 19 secondes. Comme prévenu. J’avais récidivé et obtenu une seconde fois la même réponse : temps restant 19 secondes
Impossible… sauf ordinateur détraqué.
Le préposé informé , avait annoncé qu’il allait vérifier. Il était venu, déposant subrepticement un nouveau post-it sur le côté de l’ordinateur . Feignant de le découvrir il avait annoncé que seul celui-ci portait son écriture, assurant que celui que j’avais en main avait été écrit par quelqu’un d’autre . ? !?! ?
J’avais fait « bécassine » . La Bretagne , c’est le bon endroit pour ça.
Après ces 20 minutes de connexion offertes, j’avais migré vers une table pour lire un journal . Sur la paroi derrière moi , une étagère longue d’une dizaine de mètres, présentait des revues en libre service.
Au bout d’un moment, un paquet de 3 revues expulsées de l’étagère du haut avait été se crasher bruyamment au sol. Juste derrière moi . Puis une autre. Puis une autre.
Le grand monsieur noir juste à côté avait parlé de « magie » . J’avais répondu « sciences physiques et ondes « Un autre lecteur de journal , juste en face avait compris et déguerpi.
Derrière l’étagère à revues, se trouvait une salle technique et sans doute des techniciens rigolards, amateurs d'ondes pulsées et harceleurs.
Ces manigances anecdotiques pourraient aussi servir à déconsidérer une situation globale gravissime de torture par ondes pulsées au cerveau , en la présentant et transformant en sorte de jeu pour techniciens débiles.
Elles valent cependant la peine d'être notées parce qu'elles participent du harcèlement en réseau qui est mondial et incessant et mérite d'être décrit et reconnu .
Ainsi, les manipulations, par les techniciens locaux et à distance , de l'ordinateur sur lequel je travaillais dans la salle des microfiches à Montréal m'avaient fait perdre 3 heures de recherche et de travail.
La capture frauduleuse du mot de passe de mon blog Paranormaldutout.wordpress.com , à la bibliothèque d'Etat de Perth ( Australie) par le préposé aux connexions de visiteurs m'avait fait perdre mes données et mon temps.
La capture frauduleuse d'un mien texte, par le préposé de la bibliothèque de BERGEN (Norvège) qui en avait fait une impression ( information donnée par mon écran) avait été une source d'indiscrétion préjudiciable et en cascade .
Dans cette ville aussi , comme à Dunedin en Nouvelle Zélande,( raconté sur un blog précédent) * et dans bien d'autres endroits , c'était la police qui faisait le suivi et la provocation de harcèlement en extérieur.
En sortant de la bibliothèque de Rennes , j’avais demandé au préposé aux post-it la direction des toilettes. Pour voir.
A Montréal, par exemple, à la bibliothèque de l'Ecole Polytechnique , le surveillant de la salle venait même continuer son harcèlement dans les toilettes des femmes.
Là, à Rennes , j'avais eu la paix.
Lors d'une ballade devenue habituelle , au bout de "l'échelle de Jacob" , entre un parcours de golf et un quartier résidentiel , une voiture de police avait fait une manoeuvre pour me frôler, me forçant à sauter dans le fossé. En me retournant, j'avais vu une caravane de 3 grosses voitures toutes semblables et dont l'immatriculation ne différait que d'une lettre. Je m'étais approchée pour constater que chaque conducteur unique occupant , se tassait sur son siège. Comme pour passer moins aperçu. Et les 3 voitures avaient fait un Uturn en plein milieu de la route , pour repartir. Seule la voiture de police avait continué son chemin.
L’entrée de la bibliothèque de Harlem –NYC, avait cependant été un peu plus difficile.
Cette gratuité de connexion existe également dans certaines agences bancaires en Nouvelle Zélande.
Tag d'immeuble - Rennes |
Là, ce jour d’avril 2014, c’était à la bibliothèque de Rennes (35) France, que j’avais sollicité 20 minutes de connexion. Pour cela, le préposé m’avait fourni un post-it avec identifiant et mot de passe . Normal.
J’avais donc tenté ma connexion, ce post-it en main, et obtenu l’indication bizarre qu’il ne restait que 19 secondes de connexion. La connexion avait stoppé après 19 secondes. Comme prévenu. J’avais récidivé et obtenu une seconde fois la même réponse : temps restant 19 secondes
Impossible… sauf ordinateur détraqué.
Le préposé informé , avait annoncé qu’il allait vérifier. Il était venu, déposant subrepticement un nouveau post-it sur le côté de l’ordinateur . Feignant de le découvrir il avait annoncé que seul celui-ci portait son écriture, assurant que celui que j’avais en main avait été écrit par quelqu’un d’autre . ? !?! ?
J’avais fait « bécassine » . La Bretagne , c’est le bon endroit pour ça.
photo : wikipédia |
Après ces 20 minutes de connexion offertes, j’avais migré vers une table pour lire un journal . Sur la paroi derrière moi , une étagère longue d’une dizaine de mètres, présentait des revues en libre service.
Au bout d’un moment, un paquet de 3 revues expulsées de l’étagère du haut avait été se crasher bruyamment au sol. Juste derrière moi . Puis une autre. Puis une autre.
Le grand monsieur noir juste à côté avait parlé de « magie » . J’avais répondu « sciences physiques et ondes « Un autre lecteur de journal , juste en face avait compris et déguerpi.
Derrière l’étagère à revues, se trouvait une salle technique et sans doute des techniciens rigolards, amateurs d'ondes pulsées et harceleurs.
Ces manigances anecdotiques pourraient aussi servir à déconsidérer une situation globale gravissime de torture par ondes pulsées au cerveau , en la présentant et transformant en sorte de jeu pour techniciens débiles.
Elles valent cependant la peine d'être notées parce qu'elles participent du harcèlement en réseau qui est mondial et incessant et mérite d'être décrit et reconnu .
Ainsi, les manipulations, par les techniciens locaux et à distance , de l'ordinateur sur lequel je travaillais dans la salle des microfiches à Montréal m'avaient fait perdre 3 heures de recherche et de travail.
La capture frauduleuse du mot de passe de mon blog Paranormaldutout.wordpress.com , à la bibliothèque d'Etat de Perth ( Australie) par le préposé aux connexions de visiteurs m'avait fait perdre mes données et mon temps.
La capture frauduleuse d'un mien texte, par le préposé de la bibliothèque de BERGEN (Norvège) qui en avait fait une impression ( information donnée par mon écran) avait été une source d'indiscrétion préjudiciable et en cascade .
Dans cette ville aussi , comme à Dunedin en Nouvelle Zélande,( raconté sur un blog précédent) * et dans bien d'autres endroits , c'était la police qui faisait le suivi et la provocation de harcèlement en extérieur.
En sortant de la bibliothèque de Rennes , j’avais demandé au préposé aux post-it la direction des toilettes. Pour voir.
A Montréal, par exemple, à la bibliothèque de l'Ecole Polytechnique , le surveillant de la salle venait même continuer son harcèlement dans les toilettes des femmes.
Là, à Rennes , j'avais eu la paix.
Lors d'une ballade devenue habituelle , au bout de "l'échelle de Jacob" , entre un parcours de golf et un quartier résidentiel , une voiture de police avait fait une manoeuvre pour me frôler, me forçant à sauter dans le fossé. En me retournant, j'avais vu une caravane de 3 grosses voitures toutes semblables et dont l'immatriculation ne différait que d'une lettre. Je m'étais approchée pour constater que chaque conducteur unique occupant , se tassait sur son siège. Comme pour passer moins aperçu. Et les 3 voitures avaient fait un Uturn en plein milieu de la route , pour repartir. Seule la voiture de police avait continué son chemin.
Commentaires
Enregistrer un commentaire