HCR,HCE, Toronto, Chicago, New York
HCR = harcèlement criminel en réseau
Il y a criminalité parce que la finalité des poursuites et de la surveillance est de torturer par tirs d' ondes pulsées au cerveau
HCE = harcèlement criminel électronique . Cela consiste à propulser une énergie à travers les murs, en visant une personne (tête et corps)
Pour Toronto , ça avait été un départ, mais avec réservation, dans la nuit du 31 décembre 2012. Espérant une trêve de fête. Les 3 nuits sur place au Holiday in du centre ville avaient ressemblé à ce que je vivais depuis déjà 8 mois : un matraquage violent qui fouettait le cerveau en continu , empêchant tout repos.
Le retour était prévu par réservation vers Paris. Sans rien annuler , je m’étais déroutée en espèces sur Chicago.
Le portail électronique de la police avait hurlé à mon passage faisant rigoler un grand flic noir. Au lieu d’un nouveau contrôle avec l’appareil manuel, il s’était contenté de me passer un papier de soie sur les paumes . Pour savoir qui j’avais fréquenté pendant mon séjour répondra-t-il.
C’était la grande marrade.
Anonyme , croyais-je.
Le temps en salle d’embarquement sera le deuxième moment a prouver le contraire par un mitraillage de piqûres sur toutes les parties hautes du corps. Aucun endroit de la salle n’en protégeait.
Et ça avait continué pendant le vol Toronto- Chicago, comme si un voisin de siège avait dans son sac ce qu’il fallait pour ça.
Sans réservation, à Chicago, j’avais essayé avec succès l'Avenue Hôtel. Gratifiée d’une chambre à larges baies vitrées, je n’avais eu aucun répit. Les tirs d’ondes ressentis au cerveau avaient été aussi violents, constants, qu’ épuisants .
Après 3 nuits de ce traitement, j’étais partie pour New York. Sans réservation , le Library Hotel pouvait garantir 3 nuits, seulement. Là, pas de larges baies vitrées . De hauts immeubles très près et tout atour. Idéale protection .
Et pourtant , les tirs d’ondes qui visaient la tête n’avaient pas cessé une seule nuit. J’y avais saigné du nez pour la première fois. Pas la dernière.
Pour des nuits suivantes ça avait été l’Amsterdam Court, géré par des descendants d’algériens. Pour la première fois les bruits du matériel poussé contre le mur de la chambre voisine, juste avant le début des tirs d’ondes avaient été notoires.
Et le beur sortant de la chambre voisine aussi.
Comme plus tard à Rekyavik puis à Budapest. Eux et moi, on ne se quitte pas.
A New York cette fois-ci comme la précédente, le harcèlement criminel en réseau avait été d’une absolue efficacité . J’en avais reconnu les méthodes. Elles m’avaient été infligées 3 ans plus tôt dans les bibliothèques de Montréal, à peu de variantes près : carte de bibliothèque refusée, mot de passe refusé, ordinateur qui se mettait en berne en me voyant …… enfin presque etc....
Une cible apprend ainsi à ses dépens la centralisation du commandement de la malfaisance et la fabrication de tout dysfonctionnement de matériel par des humains. Ici, encore, par les informaticiens qui géraient tout à distance, de leur poste de contrôle.
Mais surtout , elle réalise l'existence d'une entente globale inconditionnelle pour brimer, maltraiter et torturer sans raison et avec un matériel qui est disponible PARTOUT.
Ce voyage qui n’avait permis de repos que parfois dans les avions , avait été riche d’informations de confirmation de cette surveillance organisée partout et de la disponibilité de tout matériel de torture avec exécutants, exactement de la même façon, à l’échelle planétaire.... et dans les endroits censés les plus recommandables.
Et pour tenir le coup, il reste ça.
Il y a criminalité parce que la finalité des poursuites et de la surveillance est de torturer par tirs d' ondes pulsées au cerveau
HCE = harcèlement criminel électronique . Cela consiste à propulser une énergie à travers les murs, en visant une personne (tête et corps)
Pour Toronto , ça avait été un départ, mais avec réservation, dans la nuit du 31 décembre 2012. Espérant une trêve de fête. Les 3 nuits sur place au Holiday in du centre ville avaient ressemblé à ce que je vivais depuis déjà 8 mois : un matraquage violent qui fouettait le cerveau en continu , empêchant tout repos.
Le retour était prévu par réservation vers Paris. Sans rien annuler , je m’étais déroutée en espèces sur Chicago.
Le portail électronique de la police avait hurlé à mon passage faisant rigoler un grand flic noir. Au lieu d’un nouveau contrôle avec l’appareil manuel, il s’était contenté de me passer un papier de soie sur les paumes . Pour savoir qui j’avais fréquenté pendant mon séjour répondra-t-il.
C’était la grande marrade.
Anonyme , croyais-je.
Le temps en salle d’embarquement sera le deuxième moment a prouver le contraire par un mitraillage de piqûres sur toutes les parties hautes du corps. Aucun endroit de la salle n’en protégeait.
Et ça avait continué pendant le vol Toronto- Chicago, comme si un voisin de siège avait dans son sac ce qu’il fallait pour ça.
Sans réservation, à Chicago, j’avais essayé avec succès l'Avenue Hôtel. Gratifiée d’une chambre à larges baies vitrées, je n’avais eu aucun répit. Les tirs d’ondes ressentis au cerveau avaient été aussi violents, constants, qu’ épuisants .
Après 3 nuits de ce traitement, j’étais partie pour New York. Sans réservation , le Library Hotel pouvait garantir 3 nuits, seulement. Là, pas de larges baies vitrées . De hauts immeubles très près et tout atour. Idéale protection .
Et pourtant , les tirs d’ondes qui visaient la tête n’avaient pas cessé une seule nuit. J’y avais saigné du nez pour la première fois. Pas la dernière.
Pour des nuits suivantes ça avait été l’Amsterdam Court, géré par des descendants d’algériens. Pour la première fois les bruits du matériel poussé contre le mur de la chambre voisine, juste avant le début des tirs d’ondes avaient été notoires.
Et le beur sortant de la chambre voisine aussi.
Comme plus tard à Rekyavik puis à Budapest. Eux et moi, on ne se quitte pas.
A New York cette fois-ci comme la précédente, le harcèlement criminel en réseau avait été d’une absolue efficacité . J’en avais reconnu les méthodes. Elles m’avaient été infligées 3 ans plus tôt dans les bibliothèques de Montréal, à peu de variantes près : carte de bibliothèque refusée, mot de passe refusé, ordinateur qui se mettait en berne en me voyant …… enfin presque etc....
Une cible apprend ainsi à ses dépens la centralisation du commandement de la malfaisance et la fabrication de tout dysfonctionnement de matériel par des humains. Ici, encore, par les informaticiens qui géraient tout à distance, de leur poste de contrôle.
Mais surtout , elle réalise l'existence d'une entente globale inconditionnelle pour brimer, maltraiter et torturer sans raison et avec un matériel qui est disponible PARTOUT.
Ce voyage qui n’avait permis de repos que parfois dans les avions , avait été riche d’informations de confirmation de cette surveillance organisée partout et de la disponibilité de tout matériel de torture avec exécutants, exactement de la même façon, à l’échelle planétaire.... et dans les endroits censés les plus recommandables.
Et pour tenir le coup, il reste ça.
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