Harcèlement en réseau- Broyage de cible

                               Partie supérieure de la porte du tribunal administratif de PARIS

Dans le témoignage d'une harceleuse :
  http://gangstalkingsurfers.wordpress.com/confessions-of-a-gang-stalker-aka-life-in-the-syndicate/     et présenté en français à : http://lesharceleurs.wordpress.com/2014/03/08/lorganisation-2/  
le broyage de cible  est un phénomène  précis ou par délégation un membre de "l'organisation" utilisera sa fonction pour piéger    l'individu ciblé dans le système judiciaire.

Ici, par extension , le mot broyage, dans sa symbolique sociétale , sera utilisé pour désigner  toute action d'empêchement de solution pour des situations iniques , à l'origine  entièrement fabriquées avec la volonté de nuire.

Ce  broyage sociétal sert à  réduire une cible (citoyenne ou un citoyen)  à néant, en niant ses droits élémentaires  au droit, à la reconnaissance, voire à la connaissance.

Ceux qui s’y emploient le font sous couvert de leur qualité, de leur nom de métier ou de  leurs moyens  dans une fonction donnée. Dans l'anonymat ou avec l'aura de la dite fonction,  ils s’ auto-attribuent  une  possibilité  de nuisance radicale en participant à une mort sociétale collective  de la cible.

Un président d’association le fera en tordant le cou aux statuts.

Un président de conseil syndical le fera en manipulant la loi sur la copropriété et/ou  les copropriétaires . Il  pourra même doublonner sa capacité de nuisance en utilisant ses réseaux de compères ou confrères   pour des exactions complémentaires  et un pilonnage assuré de sa cible.

Un employé de la poste, encore  organe vital de communication , le fera en avertissant «  l’organisation  » par exemple   de la destination d’un courrier sensible de la cible et nécessitant une intervention sur place  d’un correspondant «  sûr  ».

Un juriste le fera en interprétant le droit ou la loi, voire  même en l’appliquant  stricto sensu , sans appréciation de la situation particulière qui lui est soumise .

L' employé d'un opérateur téléphonique et accès internet s'ingéniera à inventer des impossibilités de connexion ou des détournements. Etc ..

Ici, à la suite d'une incarcération hospitalière imaginée et manigancée   par deux jeunes internes du fameux hôpital européen Georges Pompidou , j'avais cherché une solution pour faire annuler le faux dossier qu'ils avaient fabriqué.

Une institution en charge d'éthique et de déontologie m'avait suggéré le référé.

Le référé/liberté du tribunal administratif convenait pile-poil à ce cas de figure.

En pleine nuit,  ma requête était prévue pour  partir en LAR   de la poste du Louvre. Incognito. FAUX. Un employé de type corse , sorti en trombe de la zone de tri , s'était précipité sur la boite où son collègue jettait les lettres acceptées. Le collègue  en fonction avait fait signe au grand corse d'attendre. La mienne de lettre  n'y était pas encore.
Inutile d'attendre pour observer la suite. Ils étaient là pour le reste de la nuit. Moi, pas.

Deux jours plus tard ,  la réponse  de Mr ROUVIERE, juge des référes disait que NON .



Au nom du peuple   français  Mr ROUVIERE


pensait qu'il n'y avait pas d'urgence à  rétablir mes droits bafoués en annulant un dossier inique , fabriqué dans le mensonge, par de jeunes spécialistes.


Monsieur ROUVIERE disait  là le droit , appliqué stricto sensu .

Et donc, pour faire rétablir le vérité de mon état et de ma situation,  piétinées par ces prometteurs médecins représsifs, il me  faudrait passer par un pourvoi en cassation  en Conseil d'Etat avec le concours d'un avocat au Conseil d'Etat et à la Cour de Cassation.
Très cher. J''en avais  déjà fait une fois la dépense , pour rien.
Mais ceci  pouvait  être, simplement et de nouveau,  considéré comme  le droit appliqué stricto sensu.

Ce qui l'est beaucoup moins est ce que Mr ROUVIERE avait décidé d'y ajouter pour verrouiller une situation  de cible à mort, et rassurer les médecins  à l'origine de ce piège habituel   :  une copie de sa décision  à tout le monde.


 Alors, avec  l'aide de l'horodateur du tribunal,


ma réponse était passée à la boite comme suit  :

Monsieur le Juge,

Suite à ma requête du 27 juin 2014, demandant l’annulation d’un faux dossier psychiatrique que s’apprêtent à utiliser des policiers par convocation , comme ils l’ont fait précédemment, vous avez décidé cette demande non acceptable, parce que selon vous dépourvue d’urgence.

Votre courrier m’en informant précise que vous allez donner copie de votre décision aux institutions hospitalières qui pratiquent des privations de droits constitutionnels de citoyennes , sans restriction.

Par la présente , je vous précise que votre  démarche constituerait une nouvelle atteinte à ma liberté et une ingérence dans ma vie privée et que je ne vous autorise pas à transmettre votre décision faisant suite  à ma requête,  à une autre  administration ou institution, quelle qu’elle soit.

Ces institutions ne sont pas propriétaires de ma vie , ni  destinataires de votre réponse qui m’est personnelle tout comme l’était ma démarche. Elles ne vous ont rien demandé, et votre décision ne change  rien à la situation inique qu’elles ont fabriquée, avec dossier archivé prêt à l’emploi en cas de besoin..
Avec mes respectueuses salutations.


Une anecdote comme tant d'autres .
Et un nouvel ennemi.

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