Harcèlement en réseau - Harcèlement électronique- les veilleurs de nuit
En participant au jeu de massacre relaté par cette histoire, et en venant taper dans ma porte en pleine nuit sans raison personnelle, ils ou elles donnent à voir le côté irrationnel de leur participation qui montre la réalité du harcèlement en réseau : une hargne collectivisée et vendue aux participants sous forme de jeu
.
Un veilleur de nuit d'hôtel prend sa fonction en début de nuit et reste sur place jusqu'à 5 ou 6 heure du matin. Il est souvent inconnu des clients, exception faite des nuitards ou des fétards.
Pour faire face aux imprévus, il a un accès aux informations informatisées de l'hôtel : nom et numéro de chambre des clients. Cela lui donne également les indications des chambres libres, disponibles pour y disposer tout matériel électronique de harcèlement.
Pour les urgences, le veilleur de nuit a à disposition les cartes ou clés /passe-partout de toutes les chambres , des locaux techniques ou/et issues de secours. Ce qui lui permet de se faufiler ou se cacher après être venu tambouriner sur une porte.
Arrivée au Mountain View Motel et sortant du bureau de la réception pour me rendre à mon studio loué, j'avais vu débouler une voiture pressée. Le conducteur, un vieux en costume sombre et à l'allure de notable avait accaparé le patron pour une discussion qui s'était prolongée dans la cour . Avec un air de père-fouettard , l'homme en costume sombre ne m'avait pas quitté des yeux pendant le transbordement de mes affaires en plusieurs tours, du coffre au studio.
La nuit suivante , à 3 h du matin, le proprio (?) était venu frapper 3 coups sur la fenêtre de ma salle de bain.
L'utilisation du 3, chiffre fétiche des frères 3 points se voulait évidente. Elle a été renouvelée , par ailleurs , dans d'autres établissements, dont au Best Western le Roof (56) ou le veilleur de nuit était une veilleuse... en service commandé par son patron/frère.
A l'hôtel Etap de Saint Sylvain d'Anjou, c'est la patron qui avait fait le ...
A l'hôtel du Bd Pasteur à Paris, le veilleur de nuit avait mis une chambre à disposition pour le matériel électronique.
Cela s'était passé de la même façon à l'hôtel 66 de Rejkyavik.
A l'Inga Guest House, il semble évident que le matériel avait été confié à la fille de la logeuse qui logeait au sous-sol, juste sous mon appartement.
La deuxième nuit, il avait tapé à 1h30 puis à 4h30. Des réveils qui étaient venus en complément des décharges électriques au cerveau et m'avaient incitée à aller lui parler. Descendue par l'escalier, je l'avais trouvé en cuisine en discussion avec quelqu'un qui s'était caché.
Le veilleur de nuit, teuton quadra élégant avait d'abord voulu éviter le sujet qui fâchait. De digressions en digressions « jamais-vu-ça-première-fois-incroyable-pourquoi-faire » il était arrivé à la vérification de l'orthographe de mon nom de famille.
Mais à ma question surprise directe « est-ce vous qui avez fait ça ? » la réponse avait été un « yes » presque penaud, mais sans possibilité de discussion autre.
Pendant l'après-midi mon bagage laissé dans la chambre, avait été délesté d'un objet . Ce vol était bien sûr destiné à alimenter le jeu des délinquants de base toutes ethnies confondues : violation du domicile A + vol d'objet surtout sans valeur puis violation du domicile B + dépôt du même objet.
A plusieurs reprises des objets moins anodins avaient fait l'objet d'une 2ème violation du domicile B + vol sec et sans retour de l'objet précédemment déposé.
Pendant la nuit, le harcèlement électronique y avait été espacé et brutal.
A 7h30, une voix étouffée, en provenance du voisinage , avait prononcé mon nom de famille . Ce n'était pas celui de ma fiche d'entrée dans l'hôtel . C'était celui de l'empreinte de ma carte de crédit connu du seul réceptionniste.
A mon départ, il avait tenté un sarcasme suave sur ma bonne nuit de sommeil . .. avant de commencer à comprendre que je n'étais pas dupe.
L'objet volé dans ma valise dans la chambre du Best Western, sera jeté dans mon coffre de voiture , laissée sur une aire de station service, pendant que je prenais un café, entre Lille et Paris.
Aux environs de cet endroit, une voiture harceleuse, obstinée et insistante s'appelait AJ 494 VP (59)
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