Harcèlement en réseau - tags et injures



Le premier tag  injurieux d'immeuble était personnalité.  Il avait été fait pendant une  nuit  sur le mur de  l’immeuble   du  4 rue Broussais.  C'était à peu près la période ( 1985) où j'avais  commencé à recevoir des magazines pornos sous films transparents en provenance de la région lyonnaise    . Là où habitait l'épouse de mon frère et son mari.
Ce matin –là  à Paris XIV, le mari de la gardienne était venu tambouriner  sur ma porte à pas d’heure. C’était un  lève-tôt, pied noir volubile plein de gouille et de bon sens . Comme son épouse chti,  il avait le cœur sur la main, toujours prêt à rendre un service ou donner un renseignement utile.
Mais  là,  je n’avais pas bien compris ce qui se passait . Il voulait que je lui suive et fissa. Il m’avait donné rendez-vous dans la rue.
Devant l’immeuble il avait préparé deux seaux de détergent et  avec  balais brosse . Il était déjà au travail en train d’essayer d’effacer  un énorme tag. 
Le tag comportait mon nom de famille  en toutes lettres  suivi d’une injure sexiste. 
Sans perdre de temps à réfléchir, et sur son avis , je m’étais échinée  à frotter .  Le nom  surtout.  C’était la priorité,  avant que la rue ne s’anime et que les voisins ouvrent leurs stores.
A cette époque là , je résidais  à Paris et dans cet immeuble , une moyenne de dix jours par mois. Et le reste du temps à travers le monde.  Je ne me connaissais pas d' ennemis déclarés ou plausibles. Et, croyais-je,  encore moins avec le niveau de langage utilisé sur le mur: «    putain    »
Il paraît que l'injure habituelle , dans le harcèlement en réseau aux adeptes  bourrés  de tics,  si , à destination d' hommes est :  «  pédophile  » 
Personne ne s’était manifesté après ce coup-là. Je n’avais jamais  su ou  compris qui avait fait cela..
De très nombreuses années plus tard,  la femme de ménage qui entretenait la maison  à Angers  pendant la maladie de ma mère, m'avait téléphonée complètement affolée et indignée.
Le muret devant la maison , située dans une cour privative ,  avait été tagué d’injures à l’encontre de ma mère,  alors  en fin de vie. Ce que personne n’ignorait.
La maison sur le côté  était celle du mécano violeur de domicile   du commissariat central d'Angers, B. Gasnier ,   ami d'un élu local de la région  G. Bouget,  lui-même copain de l'irresistible épouse de  mon frère.
Les perspectives d'héritage les agitaient .
 La maison d’en face  était celle  de la femme de l’étrangleur * , le peintre Pellerin qui convoitait la maison . Elle, la dame Pellerin, venait d'intenter un procès à ma mère mourante, pour exiger la mise  en état de la cour que son mari peintre avait dégradé.  La dame Pellerin, était par ailleurs employée de mairie et amie de la juriste-élue locale B. Sublard,  elle-même relation  de l'élu- local- copain- de- l'épouse- de- mon- frère . 
Un petit  monde de prédateurs de biens de femmes seules , qui préparait ses coups, à coups bas redoublés .
Dans la série des injures , les suivantes avaient  plutôt été  hurlées .  A Paris XIV 81 rue du Fbg St Jacques  , la déchainée  employée d'immeuble Maria Otila LELONG payée par mes charges aussi ,  donnera dans les propos injurieux  de folie  (2005)  . Et son mari , logé gracieusement  dans cet immeuble du 81 rue du Fbg St Jacques, en sa qualité d'époux    , m'annoncera un cassage de gueule. 
Tout cela parce que ces deux-là, n'avaient pas aimé mon exposition , dans le hall de l'immeuble, des photos   de LEURS dégradations de MES meubles   et faites pendant LEURS violations de  MON domicile.
A Dol de Bretagne (35), la propriétaire  Mme LEBLAY,  déversera  ses injures façon litanie avec un préférence pour le mot «    putain    »  (2007).  Elle avait un vocabulaire limité. Sa colère était née de sa faute . Elle avait mal rédigé le bail de location et n'allait pas réussir à empocher la caution comme prévu.
Et au 22 rue Ernest Renan , J-J WALTI,  prendra son tour , sans raison autre que  ses habitudes non contrariées et son plaisir,  à peu près à la même époque (2007 et +++) ,   et pour longtemps.   Ce qui avait alimenté quelques articles des blogs précédents et annexes.
Si je n'avais pas, à l'origine,  été désignée "CIBLE" par d'envieux ou haineux citoyens avides de détruire , dominer ou accaparer ce qui semble pouvoir l'être,  toutes ces personnes n'auraient sans doute jamais  osé étaler ainsi leur vulgarité.  
De nombreuses  cibles racontent  des situations similaires qui dénotent une tactique de tentative d'humiliation très habituelle pour museler la proie . 

* Cet homme s'était un jour jeté sur moi dans une tentative de strangulation. J'étais seule. Il était entouré de sa famille  ( épouse , père et beau-père) . Le beau-père avait fini par le maitriser en me disant "il faudra signaler à la police que je vous ai aidée "
Ma plainte avait été classée grâce à un faux témoignage d'un ancien gendarme, absent des lieux, mais qui avait certifié que l'étrangleur  avait seulement donné des coups dans mon véhicule. Un classique. 

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