Une arnaque au-dessus de mes moyens
Dessin de CHAVAL
Fripouille essayant de voler le porte-feuille d'un ministre
Sa réponse sur internet avait été rapide. Mon cas posé lui semblait vraisemblablement envi sageable. Il avait proposé de prendre le dossier en considération.
Une recherche complémentaire sur son site montrait une satisfaction maximale des clients et qui avait au moins deux explications possibles
- - Soit elle était complètement fabriquée
- - Soit le cabinet ne prenait que des cas assurés de prospérer.
L’homme représentait des victimes à la CEDH ce qui induisait implicitement ( peut-être) le respect de l’autre. Il faisait également état d’un diplôme en criminologie. C’était un plus , pour évoquer le type de nuisances de voisinage que je pourrais avoir à expliciter.En complément seulement .
Pour ce qui me concerne, je n’avais qu’une attestation de niveau , et délivrée par le même Institut de criminologie que le sien . Là, vous pouvez rigoler ! Sauf que cette attestation n’était qu’une humiliation voulue supplémentaire.
Dans cet Institut , le directeur , François HAUT , m’avait gratifiée de plusieurs démonstrations de harcèlement en groupe. A l’intérieur des locaux.
Le harcèlement criminel en réseau était le sujet prévu de mon mémoire.
Mais, pendant cet onéreux stage de criminologie , j’avais été bombardée de micro-ondes , non-stop. A Dol de Bretagne (35) avec en plus des V2K, et à Paris où je logeais chez un ami. A Paris, le micro-ondage était fait par un frère, un ex-ingénieur EDF à rosette, et voisin de l’appartement que j’occupais, cuite et abrutie.
J’avais changé d’endroit, avec une chambre chez l’habitante. Une prof de HEC.
Pendant le stage de criminologie , un harcèlement stupide et complémentaire avait été pris en main par un gendarme : L.
Je continue même de le soupçonner de m’avoir refilé la coqueluche de ses enfants , par bouquin interposé. SI, SI. Vous êtes ici, chez des vicieux aguerris . Défense de l’oublier.
L. m’avait quasiment obligée à accepter un bouquin qui ne m’intéressait pas. J’étais alors, encore polie et réservée. Je l’avais pris , peinant à le parcourir pour en citer deux ou 3 passages, au moment de le rendre.
Et j’avais attrapé une coqueluche carabinée.
Au moment de rendre le livre, je l’avais proposé en présence du gendarme à une autre stagiaire et avec sa permission.. Il s’était alors précipité sur le bouquin , pour l’intercepter et le retourner , en le secouant et en aérant plusieurs fois toutes les pages.
Bref pour revenir à l’avocat du début , mon analyse induisait à penser que le rendez-vous proposé était sérieux et aurait pu être tout autre .
Il était arrivé avec une cravate bleue , ficelée à la va vite , et avait posé son téléphone allumé sur la table. Il s’en servait comme transmetteur.
Et ça avait démarré avec des « c’est moi le juriste et je sais mieux que vous » que j’admettais volontiers mais qui m’avaient arraché un tonitruant
"Je me suis plantée"
. C’était de lui qu’il s’agissait. Même si je pouvais difficilement lui reprocher d’être un fiéffé bon vendeur de son service et un excellent harceleur en réseau avec une magistrale couverture . Tout simplement.
Ce jeune homme ne croyait pas au harcèlement électronique. C’était sa religion.
Et comme tous les harceleurs suffisants , il m’avait conseillé de voir un psy. Le prix exorbitant pour sa consultation bidon, seul, m’en aurait dissuadée.
C’était une superbe arnaque d’un des réseaux corporatistes ( juristes) de ce pays.
Il faut se souvenir que leur but est de ridiculiser et/ou humilier une cible tout en siphonnant son argent.
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