Germaphobie fabriquée et conditionnement

La germaphobie est un terme utilisé pour décrire la peur pathologique des germes.  C’est en général considéré comme un  problème  qui relève de la famille des TOC ( trouble obsessionnel compulsif) .

La personne germaphobe a sans cesse envie de tout désinfecter ou stériliser . Elle craint les contacts et  toutes les pollutions et saletés dont elle connait l’existence.
Un germaphobe est un mysophobe. Ce n’est pas une insulte. Seulement une autre façon de le dire . ( musos = souillure, phobos = peur  )

On trouve indifféremment l'orthographe germophobe  et germaphobe  sur internet.
Il parait que le mot germophobe n’est pas valide au Scrabble.

Pour nous éviter la contamination  et restreindre la propagation du SRAS-Cov-2  on nous a conditionnés par étape à la  germaphobie.  

D’abord  avec des conseils  répétés en boucle de  comportements adaptés ( se laver les mains en toutes occasions, éternuer dans son coude, rester chez soi en cas de suspicion d’infection etc) .
Puis est apparue  la peur du risque de tous mourir étouffés par le virus . Et un   nouveau slogan d’apparence citoyenne -solidaire s’est installé : il fallait obéir à toutes les consignes  de propreté et d’isolement pour protéger les autres .  Chacun devenait responsable de tous les autres . Comme à la guerre . Ne pas le faire aurait été assimilé à un comportement  quasi criminel.
Cela a facilité le passage des  conseils aux  ordres ,  acceptés sous la persuasion   d’un discours unique . Puis les ordres sont devenus  des  ordonnances et des décrets  qui ont permis de punir en faisant maltraiter  et payer les citoyens  récalcitrants.
Cet état de déshumanisation de la population  enfin soumise   par  une intégration forcée  de responsabilité collective, et  par  les sanctions et la brutalité autorisée à des fonctionnaires d'Etat ,  est pratique . Il  est entretenu par une propagande , qui relève de la saoulerie. 
 Pour ne pas se faire lyncher, en plus,  par les nouveaux germaphobes  ainsi fabriqués par cette crise , chacun accepte  un revêtement facial et  s'expose à l'inhalation forcée de toutes la fibres de plastique de ces  vieux masques  fourrés  dans/et sortis de/ la poche si besoin.

La germaphobie mondiale fabriquée par les dominants  , comme élément de conditionnement est explicitée par  Hiroyuki Hamada dans son texte original que l’on trouve à :
 https://www.globalresearch.ca/the-global-capitalist-cage-and-the-corona-crisis-solutions-by-those-who-have-created-the-problems/5727349
 

Il est traduit sans autorisation , et  comme suit à propos du passage sur  la germaphobie  : 
"Un comportement obsessionnel compulsif se manifeste pour acquérir un sentiment de contrôle. Elle oblige les individus en bonne santé physique à s'engager dans le nettoyage rituel de leurs parties du corps et de leur environnement, à tel point que leurs actions interfèrent avec leur vie quotidienne. L'action est purement psychologique et ritualiste. Les germaphobes ne sont pas rationnels, sanitaires ou sains. Tout comme les masques sales sont portés encore et encore. Tout comme les gens portent des masques dans les rues et les enlèvent immédiatement dès qu'ils s'assoient pour manger dans un restaurant fermé.

La logique et la raison n’ont pas d’importance pour ceux qui se livrent à des rituels de purification afin d’éviter d’affronter la vérité ultime sur le système et ses propres positions dans celui-ci. Les comportements rituels sont imposés par le système - distanciation sociale, port de masques, pas de rassemblement. L'obéissance et la soumission sont acceptées même si les mesures peuvent ne pas être efficaces pour réduire le risque de virus et que les effets néfastes des mesures peuvent dépasser la létalité supposée du virus (4), (6), (7), (8), (9) et (10). Au fur et à mesure que les comportements deviennent habituels dans les répétitions quotidiennes, les slogans qui les accompagnent s’incrustent  dans la psyché de la population. La crainte  de la  violence  et de souffrance se glissent  sous la conscience tandis qu’elle  met ces rituels en pratique . Les images de personnes noires abattues par des policiers, de dénonciateurs jetés sans pitié en prisons, etc. s'estompent pendant  qu’elle vérifie  que le masque est bien sur leur visage."

Dans un paragraphe précédent ,  et mentionnant la crise sanitaire en général , Hiroyuki Hamada  avait écrit ceci :

"Il va de soi que des mesures adaptées au risque du virus doivent être prises comme des précautions médicales légitimes, tout comme les fermetures occasionnelles d'écoles pendant une saison grippale, les précautions sanitaires de base pour éviter de tomber malade, la protection des personnes vulnérables, etc. jugé nécessaire. Mais une restructuration évidente d'une société de manière à infliger des mesures répressives de censure, l'interdiction de la libre réunion, la destruction des communautés, la restriction des droits de l'homme et la création d'opportunités commerciales lucratives pour la classe dirigeante devrait soulever de sérieuses questions. D'autant plus que le «nouveau virus» ne s'est pas avéré si nouveau (2) selon les scientifiques, et qu'il s'avère également moins meurtrier (3).

Alors que nous subissons les mesures de confinement de Covid-19, les riches et les puissants sont inondés de subventions, d'opportunités économiques, de décisions politiques pour les  «sauver», à base  de milliards et de milliards, tandis que le reste d'entre nous subit une restructuration néolibérale - perte des salaires, perte les droits des travailleurs , perte de  droits légaux et perte de  droits humains (4).

 
La dynamique  de ces  mesures Covid a été propulsée à travers notre société avec le même élan qu’un système de racket de protection. Tout comme le 11 septembre ou l’assassinat de JFK ont laissé de nombreuses preuves indéniables indiquant que les événements sont déterminants dans la transmission de projets économiques, la panique du Covid se situe dans le contexte d’un réseau d’intérêts financiers (5). La propagande et la désinformation avec des preuves cruciales indiquant des conflits d'intérêts de la part de grandes institutions internationales ayant des liens commerciaux et militaires étroits - le Forum économique mondial, l'OMS, la Fondation Bill et Melinda Gates, diverses ONG de premier plan, des agences gouvernementales et des entreprises géantes - font passer le message que cela exige l’acceptation  inconditionnelle de la population. Dans un tel contexte , les informations sur le virus, les incohérences et toutes les autres  questions qui se posent,  alimentent le doute.

Ce doute entraine la possibilité que ceux qui prétendent vous protéger soient en fait les auteurs de la souffrance  et du tourment. Le peuple fait face à une crise d'identité catastrophique: il fait face à une dissonance cognitive majeure. Aucune quantité de faits ne changerait leurs positions. En fait, plus ils en savent, plus ils sont effrayés et décidés à  s'en tenir aux rituels Covid sanctionnés par l'État."