Nuit de châtiment sadique par violences d’ énergie pulsée après une journée de niaiseries

Image du site  NEXT-UP

Des pics d’énergie pulsée arrivent d’un côté de la maison, normalement complètement dénué de danger. Et pourtant,  les chambres  qui donnent sur cette partie de la maison sont invivables, comme chez  J-C Audebeau. Elles sont soumises à d’incessantes pulsations d’énergie, totalement  épuisantes . Parfois très violentes.
De ce côté qui devrait être sécurisant ,   la maison voisine est sans WiFi, occupée par une dame âgée et très malade. La maison à l’arrière est vide et en vente.

A la recherche de ce qui pourrait servir de relais ou d’amplificateur de signaux  dans cette partie de « ma » maison, il y avait éventuellement ce bidule inconnu,  fixé au niveau  de la toiture .

Interrogé, le propriétaire avait répondu  qu’il s’agit d’une ancienne prise d’arrivée de téléphone.
Les anciens téléphones dépendaient  donc d'une « pompe » et d'« un circuit vanne »

Le château , édifice public , et ses antennes,  se trouve de l’autre côté de la maison . La mairie interrogée sur les  propriétaires des antennes couronnant ce château d’eau avait aimablement répondu par une copie de  décision de 1974 . Cette décision  acceptait une antenne de 3 m de haut sur le château d’eau . 

Sauf problème de vue grave, la photo actuelle  montre 4 types d’antennes différentes , et une hauteur légèrement supérieure aux 3 m autorisés

Un autre PV de conseil municipal  plus récent , de 2004, et joint à ce courrier,  annonçait une" décision de refus  de nouvelle installation étrangère aux services sur les châteaux d’eau. "

Les  noms des services n’étant pas précisés ,  les implantations d’antennes avaient  continué, comme l’indique le site anfr cartoradio qui mentionne  les accords donnés en 2012 et 2017.

Il faut savoir , par ailleurs , que le site anfr cartoradio  ne référence pas les mini-antennes relais .

La gendarmerie numérique interrogée sur le même sujet  des antennes  du château d’eau , avait répondu illico que ce n’était pas un sujet pour elle.
Effectivement.
Aimablement, le préposé avait donné le numéro du service spécialisé …. Et j’étais ainsi entrée en relation avec une brigade de gendarmerie, pas du tout spécialisée, mais  à 235 kms de chez moi . 

Toutes ces interrogations et réponses  étaient  passées par internet et la ligne de téléphone , où mes ennemis semblent ne pas me lâcher  d’un appel ou d’une connexion. 

Le soir même, dès l’extinction des lumières , et malgré ma nouvelle cachette  de couchage improvisée, les tirs d’énergie  brûlants avaient commencé sans délai. Sans sommation. Traversant toutes les protections de feuilles d’aluminium disponibles superposées.
Un changement de lieu de couchage m’avait valu un bon quart d’heure de tranquillité  (énergie) angoissée ( appréhension) . Et les tirs avaient recommencé de plus belle.

Même une souris entrée se mettre au chaud  à un moment X et cachée  entre la  paroi  et les placards , avait couiné de douleur.