CENSURE - La vérité scientifique de Twitter
A partir du 21 décembre 2020, TWITTER ne permettra plus que l’on utilise son média pour énoncer autre chose ( concernant la crise sanitaire,) que ce qu’il a décidé comme étant la vérité scientifique a gober et commenter par ses utilisateurs.
https://blog.twitter.com/en_us/topics/company/2020/covid19-vaccine.html
TWITTER annonce donc : " Nous donnerons la priorité à la suppression des informations trompeuses les plus dangereuses et, au cours des prochaines semaines, commencerons à étiqueter les Tweets contenant des informations potentiellement trompeuses sur les vaccins.
En vertu de notre politique actuelle, nous exigeons déjà la suppression des Tweets contenant des informations fausses ou trompeuses sur:
- La nature du virus, comme la façon dont il se propage au sein des communautés;
- L'efficacité et / ou la sécurité des mesures préventives, des traitements ou d'autres précautions pour atténuer ou traiter la maladie;
- Les règlements, restrictions ou exemptions officiels relatifs aux avis de santé; et
- La prévalence ou le risque d'infection ou de décès.
ALORS
Prenant les devants d’une censure qui risque de se généraliser et existe déjà dans des médias devenus quasiment hystériques; censure qui fait aussi des ravages dans le monde médical-universitaire , le site Summit News propose les quelques informations suivantes
" Le New York Times et d’autres ont rapporté mercredi que des travailleurs de la santé en Alaska ont été hospitalisés pour une grave réaction allergique après avoir reçu le vaccin Covid-19 de Pfizer.
Ce développement fait suite à des rapports de la semaine dernière en Grande-Bretagne où certains travailleurs de la santé ont signalé des réactions allergiques graves au vaccin, ce qui a incité le régulateur médical britannique à avertir les personnes ayant des antécédents d'allergies de ne pas se faire vacciner.
Il existe une montagne de preuves documentées selon lesquelles certains vaccins peuvent causer des dommages et avoir des effets indésirables, et par rapport aux vaccins précédents, le vaccin contre le coronavirus est relativement non testé, en effet six personnes en sont même mortes pendant la phase précipitée du développement.
Les résponsables de la Food and Drug Administration (FDA) ont également révélé que certaines personnes qui avaient reçu le vaccin contre le coronavirus de Pfizer au cours de son essai avaient depuis développé la paralysie de Bell, une forme de paralysie faciale.
Les gouvernements américain et britannique ont déployé une technologie spécifique pour surveiller les effets indésirables du vaccin, car ils savent qu'il y aura de très nombreux cas."
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