Collecter l’ADN des humains pour préparer les guerres biologiques

 

C’est ce qu’affirme  sur Fox News , Gordon Chang, journaliste, juriste  et auteur américain d’origine chinoise. Le texte en anglais est à : https://www.foxnews.com/world/china-collecting-worlds-dna-sinister?cmpid=prn_newsstand

Gordon Chang est  également chroniqueur attitré de la revue américaine Forbes  . Ses articles sont aussi publiés dans The New York Times, The Wall Street Journal, International NewYork Times, Commentary, Weekly Standard, National Review, et Barron’s  


 En  2001,  analysant  les prêts improductifs des banques chinoises , Gordon Chang  avait annoncé  le probable effondrement de la Chine  pour cette même année. Cela avait été évité par la décision de Bill Clinton d’ouvrir l’OMC à la Chine en décembre 2001.


Dans l’entretien accordé à Fox News, chaine populaire et très conservatrice , Gordon Chang, développe une thèse familière aux spécialistes des risques biologiques : la menace d’une guerre biologique par la collecte d’ADN. 



 

" La Chine recueille l'ADN du monde pour une sinistre  raison , " affirme Gordon Chang


Gordon Chang prévient que la prochaine maladie pourrait être encore plus mortelle que le COVID-19

 https: //video.foxnews.com/v/6214196410001


" La République populaire de Chine (RPC) collecte l’ADN des gens depuis des années, et selon Gordon Chang, auteur de «The Coming Collapse of China», les sinistres motivations du pays devraient être une  préoccupation pour les États-Unis.


Avec plus de 80 millions de profils de santé, la Chine possède la plus grande base de données ADN au monde, et elle ne cesse de croître. Dans une interview accordée à Fox News, Chang a averti que la Chine prévoyait d'utiliser ces informations pour créer des armes biologiques conçues pour cibler des groupes ethniques spécifiques.


«Le coronavirus n'est pas le dernier agent pathogène qui sera généré à partir du sol chinois. Et nous devons donc craindre que la prochaine maladie soit plus contagieuse  et plus mortelle que le nouveau coronavirus », a déclaré Chang.


La Chine recueille l'ADN de ses propres citoyens à des fins d'application de la loi , pour  traquer des dissidents et organiser un État d’étroit contrôle par la surveillance  .

https://video.foxnews.com/v/6214015020001


Les chinois  ont également trouvé des moyens d'obtenir l'ADN des étrangers, y compris des Américains.

Comment  peuvent-ils obtenir  ces informations sensibles?

« En achetant  des entreprises américaines qui ont accumulé  des profils ADN, en  subventionnant  l'analyse ADN des entreprises qui s’occupent de généalogie et enfin par le piratage», a déclaré Chang.


Par exemple, en 2015, il a été découvert que la RPC avait piraté Anthem, la deuxième plus grande compagnie d'assurance aux États-Unis. Maintenant, la RPC utilise le coronavirus pour élargir sa base de données ADN en exigeant des codes QR internationalement acceptés lors des voyages à l'intérieur et à l'extérieur du pays et aussi  en utilisant la diplomatie vaccinale.


«Ce qu’ils font, c’est qu’ils disent:« Nous allons vous fournir ce vaccin, mais nous devons terminer nos essais et nous avons besoin de votre  population pour le tester. Si vous ne participez pas à ces essais, vous n'obtiendrez pas les vaccins chinois », a déclaré Chang.

Il a poursuivi: «Pékin tente d'étendre son influence en rendant son vaccin disponible.» Tout en «collectant des informations très sensibles sur des personnes en dehors de la Chine».


La Chine compte actuellement cinq candidats vaccins contre le coronavirus qui ont atteint les essais cliniques de phase 3. La phase finale des essais a été déployée dans au moins 16 pays, dont le Brésil, la Turquie, le Maroc et les Emirats Arabes Unis.


La Chine pour veut avoir accès à  ces informations pour pouvoir dominer   l'industrie de la biotechnologie, ce qui «est très important pour elle», a déclaré Chang.


« Ce but est inclus dans le projet «  Made in China 2025 ", a-t-il souligné," qui est un programme d'une décennie pour dominer certaines industries. "


La deuxième raison est beaucoup  plus sinistre: «La Chine essaie probablement de développer des maladies qui ne ciblent pas tout le monde, mais qui ciblent surtout certains groupes ethniques ou raciaux.» Selon Chang, les données génétiques donneront à la Chine la capacité de créer des armes biologiques capables de cibler des groupes de personnes. En outre, il a déclaré que  cette théorie est étayée par le fait que le  pays  collecte l’ADN des étrangers tout en interdisant  de transmettre l’ADN chinois aux chercheurs étrangers .


«Nous devons être extrêmement vigilants  parce que ce comportement  n'est pas cohérent avec  celui d’un pays qui veut coopérer avec le reste du monde. Cela est cohérent avec un pays qui développe des armes biologiques », a-t-il averti.


«Les gens ont dit que les armes biologiques ne fonctionnaient pas. Eh bien, nous savons que c’est faux  parce que nous avons le coronavirus, qui est ou pas   une arme biologique », a précisé Chang,« mais nous savons que cela a paralysé les États-Unis et c'est ce que Pékin recherche vraiment. »


Maintenant que la Chine a eu la preuve du concept, Chang a exhorté les États-Unis à agir rapidement et à empêcher la superpuissance d'obtenir plus d'ADN américain.

«Nous ne devrions permettre à aucune organisation chinoise ou affiliée chinoise de tester l'ADN des Américains. Et nous devons dire à la Chine, soit vous acceptez des inspections, soit nous nous retirons de la convention sur les armes biologiques. » 


La Chine a nié les allégations de certains prétendant que  la pandémie de coronavirus, serait issue  d'un laboratoire gouvernemental à Wuhan, et  serait  une arme biologique. En 1984, la RPC a signé la Convention sur les armes biologiques et à toxines (BWC)  qui lui interdit de développer, produire ou stocker des armes biologiques ou à toxines.



Ce 14-12, on peut lire dans l'article de France Soir http://www.francesoir.fr/politique-monde/des-fichiers-divulgues-revelent-une-infiltration-massive-dentreprises-britanniques

De son côté de multiples entreprises françaises travaillent avec la Chine en accord de coopération depuis longtemps, un des point d’intérêt actuel est bien sur l’institut Pasteur et la réalisation du laboratoire P4 de Wuham.  Après avoir formé de nombreux chercheurs chinois en France, Pasteur devait à l’origine avoir accès au P4 mais les Chinois se sont ravisés au dernier moment.  Si les sociétés britanniques sont infiltrées, ce ne serait pas étonnant que les sociétés françaises en soit autant.

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