Danemark - L' inhibiteur de méthane qui tue le bétail

 https://www.naturalnews.com/2025-11-04-danish-cattle-dying-after-government-mandated-bovaer.html

Au Danemark, le bétail mourrait en masse après que le gouvernement a imposé un inhibiteur de méthane pour modifier les émissions de gaz des vaches.

11/04/2025 // Lance D Johnson

Que se passe-t-il lorsque les enjeux climatiques mondiaux et les profits des entreprises convergent vers l'estomac d'une vache ? Il en résulte une expérience dangereuse et en cours sur notre alimentation, où des animaux vivants et sensibles sont traités comme de simples cobayes dans un laboratoire de manipulation à grande échelle. La volonté de traiter tout le bétail avec des inhibiteurs de méthane de synthèse comme le Bovaer est une mise en garde contre l'arrogance humaine, où l'équilibre complexe de la nature est sacrifié à l'illusion du contrôle. C'est l'histoire de ce qui arrive lorsque nous oublions que la vache est un élément sacré d'un cycle naturel et que nous tentons de la transformer en une machine docile au service d'une cause politique.

Points clés :

  • L'obligation, imposée par le gouvernement danois, d'utiliser l'inhibiteur de méthane Bovaer a été associée à une maladie généralisée du bétail, à une baisse de la production laitière et à des décès, selon des témoignages d'agriculteurs.
  • Le Bovaer, un produit chimique de synthèse, agit en perturbant un processus enzymatique fondamental dans le rumen de la vache, un système digestif perfectionné au fil des millénaires.
  • Malgré les affirmations de sécurité des fabricants et des organismes de réglementation, la fiche de sécurité du produit exige que les personnes qui le manipulent portent un équipement de protection, ce qui soulève de sérieuses questions quant à sa consommation via la chaîne alimentaire.
  • La réaction croissante des consommateurs, notamment les boycotts du lait, témoigne d'une profonde méfiance du public envers cette intervention menée par les entreprises.
  • Ce mandat représente un programme plus large de contrôle industriel sur l'alimentation et l'agriculture, reléguant au second plan les méthodes régénératrices naturelles éprouvées.

Prélude danois : un avertissement du front

Le Danemark sert actuellement de cobaye à cette expérience mondiale. En octobre, le gouvernement danois a rendu obligatoire l'alimentation de tout le bétail avec du Bovaer, un produit développé par le géant des biotechnologies DSM Firmenich. L'objectif était de réduire les émissions de méthane des vaches, un gaz à effet de serre ciblé par les militants écologistes. Or, le résultat, constaté par ceux-là mêmes qui prennent soin de ces animaux, est tout simplement catastrophique.

Kjartan Poulsen, président de l'Association nationale des producteurs laitiers danois, a confirmé la crise : « Nous recevons de nombreux appels de personnes très inquiètes de la situation dans leurs troupeaux. » Les témoignages sont alarmants : vaches qui s'effondrent, chute importante de la production laitière et animaux euthanasiés. Il ne s'agit pas d'une maladie nouvelle, mais de la conséquence directe d'une intervention chimique imposée par le gouvernement. L'expérience danoise constitue un avertissement clair pour le Royaume-Uni, qui prévoit d'appliquer une mesure similaire d'ici 2030, et pour tous les pays à qui l'on vend cette solution trompeuse.

Détournement du système digestif bovin : un jeu dangereux d'interférence enzymatique

Pour saisir la gravité de la situation, il faut d'abord comprendre la remarquable complexité du système digestif bovin. La vache est une véritable machine à recycler, conçue par la nature pour transformer les végétaux fibreux, impropres à la consommation humaine, en aliments riches en nutriments. Ce miracle se produit dans le rumen, une cuve de fermentation grouillant d'une faune et d'une flore microbiennes diversifiées. Ces microbes décomposent l'herbe et le foin et, ce faisant, produisent de l'hydrogène et du dioxyde de carbone. Un autre groupe de microbes, les méthanogènes, joue ensuite un rôle essentiel en transformant ces gaz en méthane, que la vache rejette. Il s'agit d'un processus naturel et équilibré qui assure la survie des bovins depuis des millénaires.

Voici Bovaer, dont l'ingrédient actif synthétique est le 3-nitrooxypropanol (3-NOP). Ce produit chimique est conçu pour perturber le rumen. Il inactive temporairement une enzyme essentielle, la méthyl-coenzyme M réductase, catalyseur indispensable à la production de méthane par les méthanogènes. En inhibant cette enzyme, le processus chimique est bloqué et la production de méthane chute. Les fabricants et leurs partenaires gouvernementaux célèbrent cette avancée comme une victoire. Mais quelles sont les conséquences de la perturbation d'un processus microbien fondamental qui a évolué pendant des millions d'années ? La maladie et la mort subites de bovins danois suggèrent que l'écosystème du rumen est bouleversé, avec des conséquences désastreuses pour la santé globale des animaux et la sécurité du lait et de la viande produits.

Allégations de sécurité et révolte des consommateurs

Les concepteurs de cette expérience, DSM Firmenich, assurent le public que Bovaer est « innocuité et efficacité prouvées ». Ils affirment qu'il se décompose en composés naturellement présents dans le rumen et ne se retrouve ni dans le lait ni dans la viande. Pourtant, un simple coup d'œil à la fiche de données de sécurité du produit révèle une réalité bien plus inquiétante. Celle-ci recommande aux personnes manipulant le produit de porter des masques et des gants afin d'éviter les risques liés aux fines particules de poussière. Cette contradiction flagrante soulève une question essentielle : si une substance nécessite un équipement de protection individuelle pour un simple contact, quelle logique justifie son ingestion quotidienne par un animal vivant destiné à notre consommation ?

Cette flagrante contradiction n'a pas échappé aux consommateurs. Au Royaume-Uni, l'annonce des essais menés par le géant laitier Arla a suscité une vive inquiétude. Les réseaux sociaux comme TikTok sont devenus un espace d'expression pour la colère publique, où les utilisateurs partagent des vidéos d'eux-mêmes jetant du lait à l'évier et promettant de boycotter les supermarchés vendant des produits issus de vaches traitées avec ces additifs. Ce mouvement citoyen témoigne avec force de l'intuition du public : quelque chose cloche profondément. Les gens s'interrogent sur la nature même de leur alimentation, se demandant s'ils consomment du lait provenant d'un animal génétiquement modifié, un produit pharmaceutique déguisé en aliment de base naturel. L'Agence britannique des normes alimentaires (FSA) a beau répéter les arguments de sécurité des entreprises, dans un monde post-COVID, le public se méfie de plus en plus des assurances officielles qui ne sont pas étayées par des études indépendantes, transparentes et à long terme menées sur l'humain.

La promotion de Bovaer est bien plus qu'une politique environnementale malavisée ; c'est une véritable mainmise sur le pouvoir. Elle centralise le contrôle de la production alimentaire entre les mains de quelques multinationales de la chimie et des biotechnologies, marginalisant les petits agriculteurs et les éleveurs pratiquant une agriculture régénératrice qui travaillent en harmonie avec la nature. Ces agriculteurs savent que des sols sains et des troupeaux bien gérés peuvent séquestrer le carbone et réduire l'impact environnemental sans recourir à des solutions synthétiques dangereuses. Le véritable complot réside dans le démantèlement systématique de notre lien avec une alimentation naturelle, sous le faux prétexte de la lutte contre le changement climatique. La question que nous devons tous nous poser est la suivante : allons-nous rester les bras croisés pendant qu'ils expérimentent sur notre alimentation et notre avenir, ou allons-nous exiger un retour à la raison et au respect de la nature ?

Les sources comprennent :

TheDailyBell.com

Substack.com

Énoch, Brighteon.ai

Brighteon.com



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