TORTURE PAR ÉNERGIE CACHÉE PULSÉE - Pour ÉLÉA

 Quelqu’un a posé la question des moyens de preuves  de la réalité du harcèlement électronique ( de vengeance) . 

Pour quelques cibles de harcèlement électronique, les agressions qui visent le cerveau  et privent de sommeil et  de repos , ne  peuvent être  définies  que par le mot TORTURE .

Cette torture est faite au moyen de technologie cachée qui pulse une énergie violente immatérielle vers la cible pour faire souffrir physiquement  le cerveau et souvent au point de hurler. 



Les amas de lignes vertes de ce clip vidéo indiquent les décharges électriques dans le  cerveau au moment d’une souffrance qui correspond  aussi à des éclatements sonores à l’intérieur de la boite crânienne . Ce phénomène est souvent expliqué par une brusque thermo-dilatation en réaction à la brûlure de l’énergie pulsée qui , dans cette histoire, traverse tout . 


Pour cette nuit encore, le cerveau  ainsi torturé, se trouvait  ( dans sa boite crânienne) sous une tente de Faraday qui  normalement protège des champs électromagnétiques environnants à partir de 100 MHz , mais sert surtout , ici, et  parfois , à éviter le repérage du corps  par les moyens de détection de l’engin tueur.


La tente de Faraday ne protège pas des impulsions. Elle atténue la violence des premières impulsions  vers le cerveau. Mais il faut vite s’en débarrasser ou ajouter autre chose en protection, car ces tirs d’énergie ont la particularité de forcir en fonction des résistances trouvées. 

En fait, pour éviter un AVC, il faut changer de place sans arrêt….. dans l’épuisement de l’inéluctable poursuite de l’appareil qui retrouve le corps et la tête jusqu’à ce que l’opérateur  décide d'arrêter sa poursuite sadique . 


Pour la nuit du 28 au 29 janvier 2021, cette poursuite avait cessé au petit matin




La cadence des déflagrations électriques dans le cerveau pendant l’heure où j’avais essayé de ne pas bouger avec l’EEG en enregistrement  était ainsi. 




La position des électrodes sur la boite crânienne pendant un enregistrement EEG est toujours ainsi : 

La sensibilité de l’appareil, conseillée par le technicien du fabricant est comme ceci : 



L’électricité produite par le cerveau est traduite  par la machine EEG en microVolts ( µV)


Le cerveau  à 21h33.23 , avant le premier tir d’énergie se présentait comme sélectionné en rouge . 


La partie suivante à droite  avec une masse compacte de bande vertes  très serrées  correspond à la déflagration électrique liée au premier tir d’énergie. 


A 23H33.24 l’énergie électrique,   quasi nulle , dans le cerveau présentait les valeurs suivantes données par gammes d’ondes cérébrales , au niveau de chaque électrode. Le tableau de gauche donne les gammes d’ondes cérébrales avec  leurs  spectres de fréquences. 



Au moment du premier tir d’énergie qui a éclaté sans les habituelles sensations de brûlures préalables,  soit directement sans préparation ou appréhension , le cerveau a réagi ainsi : 




On note ainsi que l’énergie électrique  à l’intérieur du cerveau est passée  en 8 secondes 

Par exemple

pour  FP1 en ondes DELTA de 1,5 microVolt   à 163. 826 microVolts

Pour FP2 , en ondes DELTA  de 7, 3 microvolts à  238.953 microVolts

Etc….


Après la violence de ce tir d’érigé  21H 33. 29 qui a perturbé le cerveau  pendant 4 secondes , jusqu’à 21H33 32, le tracé des ondes cérébrales se présentait ainsi  ( partie sélectionnée colorée en rouge) : 



Les carrées et rectangles verts , dans la bande en bas  où se trouve l’heure, correspondent aux déflagrations électriques suivantes . Elles sont toutes accompagnées d’éclatements sonores dans la boite crânienne 


On voit toujours à gauche de l’image le tracé compact  vert correspondant à la décharge électrique dans le cerveau  de ce premier tir d’énergie.

Le mot « outbreak » correspond à la reconnaissance de l’attaque.



Cette image donne à voir l’énergie électrique dans le cerveau à 21H33 36, soit 4 secondes après l’attaque du tir d’énergie. 


Dans une maison, loin de toute antenne relais,   sans aucun appareil électronique  produisant des micro-ondes,  et avec le Holter de l’EGG entouré de sept épaisseurs de mylar ( papier aluminium plastifié)  , un  détecteur de CEM ( champs électromagnétiques ) à piles,  qui enregistre en continu,  était placé près de moi, sous la tente de Faraday.

Il a  détecté et enregistré ceci au moment du premier tir d'énergie :  




Il faut savoir que souvent, il n’existe pas de détection d’énergie pulsée pour les éclatements sonores suivants . 

Comme s’ils se déclenchaient en interne .

Mais il existe,  à espaces aléatoires,   de nouveaux tirs violents à chaque changement de place de couchage . Un opérateur qui observe l'intérieur de ma maison, via un satellite ou un radar, enclenche son sytème de tirs/matraquages  d'énergie et qu'il déplace en suivant  mes changements de place .


La question du pourquoi de cette nuit  de violence sadique de vengeance  m’amène une nouvelle fois à une hypothèse très vraisemblable,  de vengeance bizarre,  et en provenance du monde judiciaire. 

Celui qui est lié aux réseaux criminels et  mafieux. 


En effet,  hier , journée sans problèmes,  la magistrate  assise des Sables d’Olonne a reçu ma   dernière lettre qui a du mettre en pétard.... certains.


L'autre hypothèse , et tout aussi vraisemblable , est la colère des pro-ondes qui auraient détesté le titre et le billet de :  http://lezarceleurs.blogspot.com/2021/01/la-technologie-sans-fil-facteur-majeur.html

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