RAPPEL- Le Covid-19 et son vaccin sont des armes biologiques pour contrôler les populations

 De:https://nouveau-monde.ca/linterview-du-dr-martin-par-reiner-fuellmich/

L’interview du Dr Martin par Reiner Fuellmich

[Source de la vidéo : Stéphane GAYET]



L’interview en anglais :

Dr-David-Martin-and-Reiner-Fuellmich from Stéphane GAYET on Vimeo.

Transcription en Français

[Auteur de la transcription inconnu]

La Covid-19 n’est pas un accident de laboratoire. C’est une arme biologique américaine. Le vaccin aussi ! C’est une question d’argent à gagner.

Tout ce que dit Dr Martin peut être utilisé dans une cour de justice et il a mis 20 ans à rechercher son sujet, à voir du côté des enregistrements des brevets et les documents FOIA (l’administration américaine est tenue de fournir des informations). Les mails de Antony Fauci récemment fournis y sont inclus. Il n’y a pas de spéculations. Il ne se penche pas non plus sur les motifs ultérieurs au-delà de ce qu’il a vu sur les documents officiels et vérifiés. Ce qu’il peut prouver sans conteste c’est que le Covid19 est une entourloupe motivée par le gain et ils ont mis 20 ans à la préparer.

Le SARS-CoV-2 n’est pas nouveau. C’est le même vieux SARS-COV-1 une arme biologique qui cible l’épithélium du poumon humain et Fauci en a chargé la production à l’université de Caroline du Nord. Le brevet date du 19 avril 2002. Des mois avant la soi-disant épidémie en Asie. C’est ce qu’il dit.

Dr Martin a la preuve que le Covid19 est une supercherie motivée par un gain financier et qui a mis vingt ans à préparer. Dr Martin voit que le SARS coronavirus a été breveté par le CDC, le 23 avril 2003. Pfizer possède les droits et Johnson et Johnson. Moderna téléphone au NIAID et obtient la séquence de la protéine à protubérance. Le but c’est d’obtenir un protocole de vaccin pour les adultes. Ils remplacent notre immunité naturelle avec l’ARNm. C’est de la biologie de synthèse

Peter Daszak en 2015 : « On aura besoin d’augmenter le désir d’un tel vaccin. Il faut que les médias nous aident et l’économie suivra. Il faut un battage puissant pour ce vaccin. Les investisseurs marcheront s’il y a du profit à faire. ». Daszak a corroboré la thèse de Wuhan. L’accident de labo est un leurre.

Voilà un pathogène fabriqué, une arme de destruction biologique injectée à un petit nombre pour vendre le vaccin. (L’injection a pu avoir lieu à Fort Detrict, à Paris ou à Winnipeg. Voir l’incarcération du Pr Fourtillan pour avoir révélé que l’Institut Pasteur à Paris avait aussi fabriqué le virus. Fureur du gouvernement français à l’endroit du professeur français. Et si le virus venait de Paris ?)

Ceci a démarré le 6 janvier 2004. Merck a commencé à écrire le script de cette histoire. La conférence s’intitulait SARS et bioterrorisme. La nouvelle normalité c’est eux. L’OMS, Fauci, Dr Elias de la Fondation Gates ont discuté.

Pour le variant Delta, on cherche des fragments. Il y a peu de nouveauté là-dedans et cela tient à la façon dont on séquence le génome. C’est un procédé de composition. On n’a pas de point de référence pour décider si la chose qu’on regarde est distincte du vieux Covid. C’est une altération, de la structure de lecture. Rien de nouveau, en fait.

Dr Martin est le directeur de l’organisation qui surveille les brèches et les violations des traités relatifs à la guerre biologique. Elle publie des noms et elle investigue ceux qui financent ces violations. Dr Martin : « On a vu tout de suite que ce n’était pas une question de santé publique, mais une campagne de marketing avec ses objectifs. Ils l’avouent eux-mêmes.

Quand j’ai une personne qui dit qu’il faut se servir des médias pour faire mousser les mesures médicales qui s’imposent, c’est-à-dire une injection d’une protéine recombinante chimérique et synthétique qu’on a développée avec un exercice de simulation par ordinateur, et que cette personne dit que les investisseurs suivront s’il y a du profit au bout, on a compris tout de suite.

Il y a 4000 brevets qui concernent le SARS. Avec son équipe, le Dr Martin a analysé toutes les manipulations. Et qui finance quoi ? Ils ont pris la séquence génétique indiquée par le ICTV. C’est le comité international sur la taxonomie des virus de l’OMS. Et ils ont comparé cette séquence avec celles des brevets enregistrés au début de 2020. Il y a 120 preuves sur les brevets qui prouvent que c’est toujours le même coronavirus.

Il n’y a pas de coronavirus nouveau. Il y a de subtiles modifications de séquence qui ont été additionnées. On a trouvé des brevets datant de 1999. Mais rien de neuf.

Le premier vaccin patenté de coronavirus a été développé par Pfizer. C’était la protéine à protubérance (spike). La première application date du 28 janvier 2000. Timothy Miller, Sharon Klepfer, Albert Paul Reed et Elaine Jones ont entré ce jour-là les détails du brevet US 6372224 avec la protéine à protubérance… pour le coronavirus canin. Jusqu’à 1999 ils enregistraient des vaccins pour les animaux. Ralph Baric a travaillé sur les lapins. Les éleveurs avaient des problèmes puis ce fut le cas de Pfizer avec les chiens.

Ce qui pose problème c’est que Fauci à NIAID a trouvé que la malléabilité du corona pouvait être employée pour un vaccin du SIDA.

Le SARS est une arme de destruction biologique et c’est fait de main d’homme. Pas une zoonose. Le 19 avril 2002, Fauci a donné instruction à l’université de Caroline du Nord de produire un coronavirus infectieux unique pour attaquer l’épithélium du poumon humain. C’est le brevet US7279327. Le brevet explique clairement que le récepteur ACE, le domaine d’adhérence ACE-2, la protéine à protubérance S1 et d’autres éléments étaient non seulement fabriqués, mais pouvaient être modifiés synthétiquement en laboratoire, en utilisant des techniques de séquençage génétique, en s’emparant du code généré sur ordinateur et en le tournant vers un pathogène ou son intermédiaire. Et cette technologie était subventionnée au tout début sur le fait qu’on peut se servir de cet outil pour faire du coronavirus un vecteur de distribution du vaccin contre le sida.

Maintenant cela se complique. Mon organisation a pour mission de surveiller les violations des traités sur la guerre biologique. Rappelez-vous, en septembre 2001, l’alarme de l’anthrax. Le Congrès nous avait chargés de voir d’où vient cet anthrax, mais aussi le médicament Ciprofloxacine de Bayer. Il sert à soigner l’anthrax. Donc vers la fin de 2001, on investigue les pathogènes viraux et bactériens qu’ils continuent de breveter via NIH, NIAID et USAMERIID, le programme militaire des forces armées à propos des maladies infectieuses.

Notre idée était que le coronavirus fut perçu non pas tant comme vecteur pour un vaccin, car il était manipulable, mais comme candidat pour la guerre biologique. Nous avons publié un article à ce sujet avant l’arrivée de l’épidémie SARS en 2001. Vingt ans après je répète la même chose !

Donc le début du SARS en Chine date de 2002. En avril 2003, le CDC s’est ému. Il a publié la séquence génétique de ce SARS. Or c’est une violation de 35 US code section 101. Vous ne pouvez pas breveter une substance naturelle. Ce brevet 7220852 est une violation. Et il a eu des dérivés. Parmi ces dérivés, le brevet 46692703p. Et le brevet 776521. Ces brevets couvraient non seulement la séquence génétique du Coronavirus SARS, mais encore la façon de le détecter par RT PCR.

La raison pour laquelle cela cause problème c’est que si vous détenez le brevet pour le gène en même temps que sa détection, vous avez un sacré avantage. Vous contrôlez 100 % de la provenance du virus et 100 % de sa détection. Et ce brevet du CDC proclamait que tout le monde avait accès à la recherche sur le coronavirus. Un mensonge effronté. Du reste le bureau des brevets l’a rejeté deux fois parce qu’étant non patentable et dans le domaine public.

En d’autres mots, avant l’application du CDC, le bureau des brevets a trouvé que le brevet était 99,9 % identique à celle du coronavirus du domaine public. Le CDC a dû payer une amende en 2006 et 2007. Finalement elle a été acceptée en 2007. Donc le CDC qui affirmait que c’était dans l’intérêt public mentait. Ils ont tout simplement soudoyé le bureau des brevets. Et en plus ils ont encore payé pour garder le brevet confidentiel. Si vous voulez aider la recherche comme ils le prétendent, vous ne payez pas en plus pour la garder confidentielle. Tout ceci est dans les archives du bureau des brevets. L’accès est libre pour le public. J’ai pu obtenir des copies.

C’est important parce que les gens qui vérifient les données écrivent que le SARS Coronavirus, SARS-CoV-2 est différent du brevet du CDC. Il y a problème dans la génétique et le brevet. Quand vous regardez la séquence génétique du brevet enregistrée par le CDC, en 2003, 2005 et 2006, il y a entre 89 et 99 % de similarité avec la “nouvelle dénomination du SARS-CoV-2. Le SARS est toujours SARS.

Donc dire que le CDC n’a rien à voir avec ce brevet ou ce pathogène est incroyable. C’est le même SARS. Le 25 avril 2003, le CDC enregistre le brevet du SARS Coronavirus. Puis trois jours plus tard Sequoia Pharmaceuticals, une compagnie du Maryland prend un brevet pour traitement antiviral du Coronavirus.

Comment y a-t-il déjà un traitement pour une chose qu’on vient d’inventer il y a trois jours ? Le brevet de Sequoia, le 28 avril 2003 No 7151163 a un autre problème : elle a été publiée avant l’autorisation du brevet du CDC. Donc il y a dissimulation. Ce n’est pas possible de breveter une chose qui n’est pas encore autorisée parce que le CDC a payé pour que le brevet reste secret. C’est une conspiration criminelle, du racket et de la collusion. C’est mieux qu’une théorie, c’est un fait, une preuve. C’est le cas Rico. Le SARS-CoV-2 arrive sur le tapis. Moderna obtient la séquence avec la protéine de protubérance en téléphonant au NIAID, avant que le SARS tout neuf apparaisse. Comment traiter une chose avant qu’elle se matérialise ?

Écoutez la suite. Ça se corse encore : Le 5 juin 2008, est une date importante parce que c’est à peu près la date où le DARPA — Defense Advance Research Program — s’est intéressé au coronavirus virus comme arme biologique. Ce jour-là, AB links, une filiale de Sanofi, enregistre une série de brevets. Ils ciblaient le nouveau virus SARS-CoV-2.

Ils ciblaient le site de fission polybasique du SARS, la nouvelle protéine de protubérance et le domaine de fusion du récepteur ACE 2 qui est présenté comme nouveau au SARS-CoV-2. C’est patenté le 5 juin 2008. Cette série est accordée le 24 novembre 2015 et le brevet US 9193780. Celle-là vient après le moratorium sur le gain de fonction. C’est après l’épidémie de MERS au moyen orient. En 2016, 2017, 2019 une série de brevets qui couvrent non seulement les brins d’ARN, mais encore les sous-ensembles des brins de gènes. Cela se retrouve chez AB links et Sanofi.

Et puis nous avons Crucell, Rubius Therapeutics, Children Medical Corporation, Ludwig Maximilian Universität à Munich, Protein Science Corporation, Dana Farber Cancer Institute, University of Iowa, University of Hong Kong, Chinese National Human Genome Center à Shanghai, toutes identifiant dans les brevets de 2008 à 2017 chaque attribut qui était le monopole de la publication unique de référence. Le nouveau coronavirus de chauve-souris qui révèle une insertion naturelle à S1-S2, le site de fission de la protéine à protubérance et peut-être l’origine du recombinant 3 du virus SARS-CoV-2, le papier qu’on a utilise pour identifier le nouveau Coronavirus.

Mais si vous prenez ce qui a été rapporté comme nouveau, on trouve 73 brevets entre 2008 et 2019 qui possèdent les éléments identifiés comme nouveaux dans le SARS-CoV-2, et en particulier ce qui concerne le site de fission polybasique, le domaine de fusion du récepteur ACE 2 et la protéine de protubérance. Donc les nouveaux composants de Sars, cliniquement uniques et contagieux. Il n’y avait pas d’épidémie de Sars parce que tout était sous contrôle. En 2016 le papier qui a reçu des subsides pendant le moratorium du Gain de Fonction disait que le coronavirus était prêt à émerger chez les humains. Et 73 brevets étaient prêts à l’exploiter. C’est Ralph Baric qui a écrit ce papier.

Il n’y a pas d’accident de labo, on déploie le Covid pour lancer le vaccin contre le coronavirus. Ralph Baric a fait de l’argent là-dessus.

Si vous croyez que l’histoire est finie, détrompez-vous ! Quelqu’un savait quelque chose en 2015 et 2016. Peter Daszak a écrit un mémorandum en 2015. National academics of Press publications, 12 février 2016:

Nous devons augmenter la connaissance du public pour une réponse médicale. Ce sera le vaccin contre le coronavirus. Les médias vont nous aider et l’économie suivra. Il faut faire du battage et les investisseurs emboîteront le pas s’ils voient du profit dans la course.

Peter Daszak est le directeur de Eco Health Alliance. Il a corroboré les Chinois sur l’absence de traces de l’accident de labo. Pas d’accident du tout. C’est une arme biologique de protéine à protubérance. Les gens sont contaminés et on les accoutume au vaccin. Ne croyez plus à l’accident de labo. C’est de la foutaise.

Dr Martin continue. Il y a 73 brevets sur le nouveau coronavirus avant 2019. le brevet US7279327 sur la nature recombinante de ce coronavirus qui s’attaque aux poumons, fut transféré mystérieusement de l’université de Caroline du Nord, Chapel Hill au National Institute of Health NIH en 2018.

Il y a une anicroche ici : sous le Bayh-Dole Act, le gouvernement américain bénéficie d’une provision spéciale ; s’il paie pour une recherche, ils doivent en bénéficier selon leurs termes. Alors je voudrais bien qu’on m’explique pourquoi en 2017 et 2018, le NIH doit prendre possession d’un brevet alors que cet institut y a droit. Le brevet de l’université de Caroline du Nord, Chapel Hill. Pourquoi fallait-il enregistrer un certificat de correction pour que cela soit possible, parce qu’il y avait une erreur typographique dans la référence aux subsides de l’État ?

Ils ont du avoir besoin d’être clairs là-dessus et que l’erreur typographique était correcte. C’est ce brevet qui développe le droit d’exploiter l’invention et de faire un vaccin pour l’institut de recherche sur les vaccins. L’université de Caroline du Nord, Chapel Hill, partage ce brevet en novembre 2019 et Moderna participe avec l’université et NIAID pour commencer le séquençage de la protéine avec protubérance, un mois avant le début de l’épidémie.

Tout a commencé en janvier 2004 avec le laboratoire Merck. Ils ont donné une conférence, SARS et le bioterrorisme. Le bioterrorisme et les maladies infectieuses émergentes, les modulateurs anti microbes et l’immunité. Ils ont introduit l’idée des nouvelles normes. C’est le langage de l’OMS, le comité de préparation aux épidémies. C’est là qu’on trouve Gates, Dr Elias et Fauci et le bureau sanitaire en Chine. Ils ont discuté de la façon dont il fallait accoutumer les gens à une épidémie de grippe globale.

Moderna savait qu’ils allaient être placés en tête du peloton pour le vaccin en mars 2019. À cette époque, Moderna a amendé une série de brevets rejetés pour y inscrire une introduction délibérée du virus. Ils ont fait appel à deux firmes canadiennes : Arbutus Pharmaceuticals et Acultus Pharmaceuticals. Acultus possède le brevet de l’enveloppe lipide nano qui est nécessaire pour véhiculer le fragment de l’ARN. Ce brevet a été enregistré au Canada et aux USA et il y a des équivalents dans le monde entier.

Moderna a négocié avec Arbutus et Acultus pour intégrer cette technologie au vaccin futur. En novembre 2019 Moderna s’est entendu avec l’université de Caroline du Nord pour mettre la protéine à protubérance dans le lipide nanoparticule et ils avaient un vaccin futur avant le pathogène en circulation.

Depuis 2016 jusqu’à 2019, Fauci au NIAID se lamentait sur le fait que le public n’acceptait pas le concept du vaccin universel contre la grippe. Il travaillait son dada, le vaccin. Tout ce petit monde se préoccupe de la possibilité du pathogène respiratoire dans l’atmosphère, que ce soit intentionnel ou par accident.

L’OMS en septembre 2019 publie « le monde du risque ». Ceci détaille la coordination indispensable des nations, un système de relations publiques, un contrôle de la population, et l’acceptation d’un vaccin obligatoire. Septembre 2019.


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