L'effondrement du narratif Covid - l'exemple de l'Islande
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L'Islande, deuxième plus grand État insulaire en termes de superficie, avec ses 357 000 habitants, est un pays important à bien des égards dans le monde. On y apprend régulièrement des choses étonnantes. En dernier, l'Islande était, avec Israël, le pays modèle avec l'un des taux de vaccination les plus élevés contre le Covid-19.
La dernière surprise est la décision du gouvernement islandais, déjà entrée en vigueur : La levée de toutes les mesures Covid ! Le gouvernement encourage ses citoyens à oublier les vaccins et à combattre plutôt le virus avec leur propre système immunitaire sur la base d'une infection et d'une guérison naturelles.
Ce revirement vient-il d'une prise de conscience du gouvernement parce que la vaccination n'a pas apporté la protection attendue à la population ? Ou bien l’Islande a-t-elle pour ainsi dire reculé en raison du nombre dramatiquement élevé de cas de Covid, malgré la vaccination ? Est-ce une façon d'attribuer la maladie de masse et les effets secondaires des vaccins à la levée des mesures Covid ? Nous encourageons nos téléspectateurs à y prêter une attention particulière. Par Vasko Kohlmayer (26 février 2022)
Depuis cette semaine, l'Islande est le premier pays au monde à abandonner complètement TOUTES les mesures Covid. Il n'y aura plus de confinements ni de restrictions sociales. Il n'y aura pas de test Covid obligatoire et si vous êtes infecté par hasard par le Covid, vous ne devrez pas vous isoler. Il n'y aura pas de pass vaccinal ni de mandat de vaccination. Toute personne, quel que soit son statut vaccinal, pourra entrer dans le pays sans passer de test. Les personnes non vaccinées ne subiront aucune forme de discrimination ou d'exclusion de la société.
L'Islande retourne à la vie telle qu'elle était avant le Covid. Cela serait déjà assez surprenant en soi si on considère que l'Islande connait en ce moment même une augmentation massive des contaminations par le Covid et qu'elle enregistre un nombre de cas record au moment où nous parlons.
Si vous ne le saviez pas, le taux de vaccination en Islande est d'environ 80% de la population totale, ce qui signifie qu'environ 90% de la population adulte est complètement vaccinée.
De toute évidence, les vaccins n'ont absolument pas arrêté ou même ralenti la propagation du virus SRAS-CoV-2. Bien au contraire, ils semblent avoir entraîné son augmentation.
Le gouvernement islandais a non seulement décidé d'abandonner toutes les restrictions Covid et les exigences de vaccination, mais le ministère de la Santé a également publié de nouvelles directives remarquables sur la manière de gérer le virus.
Les autorités sanitaires du pays ont conseillé aux Islandais « que le plus grand nombre possible de personnes soient infectées par le virus, car les vaccins ne suffisent pas ». Avez-vous entendu cela ?
Le gouvernement islandais dit maintenant à son peuple qu'il est bon de se contaminer avec le Covid. En d'autres termes, le gouvernement islandais a décidé de traiter le Covid par l'immunité grégaire, qui repose sur une infection naturelle.
Cela marque la négation complète du narratif officiel de Covid, qui a été accepté comme sagesse conventionnelle par presque tous les gouvernements au cours des deux dernières années. Le narratif était à peu près le suivant : Les gens devaient essayer d'éviter l'infection à tout prix et attendre plutôt qu'on leur injecte les vaccins expérimentaux concoctés à la hâte par Pfizer, Moderna et autres.
Mais maintenant, les gouvernements encouragent de plus en plus leurs citoyens à oublier les vaccins et à combattre plutôt le virus avec leur propre système immunitaire. Mais qu'est-ce que c'est que ça ? Ils disent cela après deux ans de confinements, de restrictions et de fermetures d’établissements qui ont causé des dégâts économiques, sociaux et psychologiques indicibles. Ils ont changé d'avis après avoir mené une croisade mondiale pour la vaccination, au cours de laquelle plus de 60 % de la population mondiale a été injectée avec des vaccins insuffisamment testés, qui se sont révélés moins efficaces et qui ont tué inutilement des millions de personnes dans le monde. Il s'agit sans aucun doute de l'une des plus grandes débâcles dans les annales de l'humanité.
Au départ, certains scientifiques étaient favorables à une immunité collective par infection naturelle. Mais ces voix ont été ridiculisées, censurées, discréditées, rejetées et annulées.
Au lieu de (Et suite à) cela, les gouvernements du monde entier ont successivement adopté le faux narratif et imposé une cascade de mesures catastrophiques qui ont causé des dommages sans précédent à l'humanité.
Dans les semaines à venir, ils tenteront de se faire pardonner en affirmant que le virus a changé et qu'il est désormais moins dangereux qu'il était au début. C'est vrai dans une certaine mesure. Mais le fait est que le virus n'a jamais représenté un grand danger pour la plupart des gens.
Le taux de survie des personnes non confinées était d'environ 99,7 %. Il ne représentait pratiquement aucune menace pour les enfants en bonne santé. Il ne représentait qu'un risque relativement faible pour les personnes actives et en bonne santé en âge de produire. Certes, la menace n'était pas suffisante pour justifier des fermetures d'écoles et de commerces à grande échelle et d'autres mesures contraignantes.
Elle ne justifiait pas non plus la vaccination massive et indiscriminée d'enfants et de personnes en bonne santé avec les vaccins dangereux et défectueux. Cette politique a été une erreur gigantesque qui a coûté d'innombrables billions de dollars et d'innombrables vies.
Maintenant que le faux narratif est en train de s'effondrer, les responsables de cette débâcle devraient être invités à s'expliquer. Mais ces personnes sont très rusées et elles sont déjà en train de détourner habilement l'attention du public vers un autre lieu avec une nouvelle histoire.
Aujourd'hui, ils parlent tous de Vladimir Poutine comme de la plus grande menace pour l'humanité. Ils espèrent déchaîner les passions des gens pour qu'ils ne remarquent pas que le Covid a en quelque sorte disparu, bien qu'il y a peu de temps, nous étions prétendument tous en danger d'en mourir.
Désormais, Vladimir Poutine est le plus grand mal auquel nous ayons jamais été confrontés. Et comme bonus supplémentaire, ils seront en mesure de le rendre responsable de l'inflation, de la dépression et d'autres catastrophes causées par deux années de politique de Covid destructrice.
Du début à la fin, la crise du Covid-19 a été un désastre imposé par le gouvernement. Le virus, créé par l'État chinois en collaboration avec le Dr Fauci et ses amis, s'est échappé ou a été libéré du laboratoire biologique de Wuhan.
La crise ukrainienne est également une catastrophe provoquée par le gouvernement. L'inutile Joe Biden, Antony Blinken et leurs acolytes mondialistes ont provoqué Poutine en poussant l'idée de l'OTAN à la porte de la Russie. C'était aussi inacceptable pour les Russes que l'adhésion du Mexique au Pacte de Varsovie le serait pour les États-Unis. Poutine a demandé des assurances sur le fait qu'il n'y aurait plus de pays de l'OTAN à la frontière russe. Ce n'était pas une demande déraisonnable, mais ils lui ont dit de rentrer chez lui et de se tenir tranquille.
Ne nous étonnons pas de la colère de Poutine. S'il réagit de manière excessive, la catastrophe qui suivra aura été déclenchée par les provocateurs qui auront inutilement provoqué l'ours russe. Covid et la Russie sont tous deux de faux narratifs. D'une certaine manière, ils constituent une pièce de théâtre. Les passions et les émotions suscitées par le second sont utilisées pour dissimuler et masquer l'effondrement du premier.