Des chercheurs du MIT ont créé des dispositifs électroniques microscopiques sans fil qui circulent dans le sang et s’implantent dans des régions cérébrales cibles.
https://anamihalceamdphd.substack.com/p/new-therapeutic-brain-implants-could?
De nouveaux implants cérébraux thérapeutiques pourraient rendre la chirurgie inutile
Hier, j'ai publié la récente conférence de Ray Kurzweil au MIT, dans laquelle il prédit une fusion entre l'humain et l'IA d'ici 2030. Il explique également dans ses livres comment la pensée humaine se manifestera dans le nuage ( cloud), et non plus seulement au sein du corps. Vous pouvez trouver cet article ici :
Il y a deux jours, le MIT a publié un article sur des implants cérébraux microélectroniques injectables qui circulent dans le sang et peuvent cibler le cerveau. Veuillez visionner leur vidéo ci-dessous. J'ai expliqué que l'interface cerveau-ordinateur est déjà une réalité, via le déploiement de l'arme biologique COVID-19 qui a injecté des nanotechnologies auto-assemblées et de la microélectronique à deux tiers de l'humanité. Le reste de la population a été contaminé par excrétion. Voici quelques exemples :
Nanotechnologie d'auto-assemblage dans le sang des personnes non vaccinées contre la COVID-19
Voici l'article du MIT :
De nouveaux implants cérébraux thérapeutiques pourraient rendre la chirurgie inutile.
Et si les médecins pouvaient implanter de minuscules puces électroniques dans le cerveau, capables de stimuler électriquement une cible précise, grâce à une simple injection dans le bras ? Cela pourrait un jour permettre de traiter des maladies cérébrales mortelles ou invalidantes, tout en éliminant les risques et les coûts liés à la chirurgie.
Des chercheurs du MIT ont franchi une étape majeure vers la concrétisation de ce scénario. Ils ont mis au point des dispositifs bioélectroniques microscopiques et sans fil capables de circuler dans le système circulatoire et de s'implanter de manière autonome dans une région ciblée du cerveau, où ils permettraient de délivrer un traitement ciblé.
Dans une étude menée sur des souris, les chercheurs ont démontré qu'après injection, ces implants minuscules pouvaient identifier et se déplacer vers une région cérébrale spécifique sans intervention humaine. Une fois en place, ils pouvaient être alimentés sans fil pour délivrer une stimulation électrique précise à la zone ciblée. Cette stimulation, appelée neuromodulation, s'est révélée prometteuse pour le traitement des tumeurs cérébrales et de maladies telles que la maladie d'Alzheimer et la sclérose en plaques.
De plus, comme les dispositifs électroniques sont intégrés à des cellules biologiques vivantes avant d'être injectés, ils ne sont pas attaqués par le système immunitaire et peuvent franchir la barrière hémato-encéphalique sans la casser. Ceci préserve la protection essentielle du cerveau assurée par cette barrière.
Voici l'étude originale :
Dispositifs électroniques sans fil flottants de taille subcellulaire
Pour s'insérer et se déplacer librement dans le système vasculaire sans l'obstruer, la taille des dispositifs de type circulatoire doit être similaire ou inférieure à celle des cellules circulantes (à titre de référence, un monocyte a un diamètre de 12 à 18 µm). C'est pourquoi nous avons entrepris de développer des dispositifs électroniques sans fil de taille subcellulaire (DESF), flottant librement et capables de convertir des champs appliqués extracorporellement en énergie électrique pour permettre la neuromodulation électrique. Bien qu'il existe différentes modalités de récupération d'énergie sans fil (radiofréquence, électromagnétique, optique ou acoustique<sup> 21</sup> ), chacune présentant des caractéristiques uniques, nous avons opté pour le principe photovoltaïque, qui repose sur l'alimentation sans fil par champs optiques.
J'ai beaucoup écrit sur les approches thérapeutiques qui ont été confirmées dans le brevet de Moderna.



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