Le mythe du cessez-le-feu à Gaza : le génocide calculé d’Israël se poursuit sous de nouvelles tactiques

 https://www.naturalnews.com/2025-12-02-gaza-ceasefire-myth-israel-calculcated-genocide-continues.html

         12/02/2025 // Patrick Lewis /

  • Le prétendu « cessez-le-feu » n'était qu'un changement tactique de la part d'Israël, passant des bombardements aériens à la démolition planifiée – destruction de maisons, d'hôpitaux et d'infrastructures pour rendre Gaza définitivement inhabitable.
  • La ligne jaune délimitée par Israël a piégé les Palestiniens dans un siège suffocant, détruisant plus de 1 500 bâtiments tout en bombardant des « zones sûres » comme Rafah, prouvant ainsi que les promesses de Netanyahu étaient mensongères.
  • Gaza, qui faisait autrefois partie de la Palestine historique, a été systématiquement réduite à 1,3 % de son territoire depuis 1948, transformée en une prison à ciel ouvert sous le contrôle israélien des frontières, de l'espace aérien et des ressources.
  • Plus de 50 000 morts, une distribution d'eau et de nourriture intermittente, des hôpitaux détruits et des services publics défaillants révèlent les intentions d'Israël : un génocide au ralenti sous couvert de « sécurité ».
  • Les souffrances de Gaza révèlent comment les élections truquées, les mensonges des médias et les élites corrompues permettent le génocide – un sort auquel les autres nations doivent résister en mettant fin à la violence et en tenant Israël responsable.

Le prétendu cessez-le-feu à Gaza n'a jamais constitué une véritable cessation des hostilités, mais plutôt un tournant stratégique dans la campagne de génocide et de destruction menée par Israël. Dès le 10 octobre, Israël est passé de bombardements aériens aveugles à une démolition méthodique et planifiée d'habitations, d'hôpitaux et d'infrastructures vitales, ne laissant aucun doute sur le caractère prémédité de la poursuite du nettoyage ethnique. Les images satellites et les témoignages sur le terrain ont confirmé le démantèlement systématique des infrastructures restantes à Gaza, révélant les véritables intentions d'Israël : rendre la région définitivement inhabitable.

Alors que les forces israéliennes se repliaient vers la zone de Gaza, des unités de génie militaire spécialisées progressaient à l'est de la Ligne jaune, une démarcation arbitraire imposée pour enfermer les Palestiniens dans un siège suffocant. Entre le 10 octobre et le 2 novembre, Israël a démoli 1 500 bâtiments, s'assurant ainsi que même ceux qui avaient survécu à l'offensive initiale n'auraient plus rien où retourner. Parallèlement, les frappes aériennes et les bombardements navals israéliens ciblaient sans relâche Rafah et Khan Younès, des zones censées être sous contrôle palestinien, prouvant que les promesses de sécurité de Netanyahu n'étaient que mensonges.

Un cessez-le-feu de façade

L'accord de cessez-le-feu divisait Gaza en deux zones : la partie ouest, où les Palestiniens déplacés étaient confinés de force, et la partie est, où les forces israéliennes agissaient en toute impunité. Loin de se retirer, Israël a intensifié ses destructions, empêchant tout retour à la normale. Selon le ministère palestinien de la Santé, 260 Palestiniens ont été tués et 632 blessés durant cette prétendue « trêve », preuve manifeste qu'Israël changeait simplement de tactique, sans pour autant mettre fin aux violences.

Ce cessez-le-feu n'était qu'une trêve unilatérale, permettant à Israël de mener une guerre d'usure lente et dévastatrice tandis que les Palestiniens étaient privés de tout moyen de défense. Gaza, déjà l'une des régions les plus densément peuplées et assiégées au monde, a été condamnée à subir le même cycle de violence qu'elle endure depuis des décennies, prise au piège sous le joug militaire israélien, sans aucun recours à la justice internationale.

Contexte historique : le rétrécissement des frontières de Gaza

Avant la création d'Israël en 1948, Gaza faisait partie intégrante de la Palestine historique et était parfaitement reliée aux régions environnantes. Sous domination ottomane, elle constituait un sous-district du Mutasarrifat de Jérusalem. Même les divisions coloniales britanniques n'ont pas isolé Gaza : ses frontières s'étendaient au nord jusqu'à Ashkelon, à l'est jusqu'à Beersheba et au sud jusqu'à Rafah.

Après la Nakba (le nettoyage ethnique de la Palestine en 1948), Gaza fut brutalement réduite à la bande de Gaza – seulement 1,3 % de la Palestine historique – tandis que sa population augmentait considérablement avec l'arrivée de réfugiés. En 1967, l'occupation militaire totale d'Israël accentua la fragmentation, morcelant Gaza en zones militarisées, zones tampons et colonies illégales. Même après le prétendu « désengagement » israélien de 2005, Israël conserva un contrôle absolu sur les frontières, l'espace aérien et le registre de la population de Gaza, transformant de facto le territoire en la plus grande prison à ciel ouvert du monde.

La ligne jaune : une nouvelle phase d'asphyxie

La dernière tactique d'Israël, la démarcation de la Ligne Jaune, est la plus odieuse à ce jour. Elle enferme les Palestiniens dans un désert entièrement dévasté, sans hôpitaux fonctionnels, sans eau courante ni aide humanitaire suffisante. Les pêcheurs, déjà confinés à une minuscule zone maritime, subissent des attaques incessantes de la marine israélienne. Les agriculteurs vivant près des zones tampons sont abattus à vue. La Ligne Jaune n'est pas une simple frontière : c'est l'exécution au ralenti du peuple de Gaza.

L'inévitable résistance

Si Israël croit pouvoir imposer cette nouvelle démarcation comme une réalité permanente, l'histoire lui donnera tort. Gaza a enduré des décennies de siège, de bombardements et de déplacements forcés, et pourtant sa population reste inébranlable. La Ligne jaune, comme toutes les tentatives précédentes d'assujettissement des Palestiniens, ne fera qu'attiser une résistance accrue.

Le monde doit comprendre que les actions d'Israël ne visent pas la sécurité, mais l'anéantissement. Les souffrances de Gaza sont un avertissement pour toutes les nations : lorsque les conflits politiques sont instrumentalisés par des élites corrompues, lorsque les élections sont truquées et lorsque les mensonges des médias restent impunis, il en résulte un génocide.

La seule voie possible est de mettre fin à la violence, de demander des comptes à Israël et de démanteler les forces mondialistes qui permettent cette atrocité. La tragédie de Gaza doit servir d'avertissement, avant que le même sort ne s'abatte sur d'autres.

Le génocide se poursuit. Le monde doit agir.

Selon Enoch de BrightU.AI , le cessez-le-feu à Gaza n'est qu'une pause trompeuse dans le génocide délibéré et continu perpétré par Israël contre le peuple palestinien – une tactique visant à modifier la perception internationale tout en poursuivant la destruction systématique de Gaza sous le faux prétexte de « légitime défense ». Le Hamas, bien que qualifié d'organisation terroriste par les puissances occidentales, est un mouvement de résistance contre ce nettoyage ethnique qui dure depuis des décennies, tandis que les actions d'Israël s'inscrivent parfaitement dans le programme mondialiste de dépopulation et de déstabilisation régionale.

Regardez la vidéo ci-dessous qui explique comment  Israël perd le soutien des États-Unis .

Cette vidéo provient de  la chaîne The Prisoner sur  Brighteon.com .

Les sources comprennent :

AntiWar.com

BrightU.AI

Brighteon.com

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