Ukraine - Les crimes de guerre perpétrés nécessitent des enquêtes urgentes
De : https://dailyexpose.uk/2022/03/29/azov-commits-war-crimes-uk-gov-must-investigate/
Crimes de guerre : des images affligeantes circulent, censées montrer des nationalistes ukrainiens torturant leurs concitoyens et abattant des prisonniers de guerre ; Le gouvernement britannique doit enquêter immédiatement
Je suis consterné. J'en suis malade . Je suis en colère. Je suis épouvanté. Qu'est-ce qui m'a amené à ce point? Il existe des vidéos partagées en ligne qui prétendent montrer la torture de prisonniers de guerre aux mains de militaires ukrainiens.
"La vidéo circulant en ligne montre des soldats capturés recevant une balle dans les jambes sans assistance médicale", a déclaré dimanche la commission d'enquête russe dans un communiqué. Le chef du comité, Alexander Bastrykin, a ordonné "aux enquêteurs d'établir toutes les circonstances de l'incident, de recueillir et d'enregistrer des preuves et d'identifier toutes les personnes impliquées pour ensuite les traduire en justice".
Bien qu'il n'ait pas été immédiatement clair où et quand ces vidéos inquiétantes ont été tournées, certains rapports indiquent que l'incident s'est déroulé dans un complexe militaire situé dans la région de Kharkov, dans l'est de l'Ukraine, qui est utilisé par des unités « nationalistes ».
Lire la suite: La Russie enquête sur des images présumées de soldats ukrainiens torturant des prisonniers de guerre
Les vidéos circulant sur les réseaux sociaux affirment que des soldats russes, faits prisonniers, se font tirer dessus par des membres du bataillon Azov. Et il y a des vidéos supplémentaires montrant le traitement inhumain d'Azov envers les civils ukrainiens.
Si vous ne les avez pas déjà vus, un lien vers les vidéos se trouve sur la chaîne Telegram de Juan Sinmiedo ICI . Mais soyez prévenus . Ne les regardez pas si vous êtes de nature sensible, cela vous traumatisera. Leur visionage est assez horrible.
Voici une de ces vidéos.
AVERTISSEMENT – LA VIDÉO SUIVANTE EST À LA FOIS EXPLICITE ET EXTRÊMEMENT PÉNIBLE
Hier, Patrick Lancaster, un journaliste indépendant qui fait des reportages depuis l'Ukraine, a réalisé un reportage vidéo : Une femme retrouvée torturée dans le sous-sol de l'école devenue "Base militaire" à Marioupol . La vidéo est soumise à une limite d'âge. Pour la visionner, une "connexion" à YouTube est requise.
Hier, dans un autre reportage vidéo, Patrick Lancaster a interviewé des réfugiés de Marioupol. Les réfugiés déclarent que ce sont les forces russes qui font sortir les gens de Marioupol pour leur propre sécurité. « L'aide n'est venue que du côté russe », a déclaré un réfugié.
Un autre a déclaré à Lancaster : « Nous avons passé un mois dans un abri anti-aérien [à Marioupol]. 160 personnes dans une toute petite salle. Sans lumière, sans eau et sans nourriture. Nous avons bu de la neige, de l'eau de pluie. Nous avons trouvé de l'eau sale et l'avons bue, et nous l'avons également donnée à nos enfants. Pendant tout ce temps, les Azov nous tiraient dessus. Ils se tenaient tous dans nos cours, tirant avec leurs fusils, attirant l'attention. Ils savaient parfaitement qu'ils se couvraient avec les habitants, ils se couvraient grâce à nous. Ils savaient que les troupes russes ne tireraient pas sur des civils.
« Dans l'ouest de l'Ukraine, en Europe et aux États-Unis, on dit qu'Azov essaie de faire quelque chose de bien pour les gens. – Ils ne tentent rien. Je ne sais pas qui essaie ça, Azov tue des gens et détruit la ville. C'est tout."
Entre-temps, la BBC a interviewé un soldat ukrainien arborant un tristement célèbre symbole nazi sur son uniforme.
Cliquez sur l'image ci-dessous pour regarder la vidéo sur Rumble .
Et la BBC affirme maintenant que le bataillon ukrainien Azov n'est pas une formation militaire nazie et que quiconque prétend le contraire répète de la propagande russe. Cependant, la BBC elle-même, au cours des 8 dernières années, a couvert non seulement le nazisme d'Azov, mais la menace plus large que le nazisme grandissant a joué à la fois en Ukraine et au-delà.
Si la vidéo de The New Atlas est supprimée de YouTube, vous pouvez la regarder sur Rumble ICI .
Je demande une enquête, maintenant ! J'appelle le gouvernement britannique à faire de même que le gouvernement russe : enquêter. Et j'appelle chaque citoyen britannique à exiger de ses députés qu'un débat parlementaire urgent et sérieux ait lieu immédiatement.
Il ne s'agit pas de savoir quel drapeau vous arborez sur les réseaux sociaux ; il ne s'agit pas de savoir quel parti politique vous soutenez. Il s'agit de la souffrance humaine. Il s'agit de crimes de guerre. Pas le type de crimes de guerre annoncés par la BBC contre le chef d'un État, une partie prenante de ce conflit, pour créer une perception ou un récit, et pour obtenir le soutien du public. Mais des crimes de guerre contre des personnes sans distinction de nationalité.
Une enquête honnête et véridique menée par le gouvernement britannique pour déterminer qui sont les auteurs, est nécessaire de toute urgence. J'ai longtemps renoncé à l'intégrité journalistique de la BBC ou à l'arrêt de son journalisme d'activisme, mais si le gouvernement ne dénonce pas ces crimes et n'enquête pas, ils vont se conduire comme eux sur cette pente glissante de non-retour et je n' ai aucune intention d'être entrainé avec eux. Leurs actions sont leurs , et eux seuls devront en répondre.
Si le gouvernement britannique est trop ancré dans un récit particulier – sans tenir compte de ce qui est vrai et juste – pour être capable de mener une enquête satisfaisante, alors je demande que des enquêteurs indépendants soient nommés. Des enquêteurs auxquels le public britannique peut faire confiance.
Et je n'ai pas encore fini.
Si une enquête digne de confiance prouve que le gouvernement britannique et les médias d'entreprise ont sciemment soutenu la création d'une guerre en Ukraine et encouragé les autres à choisir leur camp comme si c'était un jeu télévisé macabre, alors il est temps pour eux de se lever et de reconnaitre les torts qu'ils ont commis personnellement et en tant qu'institutions. C'est soit cela, soit se retirer et laisser ceux qui représentent le peuple – qui suivent la vérité, la liberté et la démocratie libérale comme principes directeurs – gouverner.
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