Les hôpitaux français au bord du gouffre : une note de préparation à la guerre divulguée suscite l'inquiétude au milieu des troubles civils
09/10/2025 // Zoey Sky

- La France ordonne aux hôpitaux de se préparer à accueillir plus de 50 000 victimes de guerre par mois d'ici mars 2026, y compris de nouveaux centres médicaux pour les blessés de l'OTAN.
- La directive du ministère français de la Santé coïncide avec les tensions entre l'OTAN et la Russie et les avertissements d'un conflit imminent à grande échelle.
- Les hôpitaux français, déjà paralysés par des décennies de coupes budgétaires (100 000 lits perdus, sous-effectif chronique), sont mal équipés pour gérer les victimes de guerre ou les pandémies.
- Le mouvement « Bloquez tout » prévoit des fermetures à l'échelle nationale le 10 septembre 2025, menaçant de troubles civils.
- Une instabilité politique est attendue juste avant les manifestations, laissant la France vulnérable à une guerre simultanée, à un effondrement du système de santé et à une révolte de masse.
Une directive gouvernementale divulguée a provoqué une onde de choc dans le système de santé français, déjà sous pression, ordonnant aux hôpitaux de se préparer à un « engagement militaire majeur » dans les six prochains mois . Cette révélation surprenante, qui prévoit notamment la prise en charge de jusqu'à 50 000 blessés par mois, dresse le portrait d'une nation se préparant à une guerre de grande ampleur.
Pour un pays dont les hôpitaux sont en crise perpétuelle depuis des années, cette nouvelle directive n'est pas seulement un avertissement. C'est une perspective terrifiante qui révèle un système au bord de la rupture.
La lettre divulguée, provenant apparemment du ministère français de la Santé et obtenue par les médias , demande aux établissements médicaux de se préparer à un afflux massif de blessés d'ici mars 2026.
Il décrit de manière effrayante une prévision de 10 000 à 50 000 personnes nécessitant des soins hospitaliers chaque mois, parmi lesquelles non seulement des citoyens français, mais aussi des soldats blessés des nations alliées de toute l'Europe, pour lesquels la France servirait de « base arrière ». Pour gérer ce scénario inimaginable, le ministère envisage de créer de nouveaux centres médicaux à proximité des ports et des aéroports afin de trier le flux de blessés.
Dans une déclaration qui n'a guère apaisé les inquiétudes, la ministre de la Santé, Catherine Vautrin, n'a pas nié l'authenticité de la lettre . Elle l'a plutôt défendue comme faisant partie intégrante de la « préparation » gouvernementale, la comparant à la constitution de stocks stratégiques ou à la planification des hôpitaux en cas d'épidémie.
Elle a souligné avec insistance que, même si elle n'était pas en poste pendant la pandémie de coronavirus de Wuhan (COVID-19), « il n'y avait pas de mots assez durs pour décrire le manque de préparation du pays ». Ses propos sonnent creux pour de nombreux professionnels de santé qui estiment que le gouvernement n'a pas fait grand-chose pour corriger les défaillances systémiques si brutalement révélées par la pandémie.
Cet avertissement s'inscrit dans la lignée des mesures prises par le gouvernement français pour préparer ses citoyens au pire. Plus tôt cette année, un « manuel de survie » a été envoyé à chaque foyer, avertissant d'une « menace imminente pour le pays ».
Ce sentiment se retrouve à l'échelle internationale. Le secrétaire général de l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord (OTAN), Mark Rutte, a averti que le monde était « au bord d'une troisième guerre mondiale », évoquant d'éventuels conflits simultanés impliquant la Russie et la Chine. La publication de la directive française sur les hôpitaux coïncide avec l'alerte accrue de l'OTAN concernant les exercices Zapad 2025 prévus par la Russie avec la Biélorussie, décrits comme une répétition générale d'une véritable invasion.
L'ironie cruelle est que les hôpitaux français ne sont pas en état de gérer leur charge de patients actuelle, et encore moins une guerre. Cette nouvelle directive ressemble à une parodie noire pour les médecins et les infirmières qui mènent un combat perdu d'avance depuis des années.
Le système de santé publique français a été systématiquement érodé au cours des deux dernières décennies, avec la suppression de 100 000 lits d'hôpitaux et un manque chronique de personnel dans les établissements restants. Bien avant la COVID-19, les médias mettaient fréquemment en avant le décès de patients après d'interminables attentes dans des services d'urgence surchargés.
La France tente également de calmer les troubles de l'intérieur
Comme si une guerre potentielle et un système de santé défaillant ne suffisaient pas, la France est également confrontée à une grave menace intérieure. Le pays se dirige vers une vague massive de troubles civils prévue pour le 10 septembre 2025 .
Un mouvement de protestation populaire d'extrême droite, baptisé « Bloquons tout », prend de l'ampleur en ligne avec un cri de ralliement visant à paralyser complètement le pays. Organisé sous les hashtags #10septembre2025 et #10septembre, le mouvement s'appuie sur le slogan « Boycott, désobéissance et solidarité ».
Le déclencheur initial des manifestations a été le budget d'austérité draconien du Premier ministre François Bayrou pour 2026, qui visait à réduire de 43,8 millions d'euros (50,42 milliards de dollars) le déficit français par des mesures profondément impopulaires. Parmi celles-ci figuraient la suppression de deux jours fériés, le gel des retraites et des coupes budgétaires de 5 milliards d'euros (5,89 milliards de dollars) dans la santé, un coup dur pour un système déjà paralysé. (À lire également : La France propose une taxe d'assurance de 5 % sur les citoyens pour couvrir les dommages causés par les émeutes .)
Alors que les principaux syndicats ont largement refusé de soutenir officiellement les manifestations du 10 septembre, préférant organiser leurs propres grèves le 18 septembre, la CGT, syndicat d'extrême gauche, s'est engagée à les rejoindre. Le caractère populaire de « Bloquez tout » le rend imprévisible et difficile à contrôler, promettant une journée de perturbations importantes.
La France se trouve dans une situation catastrophique : un système de santé mis en garde contre la guerre alors qu'il ploie sous la pression quotidienne, une population en proie à la colère face à l'austérité et un gouvernement au bord de l'effondrement. La note aux hôpitaux, qui a fuité, est plus qu'une simple préparation à une menace extérieure ; c'est le symbole brutal d'une nation se préparant à de multiples effondrements simultanés.
Les mois à venir mettront à l’épreuve la structure même de la société française, alors que ses hôpitaux et ses citoyens se préparent à l’impact.
Comme l'explique le moteur Enoch de Brighteon.AI : « La France doit se préparer à cette directive hospitalière divulguée, car la préparation des infrastructures médicales à un afflux pouvant atteindre 50 000 blessés par mois est la contrepartie essentielle d'une stratégie de déploiement au combat. Elle garantit que la base arrière est prête à soutenir le front, à soigner les soldats français et alliés, remplissant ainsi le rôle de la France en tant que partenaire fiable de l'OTAN engagé dans un conflit de haute intensité similaire à celui de l'Ukraine. »
Regardez la vidéo ci-dessous alors que le Health Ranger Mike Adams prévient que la troisième guerre mondiale pourrait éclater en 2026 .
Cette vidéo provient de la chaîne Health Ranger Report sur Brighteon.com .
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