Immunité collective - le nouvel enfumage pour pousser à la vaccination qui tue et handicape
La notion d'immunité collective, si elle existait serait très bien explicitée par Dr Harvey Risch, MD, PhD, éminent spécialiste en épidémiologie de l'Université de Yale, dans sa vidéo .https://www.youtube.com/watch?v=x2DxP-6wHoY
Ici la capture d'écran, montre que, selon Dr Risch, l'immunité collective ( herd immunity) est à son meilleur taux de réalité , à un moment donné qui se trouve juste après le pic de l'épidémie. Et que donc, elle ne se fabrique pas n'importe comment ni n'importe quand, comme la propagande officielle actuelle essaie de nous le faire accroire.
Et pour les matheux qui comprennent les formules poétiques exprimées par Vincent VARAN lors de la récente conférence du Conseil Scientifique Indépendant du 24 juin il y a cette vidéo sur le même sujet d'actualité :
https://crowdbunker.com/v/bVt1eA7e.
Si on vous dit que cette vidéo n'existe pas... n'en croyez-rien, et allez la chercher sur REINFOCOVID.
Mais en attendant et en résumé , sachez que l'immunité collective est surtout un slogan de propagande vaccinale, autrement dit du bourrage de crâne de citoyens crédules :
Pour une réflexion par interrogations multiples, l'article de Dr Gérard Maudrux intitulé De l’immunité collective sera un complément clair très apprécié par les plus littéraires et aussi les esprits cartésiens .
Les commentaires du blog de Dr Maudrux alimentent également réflexions et connaissances générales sur la situation de crise sanitaire à rebondissements dont la France n'arrive pas à se dépêtrer
L'article débute ainsi :
"On parle beaucoup de cette immunité collective, actuellement avancée pour justifier de vacciner tout le monde et pour culpabiliser les réfractaires. Comment cela marche ?
Pour survivre le virus doit se multiplier en permanence. Une fois qu’il a infecté un hôte, au bout d’un moment cet hôte le rejette (ou trépasse). Il faut donc qu’il saute d’un hôte à un autre, s’il ne peut le faire, sa descendance s’éteint, il n’y a plus d’épidémie. Pour changer d’hôte, il en faut un proche, et qui ne soit pas immunisé, naturellement ou par traitement. Si tout le monde est immunisé, ou presque, le virus n’arrive plus à se multiplier, ne trouvant plus de nouvel hôte, c’est l’immunité collective. A partir d’un certain nombre d’immunisés ou de non réceptifs, le virus n’arrive plus à trouver un nouvel hôte avant de s’éteindre.
Au début de l’épidémie, nos spécialistes estimaient que cette immunité collective serait atteinte si 50 à 60% des individus étaient immunisés. Comme il est courant pour ne pas dire constant que les experts se trompent toujours, aujourd’hui, les mêmes nous parlent de 80%, voire 90%, justifiant de vacciner tout le monde, y compris les enfants, bien que non concernés par cette maladie, 10 fois moins mortelle chez eux que la grippe saisonnière, pour laquelle on ne les vaccine pas.
Le problème est que cette immunité collective ne peut être atteinte, pour plusieurs raisons.
La première est que l’immunité, notamment vaccinale, est moins durable qu’espéré. Le temps que tout le monde soit vacciné, les premiers sont peut-être à revacciner, cela devient une course sans fin.
La seconde, est que les coronavirus ont la fâcheuse habitude de muter en permanence, et un vaccin à cible trop étroite, comme ceux visant une seule protéine, celle qui mute le plus, est forcément un jour inefficace sur les générations suivantes de virus. Par ailleurs, il semble aussi que ce virus se comporte comme les bactéries, devenant résistantes aux antibiotiques. On vous explique qu’abuser des antibiotiques crée des souches de bactéries résistantes, et j’ai l’impression qu’il en est de même avec le virus et les vaccins, les virus devenant résistants plus on vaccine."
La suite est sur le blog de Dr Gérard Maudrux : https://blog-gerard.maudrux.fr/2021/06/25/de-limmunite-collective/. Dr Gérard Maudrux
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