Témoignage d'un rescapé d'une hospitalisation Covid ( video)

 De : https://rairfoundation.com/shocking-escape-covid-whistleblower-abused-in-uk-hospital-rescued-by-friends-interview/

Via : MARS

Évasion choquante : un lanceur d'alerte de Covid maltraité dans un hôpital britannique  et sauvé par des amis (interview)

"Honnêtement, je pensais que j'allais mourir là-dedans." John O' Looney

John O' Looney est un coroner indépendant et directeur de pompes funèbres au Royaume-Uni. Lorsque la Fondation RAIR USA a interviewé  M. O'Looney en septembre, il était catégoriquement contre les obligations  de vaccination en raison du nombre choquant de morts apparemment causé par les «vaccins». Récemment, il a raconté les pressions exercées contre les responsables médicaux pour falsifier les certificats de décès afin de gonfler artificiellement le nombre de décès de Covid.

Mourir avec un test Covid positif et mourir du Covid sont deux choses complètement différentes. Les tests PCR utilisés pour détecter le Covid sont intrinsèquement défectueux, un fait que même le CDC (Centers for Disease Control and Prevention)  concède .

O'Looney est bien connu pour avoir raconté que les hôpitaux du Royaume-Uni ordonnaient aux infirmières d'administrer une dose mortelle d'un médicament appelé midazolam aux patients de Covid, entraînant encore plus de décès. Puis le 16 décembre, il aurait développé des symptômes de Covid et aurait été transporté d'urgence à Milton Keynes, un hôpital britannique .

Dans une interview RAIR avec le Dr Sam Dubè , un médecin canadien qui a appris ce qui est arrivé à John O'Looney, le Dr Dubé a révélé la nature de son hospitalisation et comment une équipe d'amis l'a sauvé malgré les objections du personnel hospitalier.

Maintenu dans une unité de soins intensifs d'un hôpital  et sous 10 litres d'oxygène, O'Looney a été confronté aux problèmes dont il connaissait  déjà l'existence. Les administrateurs de l'hôpital ont exigé qu'il signe des formulaires pour leur permettre de le traiter avec des traitements expérimentaux. O'Looney, cependant, a refusé le Remdesivir (développé initialement comme médicament   pour Ebola , qui peut provoquer un blocage des reins. Pendant tout ce temps, il ne pouvait pas bien respirer.

Vous pouvez entendre comment il a été sauvé dans l'interview RAIR suivante avec le Dr Sam Dubè

Après son épreuve et sa guérison à la maison, O'Looney a publié cette déclaration, qui  se lit  en partie ainsi :

Il n'y a pas eu de décès en excès en 2020 - c'est aussi simple que cela, et rien ne changera l'avis de  tous ceux qui sont dans  l'industrie qui ont les yeux ouverts sur ce mensonge - et ils sont nombreux.

La réalité est que le taux de mortalité n'a grimpé qu'au moment où ils ont commencé à mettre des aiguilles dans les bras en janvier 2021. Vous pouvez le croire ou non, mais j'étais l'une des personnes qui a ramassé ces pauvres âmes et un grand nombre d'entre elles.

Avance rapide et nous voyons maintenant une énorme augmentation des décès liés à la thrombose exclusivement chez les receveurs d'injection.

J'ai récemment été admis aux soins intensifs de l'hôpital de Milton Keynes après avoir développé des symptômes de Covid.

J'ai passé trois tests de flux latéral pendant mon séjour et on m'a dit à l'époque que je n'étais pas positif, mais plus tard,  dans le service, on m'a. appris que j'étais positif, donc clairement c'était confus, et je dirai que je me sentais vraiment  très mal.

Mais fondamentalement, pour moi, les choses ont beaucoup changé dans les hôpitaux et l'une des toutes premières personnes à me rendre visite à mon chevet a été  un représentant de l'Université d'Oxford financé par la fondation Gates, me suppliant d'essayer de nouveaux médicaments (tout en étant incapable de me regarder dans les yeux ) même pas lié à Covid - naturellement j'ai refusé.

On m'a dit que j'allais mourir et que ces médicaments seraient ma dernière chance ; encore une fois, j'ai refusé et je suis resté fidèle à mes convictions.

Croyez-moi, ce n'est pas une chose facile à faire, allongé seul dans une salle d'hôpital, incapable de respirer facilement et privé de tout soutien ou visite de la famille.

C'est délibéré, c'est destiné à vous briser. Il semble y avoir plus d'empressement  à encourager à devenir un cobaye qu'à  soigner. J'ai regardé avec tristesse les autres personnes dans la salle qui étaient toutes vaccinées sans exception.  

En fait, à ma connaissance, j'étais le seul dans la salle à ne pas être vacciné - Les autres  sont probablement tous partis maintenant... Et on m'a rappelé "à quel point j'étais égoïste" même dans l'ambulance sur le chemin,  une vraie merde.... L'environnement hospitalier a fondamentalement changé au-delà de tout ce que je connaissais, et même s'il y avait des impressions  et des échos de ce qu'il était autrefois, c'est un endroit très différent maintenant. Je soupçonne qu'il est déjà entièrement privatisé; on ne nous l'a simplement pas dit...

Je me sens très chanceux d'avoir échappé à l'hôpital (je n'aurais jamais rêvé que j'aurais vécu pour dire ça) avec l'aide de ma famille et d'amis.

J'étais initialement sceptique à propos de Covid, mais je peux confirmer sa validité et c'est très désagréable. Mais je peux aussi vous dire que c'est 100 % d'origine humaine, ce n'est pas un virus naturel et c'est une attaque contre nous tous - c'est un bio arme.

Mon conseil pour aller de l'avant est de réseauter, de se préparer et en toutes circonstances d'essayer d'éviter d'aller à l'hôpital parce que je soupçonne que beaucoup des pauvres âmes que j'y ai vues ne reviendront jamais une fois  devenues des éprouvettes pour la Fondation Gates.

Les chuchotements sinistres secrets et les regards coupables de certains membres du personnel m'ont beaucoup appris. Honnêtement, c'était très effrayant et traumatisant de voir à quel point cela a changé - surtout lorsque j'ai demandé à partir.

Les tactiques utilisées pour essayer de me forcer à rester étaient pour le moins sadiques et c'est autant de détails que je peux donner, sauf pour dire que je me sens très très chanceux d'être sorti.

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