Le gouvernement canadien DÉTRUIT tous les vaccins à ARNm contre la Covid pour éliminer les preuves de crimes génocidaires contre l'humanité

 De : https://www.naturalnews.com/2024-09-13-canadian-government-destroying-covid-mrna-jabs-eliminate-evidence.html

13/09/2024 // SD Wells


Le premier ministre autoritaire du Canada, Justin Trudeau, et ses insidieux collaborateurs du ministère de la Santé du Canada sont en train de détruire tous les vaccins contre la Covid qu’ils ont en stock en ce moment. Ils prétendent le faire parce que les vaccins ne valent plus rien, puisque ces souches de Covid ne circulent plus et parce qu’ils préparent de nouveaux vaccins contre les caillots pour la prochaine vague de (insérer la lettre grecque et le chiffre ici) variants. Mais est-ce la vérité ? Très probablement pas. Alors que le Canada rappelle, collecte et détruit toutes ses injections de nanoparticules, y compris toutes celles commercialisées par Pfizer et Moderna, de nombreux analystes et journalistes de la santé qualifient cela de la plus grande dissimulation et destruction de preuves criminelles jamais vue.

Lorsque les masses de Canadiens et d’autres victimes de la violence vaccinale dans le monde auront vent de la cause de leurs blessures et de leurs symptômes permanents (syndrome de longue durée des vaccins) et de la mort des moutons injectés, il n’y aura plus aucune preuve (à part les autopsies) à utiliser dans les procès de Nuremberg du nouvel âge des meurtriers de masse qui savaient exactement ce qu’ils faisaient lorsqu’ils ont imposé ces vaccins toxiques à la population.

Des dizaines de millions de « vaccins » mortels contre le Covid sont rappelés par le gouvernement pour être détruits maintenant que la vérité éclate sur les nanoparticules auto-assemblées

Les principaux responsables gouvernementaux et politiques du monde entier se préparent peut-être à se défendre contre les poursuites judiciaires qui les attendent pour avoir promu et propagé l'arme de destruction massive la plus violente et la plus insidieuse jamais connue : les « vaccins » contre le Covid. Dans ce qui semble être une vaste opération de dissimulation et de destruction de preuves criminelles , les responsables de la santé et les politiciens collaborent pour détruire tous les derniers vaccins contre le Covid qui existent encore depuis la pandémie. Ainsi, s'ils sont pris pour les avoir utilisés pour tuer des millions de personnes, ils n'iront pas en prison à vie ni ne seront pendus pour cela.

Pendant des décennies, on a découvert que les vaccins (oraux et injectables) étaient contaminés par toutes sortes de produits chimiques, de souches de virus vivants (pensez au circovirus ici), d’OGM, de bactéries infectieuses, de cellules abortives humaines, de toxines de métaux lourds et bien plus encore. Aujourd’hui, les scientifiques découvrent que les vaccins à ARNm ont la capacité de provoquer des caillots vasculaires caoutchouteux dans le sang, d’envahir les organes vitaux et de provoquer une pression immense sur le muscle cardiaque. Le problème est que les « vaccins contre le Covid-19 » sont des injections de thérapie génique synthétique , et la technologie ne correspond PAS à la définition des vaccins traditionnels. Ils n’ont jamais été testés pour leur sécurité à long terme et ont échoué aux essais sur les animaux car les animaux vaccinés sont morts après avoir contracté le virus dans la nature.

Chaque jour, des milliers de personnes sont blessées ou tuées par ces injections mortelles de nanoparticules altérant le génome. Lorsque le véritable bilan des victimes sera connu et publié, les fabricants et promoteurs de ces vaccins pourraient être poursuivis pour crimes contre l’humanité, y compris pour génocide. La destruction des preuves de l’existence de ces armes biologiques constitue une violation du Code criminel au Canada, comme dans de nombreux autres pays.

Depuis le mois dernier, toutes les provinces et tous les territoires du Canada ont reçu l’ordre de retirer et de détruire toutes les formulations actuelles de vaccins contre la Covid-19 (XBB) de tous les sites de leur juridiction, selon un porte-parole d’Alberta Health, comme l’a annoncé l’Agence de la santé publique du Canada (ASPC). Quelqu’un, quelque part, doit conserver certains de ces vaccins mortels pour s’y référer ultérieurement comme preuve de crimes contre l’humanité pour poursuivre ces meurtriers de masse.

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Les sources de cet article incluent :

NaturalNews.com

RechercheGlobale.ca

Covid-Crime.org

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