Vaccination- Un administrateur d'un hôpital grec menacé de poursuite pénale pour avoir trop parlé

 Texte en anglais : https://healthimpactnews.com/2021/greek-hospital-administrator-faces-criminal-prosecution-for-reporting-nurses-paralysis-after-second-mrna-shot/

Un administrateur d'un hôpital grec fait face à des poursuites pénales pour avoir signalé la paralysie d'une infirmière après la  deuxième  injection d'ARNm

CORFOU, GRÈCE - Une infirmière grecque est maintenant paralysée après avoir reçu une deuxième dose de vaccin ARNm. L'infirmière de 40 ans est mère de deux enfants et est infirmière depuis 17 ans.

L'infirmière, dont le nom n'a pas été divulgué, a eu de la  fièvre, suivie d'une douleur atroce dans tout son corps,  immédiatement après la deuxième injection. Elle a été transportée d'urgence à l'hôpital alors qu'elle était incapable de bouger ou de sentir ses membres inférieurs.

Michalis Giannakos, président de la Fédération pan-hellénique des travailleurs des hôpitaux publics (POEDIN), a déclaré à Open TV   que les radios ( rayon X)  étaient normales.

L'infirmière subit actuellement des évaluations neurologiques.

Giannakos a déclaré que l'infirmière «était en parfaite santé» avant de recevoir la deuxième injection d'ARNm. On pense que l'infirmière a développé un syndrome de Guillain-Barré.

La maladie neurologique amène le système immunitaire à attaquer les nerfs dans tout le corps. Giannakos a déclaré que l'infirmière était maintenant en fauteuil roulant.
Il n'a pas  critiqué les injections  d'ARNm  ,  mais  affiché un profond désarroi  face à la situation de cette collègue   blessée.

«Nous ne disons rien de mal sur le vaccin, au contraire, mais notre collègue est en fauteuil roulant ,  ne peut pas se lever et est littéralement  terrorisée», a-t-il déclaré. 

«Je suis pleinement conscient de ce que je dis. Les médecins là-bas disent également que c'est un effet secondaire du vaccin."
 

On ne sait pas si elle a reçu les vaccins de Pfizer ou Moderna. Mais à ce jour, la Grèce a reçu près de 800 000 doses de Pfizer et 135 000 doses de Moderna.
 

Des accusations criminelles pour avoir rapporté la vérité?

Le parquet du tribunal de première instance envisage de porter des accusations pénales contre Giannakos. 

Le média grec Ethnos rapporte qu'un procureur enquête pour savoir si Giannakos a commis le crime de «diffusion de fausses informations».
 

Son crime serait  donc d’avoir explicité  un  des effets indésirables du vaccin ARNm avec «trop de certitude».