L' hécatombe et les souffrances post-injections continuent

 EXTRAITS de: https://healthimpactnews.com/2021/death-and-suffering-continue-to-follow-covid-19-bioweapon-injections/

 L’hécatombe et les souffrances post- injections continuent

 
Par Brian Shilhavy - 
Rédacteur en chef , Health Impact News

Si vous passez pour la première fois  sur Health Impact News, veuillez comprendre que je n'utilise pas le terme «arme biologique» de manière désinvolte, et que je n'ai pas l'intention de faire du sensationnel avec  les informations les plus censurées  qui soient sur ces injections  expérimentales  et non approuvées par la FDA.

«Bioweapons» »armes biologiques » est le terme actuellement utilisé par de nombreux médecins et scientifiques, dont la plupart sont censurés par les médias officiels grâce au financement massif de Big Pharma. Veuillez cliquer sur certains des liens à la fin de cet article pour vous renseigner sur la masse des informations qui sont criminellement censurées par Big Tech et les médias officiels.

Parce que,  comme l'illustrent les histoires que nous  rapportons aujourd'hui, et que ces histoires  qui augmentent rapidement en fréquence  incluront bientôt des enfants,  il faut redire que ceux qui ne font pas leur propre recherche indépendante sur les injections de COVID-19 mettent leur vie en grand danger.

Voici six autres histoires extraites de  notre longue liste depuis que les injections expérimentales ont été utilisées en urgence, montrant comment des vies sont détruites par ces injections eugéniques

 

Un archer olympique malais de 27 ans a développé des caillots sanguins. Il est  mort 10 jours après la deuxième dose d'ARNm de Pfizer 

par Haziq Kamaruddin:

KAJANG, SELANGOR - Un archer de compétition de 27 ans s'entraînait pour avoir une chance de représenter la Malaisie aux Jeux olympiques d'été de Tokyo 2021.
Il est maintenant mort et les autorités malaisiennes appellent cela une coïncidence.

M. Haziq Kamaruddin a reçu la première dose d'ARNm expérimental de Pfizer le 13 avril, deuxième jour du Ramadan dans le pays. Il a reçu la deuxième dose le 4 mai. Il a partagé des photos de la première dose sur Instagram.

Tous les athlètes malais qui souhaitaient concourir au niveau international ont été contraints de subir ces injections à ces mêmes dates.
M. Kamaruddin n'a apparemment souffert d'aucun effet secondaire immédiat. 

Hari Raya Aidilfitri (Eid al-Fitr) a commencé le 12 mai. C'est une fête religieuse musulmane de deux jours, marquant la fin du Ramadan.
Un membre de la famille a déclaré au Malay Mail que M. Kamaruddin avait fait Fajr (Subuh), la première prière musulmane de la journée, le vendredi matin 14 mai après la fin de Hari Raya Aidilfitri.
Il est allé aux toilettes après la prière, en en sortant il  s'est soudainement effondré. 

M. Kamaruddin est décédé moins de deux heures plus tard à son domicile.
 

Conséquences
Une autopsie a révélé des caillots de sang au  cœur. La ministre de la Jeunesse et des Sports, Reezal Merican, Naina Merican, a immédiatement minimisé le rôle des injections  expérimentales de Pfizer. Il a déclaré que  les 242 autres athlètes avaient tous reçu les doses  en même temps, insinuant qu'aucun d'entre eux n'avait subi d'effets indésirables.

Sa déclaration à Free Malaysia Today semblait avoir été écrite  par les relations publiques de Pfizer, l'Organisation mondiale de la santé ou les Centers for Disease Control:
Je sais que certaines personnes ont lié la mort de Haziq à la vaccination Covid-19. C'est un acte irresponsable. J'exhorte tout le monde à ne pas diffuser des informations qui ne sont pas vraies. "

M. Kamaruddin était  archer de compétition depuis l'âge de 17 ans. Il avait  représenté la Malaisie aux Jeux olympiques d'été de 2012 à Londres et aux Jeux olympiques d'été de 2016 à Rio de Janeiro. M. Kamaruddin était membre de l'équipe malaisienne d'arc classique qui a remporté une médaille d'argent aux Jeux asiatiques de 2014 à Incheon, en Corée du Sud. Sa dernière compétition a eu lieu à la Coupe d'Asie 2020 à Bangkok.

Il se préparait pour les qualifications olympiques de Tokyo 2021 à Paris du 19 au 21 juin. D'autres tests sont en cours pour évoquer une cause «officielle» de décès

Le premier homme à se faire vacciner contre le Covid-19 au Royaume-Uni meurt d'une «maladie non liée» au vaccin

Par Cristina Laila de Gateway Pundit
Bill Shakespeare a fait la une des journaux en décembre pour avoir été le premier homme à se faire vacciner contre le Covid au Royaume-Uni.
Shakespeare, 81 ans, est décédé d'une «maladie non liée»  au vaccin 5 mois après avoir reçu le vaccin Pfizer-BioNTech.

Selon les médias britanniques, Shakespeare est mort d'un accident vasculaire cérébral et cela n'avait rien à voir avec la piqure expérimentale de Covid. Affaire classée.
La BBC a rapporté:
La deuxième personne au monde à  avoir reçu le vaccin Pfizer-BioNTech est décédée d'une maladie sans rapport avec le vaccin.
Bill Shakespeare, 81 ans, avait reçu son premier vaccin Covid en décembre à l'hôpital universitaire de Coventry peu de temps après Margaret Keenan, 91 ans.

L'homme de 81 ans, qui avait servi sa communauté locale à Allesley pendant plus de trois décennies, est décédé d'un accident vasculaire cérébral, ont déclaré les hôpitaux universitaires de Coventry et Warwickshire NHS Trust.

Dans un hommage, rendu public , sa femme, Joy, a déclaré: «Bill était très reconnaissant de s'être vu offrir l'opportunité de devenir l'une des premières personnes au monde à recevoir le vaccin.
«C'était quelque chose dont il était extrêmement fier - il adorait voir la couverture médiatique et la différence positive qu'il a pu faire dans la vie de tant de gens.
«Il en parlait souvent  et encourageait toujours tout le monde à se faire vacciner chaque fois qu'il le pouvait.»

Sula, 26 ans, est décédée deux semaines après
 le vaccin Moderna

Chance «Florexic» Sula est décédé deux semaines après sa première dose du vaccin Moderna. Il a été dit qu'il a développé des caillots sanguins qui ont entrainé  une crise cardiaque.
La nouvelle s’est répandue  sur les réseaux sociaux au nom des membres de la famille de Chance. Ils aimeraient  sensibiliser les autres,  aux conséquences potentielles de ces vaccins expérimentaux.
Les amis et la famille de Chance Sula collectent actuellement des fonds pour couvrir les frais funéraires. Leur objectif est d'amasser 10 000,00 $.

Jennifer Appolloni, 39 ans, a eu un accident vasculaire cérébral 4 jours après le vaccin Pfizer
 
L'histoire de l'AVC de Jennifer Toole Appolloni a été révélée pour la première fois sur les réseaux sociaux le 18 avril 2021.
Tiffany Toole, la sœur de Jennifer, avait publié l’information sur Facebook. Le même jour, @angelaisawake a tweeté les informations sur Twitter.
La nouvelle que Jennifer a subi un grave accident vasculaire cérébral cinq jours après son vaccin Pfizer a commencé à se répandre rapidement.

 
Inde: Raam Laxman, compositeur de musique de Bollywood, 78 ans, alias Vijay Patil, décédé six jours après la deuxième injection de Covishield (AstraZeneca)

NAGPUR, MAHARASHTRA - Un compositeur de musique emblématique de 78 ans est mort, envoyant des ondes de choc dans l'industrie cinématographique de Bollywood.
 
Raam-Laxman était le nom d'un duo de musique des années 1970. Vijay Patil était ‘Laxman, tandis que son partenaire Surendra était Raam. Surendra est décédé en 1976 presque immédiatement après que le duo ait signé un contrat avec Rajshri Productions pour composer la partition musicale du film de 1977 «Agent Vinod». Patil a adopté le nom de scène complet Raam Laxman (également orthographié Raamlaxman et Ram Laxman) pour le reste de sa carrière.
 
M. Patil («Laxman») a reçu la deuxième dose de vecteur viral expérimental de Covishield le 16 mai ou vers cette date, selon Press Trust of India (PTI). Covishield est simplement un autre nom de marque pour le produit AstraZeneca fabriqué en Inde. Vaxzevria est encore un autre nom pour les injections AstraZeneca.
 
Amar Patil, le fils de Laxman, a déclaré à l’agence de presse que son père avait immédiatement ressenti une faiblesse et un malaise général à son retour à la maison après avoir reçu la piqure. Les médecins ont soigné Laxman à son domicile de Nagpur. Mais les effets néfastes de l’injection étaient trop difficiles à surmonter. Amar a déclaré que Laxman était décédé d'une crise cardiaque tôt samedi matin.
 
Sa crémation et les derniers rites ont eu lieu hier à Nagpur. Ainsi, aucune autopsie ne sera effectuée.

Clive Haddon: un Australien de 74 ans  est mort à l'hôpital après que les médecins ont refusé de le traiter pour des caillots sanguins AstraZeneca
 
ADELAIDE, AUSTRALIE DU SUD - Un homme de 74 ans est mort après que des médecins australiens l'ont littéralement vu souffrir et mourir sans intervenir.
M. William Clive Haddon a reçu le vecteur viral expérimental AstraZeneca le 1er mai ou vers cette date, selon ABC (Australian Broadcasting Corporation). Sa fille, Michelle Haddon, alias Lexi Logan sur Facebook, raconte l'histoire à partir de là - une histoire qui ressemble à un vrai roman dystopique.
 
M. Haddon a ressenti de graves douleurs abdominales et a eu des caillots de sang dans ses urines le 13 mai. Une ambulance l'a emmené à l'hôpital de Modbury. Mais les médecins ont rejeté son état comme une simple infection des voies urinaires, lui ont donné des antibiotiques et l'ont renvoyé chez lui.
 
M. Haddon a continué à saigner et à souffrir pendant les 24 heures suivantes. Il est retourné à Modbury le samedi matin 15 mai.
 
Cette fois, ils ont retiré les caillots de sang de ses voies urinaires, ce qui signifie qu'il était complètement bloqué et qu'il endurait une douleur atroce. Les médecins ont refusé de lui donner des analgésiques.
 
Il a été transféré («handballed [off]» comme Michelle l'a décrit) à l'hôpital Lyell McEwin plus tard dans la soirée. Une infirmière lui a donné ce qui équivaut à  du Tylenol alors qu'il souffrait d'une douleur atroce et qu'il avait manifestement besoin de quelque chose de plus fort. Aucun test n'a été effectué pour déterminer la cause du saignement. Lorsque M. Haddon a demandé à quel moment les tests seraient effectués, l’infirmière, selon Michelle, a répondu «ne cherchez pas les ennuis  » et qu’il serait testé «peut-être demain, peut-être lundi, qui sait, c’est le week-end».
 
Michelle a dit à l'infirmière que son père avait reçu le vaccin AstraZeneca quelques semaines auparavant. L'infirmière a haussé les épaules et a dit qu'elle avait aussi eu la piqûre et que rien  ne s’était passé pour elle.
 
Le cauchemar a continué
L’hôpital a ordonné à Michelle et à l’épouse de M. Haddon de partir parce que les heures de visite étaient terminées. M. Haddon a eu un accident vasculaire cérébral à Lyell McEwin par la suite, mais n'a reçu de traitement que quelques heures plus tard. Il a continué à saigner abondamment et à souffrir .

M. Haddon a de nouveau été transféré à l'hôpital Royal Adelaide. Les médecins ont découvert plus de caillots sanguins dans son cerveau et ont pratiqué une intervention chirurgicale d'urgence qui a révélé des lésions cérébrales causées par l'AVC.
Mais la chirurgie n'a pas réussi à éliminer les caillots sanguins ni à améliorer son état. Michelle a de nouveau dit aux infirmières que son père avait reçu le vaccin AstraZeneca. Encore une fois, elles ont haussé les épaules .
 
M. Haddon a été transféré à l'unité de soins intensifs le lundi 17 mai. Michelle a parlé au médecin de l'unité de soins intensifs et qui n'avait aucune idée de ce qui se passait avec son père. L'hôpital de Modbury n’avait transféré  aucune information à Royal Adelaide . L'ensemble de la chaîne de communication avec tous les hôpitaux a été un échec complet, délibérément ou non.
M. Haddon a été placé sous respirateur l’ après-midi. Il est décédé jeudi ou vendredi dernier.

Regardez le reportage de 9News en Nouvelle-Galles du Sud. Si vous  faites attention vous verrez l’infirmière hausser les épaules au moment où Michelle dit que son père a reçu  l’injection   AstraZeneca
 
Aussie Auschwitz
C’est peut-être l’histoire la plus horrible que nous ayons couverte sur ce blog, et cela en dit long. Mais cela ne devrait pas être une surprise car l'Australie est en passe de devenir l'épicentre d'un génocide évident lié à ces vaccins expérimentaux.
 
Nous avons écrit sur le cas d’ Ellie Peacock, 18 ans, hier soir. Cette jeune  femme du Queensland a littéralement dû supplier le personnel médical de la tester pour des caillots sanguins après son injection d'AstraZeneca. Heureusement, elle a survécu à ce qui est apparemment, pour le dire poliment, des soins de santé gouvernementaux de mauvaise qualité en Australie.

De plus, il est littéralement illégal pour les médecins du Queensland de prescrire de l'hydroxychloroquine pour COVID-19, malgré 219 études évaluées par des pairs montrant son efficacité à la fois comme traitement et comme prophylaxie.
Les médecins peuvent être condamnés à six mois de prison pour avoir prescrit le médicament.
 
Il y a aussi le professeur John Hayball, que Sky News a qualifié de «principal immunologiste sud-australien».
Il a dit aux Australiens de prendre les vaccins et "ne posez pas trop de questions, prenez-les. »
Les choses vont empirer ici et à l'étranger. Pratiquement tous les collèges et universités des États-Unis imposent des injections expérimentales d'ARNm et de vecteurs viraux pour tous les étudiants pour le  semestre d'automne 2021.

Ce serait formidable de voir des manifestations de masse et d'énormes baisses des inscriptions en conséquence.

Mais malheureusement, beaucoup de jeunes Américains, Australiens et  autres jeunes  dans le monde sont complètement endoctrinés et n'ont pas la capacité de penser par eux-mêmes.
Tout ce que vous pouvez  faire , pour le moment  consiste à rester vigilant et à essayer de protéger votre entourage


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