Stratégie et mode de fonctionnement des acteurs globalistes du N.O.M.: La Franc-Maçonnerie a été mobilisée par les acteurs du Nouvel Ordre Mondial
Ce qui peut être objectivement observé
La Franc-Maçonnerie est objectivement devenue légaliste, affairiste et dans certains endroits la concernant, on peut également dire qu’elle est devenue « clubiste ».
L’entre-soi exaspéré débouche toujours sur des pratiques perverses comme les passe-droits, le favoritisme qui exclut le mérite, le copinage, le « pactum sceleris », les a priori douteux, la paranoïa, une pensée qui édicte et qui impose…
En maçonnerie, il y a aujourd’hui bien des maçons qui ressemblent à Klaus Schwab du FEM de Davos, et qui estiment être les dépositaires de la véritable connaissance, ce qui veut dire les dépositaires de la vérité les autorisant à décider et à édicter pour les autres… Les « autres » sont ceux qui ne savent pas, les « inutiles », le petit peuple des ignares, ceux qui habitent dans « l’autre camp » selon l’expression d’un Franc Maçon célèbre le préfet de Paris, Didier Lallement s’adressant à une femme Gilet jaune !
Ces maçons-là estiment qu’ils peuvent décider ce que doit être le monde ou ce que doit être la société parfaite et les individus qui la composent. Cette arrogance du dogmatisme totalitaire des maçons dans les administrations au service du pouvoir politique, a des effets dévastateurs.
Les révolutionnaires de 1789 qui réunissaient beaucoup de Francs-Maçons étaient de ce style, ayant rapidement et logiquement institué le règne de la Terreur. Plus tard, dans le cours de l’histoire, des révolutionnaires du même style en sont venus à édifier des camps de rééducation avec la torture si parfaitement imaginée et soigneusement mise au point par les inquisiteurs de l’église catholique…
Dans la Franc-Maçonnerie, le bon usage du symbolisme est souvent devenu une symbolâtrie, c’est-à-dire, un conformisme qui récite les idées convenues dans un raidissement sur l’interprétation catéchétique des symboles… Le prêt-à-penser tout à fait inutile est une conséquence d’un entre-soi tout en l’encourageant de plus bel jusqu’à devenir le souci de se protéger de l’autre et des autres…
La symbolâtrie crée une atmosphère mentale dans laquelle la maçonnerie perd son âme et tout son pouvoir attractif pour les nouvelles générations.
Comme la plupart des faiseurs d’opinions de la médiacratie sont des sophistes, la Franc-Maçonnerie elle aussi est souvent devenue conformiste et le rouage des institutions qui pratiquent à grande échelle le dressage des peuples, relayant les actions et les discours qui veulent imposer par la force le « bien » à la place des autres ! Des maçons comme Lallement à l’instar d’un Emmanuel Lechypre, se sentent responsables de ce qui est bien pour les autres en estimant devoir leur imposer leur vérité, l’ordre qu’ils ont idéologiquement élaboré !
La Franc-Maçonnerie est devenue dogmatique, intolérante, cléricale !
Le laïcisme du GODF poursuit un combat inutile et dépassé qui veut encore défendre « la République une et indivisible », dans laquelle l’Etat est devenu le Pontife de la société laïque qui élimine par le massacre tous ceux qui ne se plient pas à ses quatre volontés !
La Franc-Maçonnerie se transforme en succursales de partis politiques, qui deviennent des groupes de pression aux préoccupations purement profanes.
C’est l’Etat théocratique qui a engendré un clergé pour le servir. La technocratie et la bureaucratie sont là pour incarner le totalitarisme d’un principe théocratique appliqué à l’Etat profond, devenant ainsi le contraire de l’Etat Nation et quasi son ennemi juré… L’Etat profond, théocratique ne peut pas saisir l’inconscient collectif du peuple, de la Nation et dès lors le persécute car la Nation n’est pas l’esclave de la dérive jacobine de cet Etat profond qui se prend pour dieu… Si les administrations au service de l’Etat incarnent la persécution de l’Etat incompatible avec le principe même démocratique, c’est grâce à ceux qui en deviennent les relais, les courroies de transmission du dictat provenant de cette « élite » certaine de savoir ce qui est bien pour les autres … En jouant le jeu de la propagande d’une « République une et indivisible », la maçonnerie qui a soutenu franchement le délire de la doxa étatique hautement mensongère au cours des trois années de fausse pandémie et de campagne de « vaccination » génocidaire, a aussi basculé dans l’idéologie de la terreur, en alimentant le narratif de la peur indispensable à la soumission des « idiots » comme le disait Jacques Attali dans son livre « L’avenir de la vie », chez Seghers, 1981, dialogue avec Michel Salomon !
Mais les idéologies sont caduques, même celle de la mondialisation actuelle concentrée entre les mains de gens qui savent utiliser la pathologie de l’entre-soi par excellence, cet « entre-soi » étant un travers facilement cultivé par les Francs-Maçons.
C’est de cette façon, que malgré eux, les Francs-Maçons sont devenus un rouage irremplaçable pour le dressage des masses à la soumission au dictat totalitaire du mondialisme… C’est leur omniprésence dans les structures étatiques les plus hautes qui a fait d’eux les garde-chiourmes de l’avènement orwellien d’un transhumanisme ayant pour but ultime le « piratage de l’animal humain » : une trahison spectaculaire de l’idée maçonnique qui est à son exact opposé !
Nous savons que les Obédiences Maçonniques avaient un groupe important de frères et de sœurs Maçons travaillant dans la commission d’éthique de l’Union Européenne à Bruxelles.
A l’époque, José Manuel Durão Barroso s’était chargé de confier la direction de cette commission d’éthique, à des intellectuels chevronnés : un groupe de théologiens Jésuites. L’Eglise catholique qui avait été virée brutalement de ses prérogatives par la porte du modernisme et dont les Francs-Maçons avaient été les ardents animateurs surtout depuis la Révolution française, trouvait ainsi l’occasion idéale de revenir dans les antichambres du pouvoir, au niveau européen, par la fenêtre de cette opportunité !
Face à ces théologiens triés sur le volet, les Maçons se plaignaient de ne pas être à la hauteur, car ces Jésuites avaient une formation et une culture nettement supérieures à tout ce qui pouvait se trouver en maçonnerie.
Michel Maffesoli écrit dans son livre sur la crise actuelle de la Maçonnerie, « Le Grand Orient, Les Lumières sont éteintes », Guy Trédaniel éditeur, 2023 :
« Le Grand Orient est devenu un « club » paraétatique, obéissant à l’idéologie socialisante. On pourrait dire qu’il s’agit d’une ONG au service des pouvoirs publics ayant troqué recherche symbolique pour le prétendu « sociétal », voire d’un des nombreux think tanks dans lesquels s’élaborent les divers programmes électoraux et la répartition des postes de pouvoir. Ce qui conduit le Grand Orient à n’être qu’une sorte de « wokisme » maçonnique se contentant d’activités mondaines ou de fantaisies badines, bien loin de la recherche de la « connaissance », cœur battant de la maçonnerie authentique. » (page 26)
Il décrit encore ce qu’était la Franc-Maçonnerie lorsqu’il s’était intéressé à elle : « … dévoiler ce qui est caché dans les cryptes de la mémoire immémoriale. Celle de la Tradition. Ce qui est l’intemporelle vocation de l’Ordre maçonnique. »
Son diagnostic est assez vitriolé :
« La société initiatique a été dénaturée par l’infiltration en son sein d’éléments n’ayant aucune qualification spirituelle, culturelle ou intellectuelle. Ce sont, surtout, des gens avides de pouvoir, ayant la plupart du temps mal réussi leur vie professionnelle et s’employant à faire de la communauté initiatique un groupuscule politique, une ONG pleine de ressentiment ou, pire, une caste se distribuant places et postes. D’une manière simiesque, ils imitent. » (Idem, Michel Maffesoli, page 26)
La dérive mafieuse du Grand Orient, dit ouvertement Maffesoli, se retrouve dans tous les corps constitués de la société : les Partis politiques, les médias, les syndicats, l’Ordre des médecins, l’enseignement et l’Education Nationale, le Comité olympique et les fédérations nationales et internationales sportives, notamment la FIFA, etc…
Une dérive mafieuse, c’est une dérive criminelle, une perversion, une catastrophe, une trahison absolue de la Franc-Maçonnerie en soi ! Dans ces conditions, il faut bien dire que la Franc-Maçonnerie n’a plus aucune espèce de légitimité ni d’utilité pour la société …
La République jacobine nous a révélé, au moins depuis les Gilets jaunes, son vrai visage et sa réelle nature : un « camp de répression » dans lequel le peuple est parqué pour être dressé non seulement à la soumission, mais plus encore, dressé à aimer sa soumission, grâce au mensonge qui a assez duré. Le peuple français avait l’occasion de découvrir que le « camp » de la République n’était pas au service des intérêts du bien commun du peuple tout entier, mais au service d’une caste de privilégiés qui ont organisé le dressage du peuple pour l’exploitation et le pillage du peuple. La caste des tyrans du « camp » spécialisé en dressage ne supportait plus que ce peuple ait encore quelque chose à revendiquer. Elle voulait « remettre de l’ordre » : les maîtres d’un côté, le camp des « élites », les esclaves de l’autre, le camp des maltraités, de « ceux qui ne sont rien », de « la foule haineuse » accusée d’être sous l’influence de « l’extrême droite » !
Finalement, sans tarder, la tuerie de masse serait imaginée par le biais d’une pratique et providentielle « fausse pandémie » agrémentée d’un programme génocidaire de « vaccination » expérimentale à ARNm graphénisé. Une « providentielle pandémie » donc, ferait le boulot du massacre devenu nécessaire. Dès les années 2020, 2021, 2022, un bouc-émissaire serait tout trouvé : « l’antivaxx », « l’irresponsable », le « criminel égocentrique » qui ne penserait pas aux vieux, aux enfants et aux plus fragiles qu’il serait prêt à infecter et à tuer par sa faute !
Le Franc Maçon Emmanuel Lechypre disait ouvertement sur la chaîne RMC story, diffusée le 29 juin 2021 à partir de 13h06 :
« On vous vaccinera de force, moi je vous ferai emmener par deux policiers au centre de vaccination. Faut aller les chercher avec les dents et avec les menottes s’il le faut […] Les non-vaccinés, ce sont des dangers publics, donc j’ai une démarche très claire : je fais tout pour en faire des parias de la société ! »
Les Francs-Maçons ont basculé dans le fanatisme covidiste et démontrent qu’ils sont au service des criminels génocidaires du Nouvel Ordre Mondial. Le GODF s’est lui aussi moulé sur les « valeurs » de ceux contre lesquels il prétendait lutter. En défendant le dogmatisme, l’idéologie de l’inquisition, les valeurs de la République, l’ultra libéralisme et la soumission totale à l’autoritarisme étatique, que la manipulation permanente appelle « démocratique », cette maçonnerie est devenue le meilleur instrument liberticide et sectaire, prêchant la soumission généralisée à toutes les injonctions totalitaires de l’Etat profond incompatible par définition avec l’Etat Nation… Nous avons pu l’observer lors de cette fausse pandémie artificiellement orchestrée par les représentants du mondialisme qui ont trouvé dans la Franc Maçonnerie une courroie de transmission providentielle…
Cette idéologie dans laquelle une grande partie de la Franc Maçonnerie a basculé, se cache et se légitime des vertus de l’intelligence artificielle, mais aussi du transhumanisme promotionné par le nazi Klaus Schwab, le créateur du Forum Economique Mondial de Davos.
Le GODF en tête, la maçonnerie est globalement dépassée parce qu’elle a abandonné la quête spirituelle du chemin initiatique. Pourtant, la quête spirituelle d’un chemin de vie initiatique, est justement la recherche des nouvelles générations…
Le problème c’était que les « vaccinés » étaient plus concernés par la Covid-19 que les non-vaccinés et les vaccinés infestaient les autres tout autant qu’ils étaient infestés eux-mêmes ! De plus, les « vaccinés » étaient victimes par milliers des effets secondaires des « vaccins », soit par les décès innombrables, soit par les blessures et souffrances infligées aux corps, du fait des contenus de ces injections à ARNm, de manière encore plus innombrables … (Cf., Jean-Yves Jézéquel, « Coronavirus & Great reset, tomes 1 et 2, éditions Publibook, 2023)
C’est le Préfet de Paris, Didier Lallement, qui allait incarner le mieux et dès le début de la répression des Gilets jaunes par le terrorisme d’Etat, cette volonté génocidaire du pouvoir. Or, cette histoire du préfet Lallement, sur sa notion étrange d’appartenir à un « camp », contre les citoyens appartenant à un autre « camp », nous en disait long sur la réalité de ce terrorisme d’Etat. (Cf., Jean-Yves Jézéquel, « L’insurrection des Gilets Jaunes et la nouvelle société qui vient », Tome 1, éditions Publibook, 2019, 318 pages – Tome 2, « L’insurrection des Gilets Jaunes, le massacre coronavirus et la nouvelle société qui vient », idem, 2021)
Nous nous souvenons encore de l’homme, Anders Behring Breivik, ce Norvégien qui, à 32 ans, avait planifié et réalisé le carnage du 22 juillet 2011 à Oslo et sur l’île d’Utøya : 77 morts par balles et 151 blessés à lui tout seul. Il avait organisé froidement ce massacre pour satisfaire ses convictions idéologiques, dans la pure tradition du conservatisme chrétien paulinien, illuminé par « sa mission spirituelle » de nouveau Templier, incarnant les vraies valeurs de notre « grande culture judéo-chrétienne, paulinienne », exaltée et inspirant la perfection indépassable de l’ultralibéralisme au service d’une élite qui pense résolument, tout comme le préfet Lallement, qu’elle « sera là pour toujours » (cf. allocution de Lallement le samedi 16 novembre 2019). Cette « élite » était persuadée qu’elle verrait prochainement en France la fin des Gilets jaunes écrasés par la puissance du terrorisme d’État ! La guerre du « camp Lallement » était la même que la guerre du « camp Breivik », parce qu’il y avait entre ces gens-là le lien mystérieux qui les unissait au-delà de la raison et de la conscience : la Franc-Maçonnerie… Breivik et Lallement étaient tous les deux Francs-Maçons.
La question de la Franc-Maçonnerie fait partie du problème qui nous concerne tous aujourd’hui en termes de pouvoir, de domination par les « élites », de souveraineté, d’autonomie, de sécession, de stratégie d’émancipation… Ce que nous pouvons en dire, concernant la France, est également valable pour l’international.
Dans le contexte de la Résistance, nous savons à quel point, durant la seconde guerre mondiale, la Franc-maçonnerie, les Juifs, les socialistes et les communistes ont incarné l’essentiel de l’engagement résistant contre le nazisme en France.
Dans ce contexte, on peut dire qu’il y avait une certaine cohérence du combat de résistants Francs-Maçons contre le nazisme, compte tenu de l’idéal maçonnique signifié par la Constitution d’Anderson (1723).
Nous savons également que beaucoup de Francs-Maçons du GODF étaient engagés dans le parti socialiste et ont occupé pendant longtemps des postes au sommet de la haute Administration de l’Etat français. Ces Maçons avaient été les défenseurs acharnés de la République et de la laïcité qui faisait partie de l’exception française !
Mais, il se trouve que le socialisme est devenu « libéral ». Les socialistes se sont laissés convertir au libéralisme, mis en avant par la droite politique en France au point où aujourd’hui, personne ne peut plus faire une différence réelle entre le PR et LREM, Renaissance ! De là, les socialistes, comme on le voit avec Macron, ont été tout naturellement conduits au mondialisme et à servir la cause du Nouvel Ordre Mondial, une occasion pour les Francs-Maçons de réaliser les vœux des fondateurs Francs-Maçons des Etats-Unis d’Amérique et une conséquence de leur compromis avec les visées hégémonistes des straussiens et de leurs congénères qu’ils avaient protégés des nazis dans les années 1940. Paradoxalement, le mondialisme et la cause du Nouvel Ordre Mondial portée par des organisations de la haute finance entre les mains des Rothschild et Compagnie, allait pousser les Francs-Maçons, devenus complices de ce monde des ploutocraties, dans les réflexes conservateurs d’un élitisme étroit, privilégié, voire sectaire, qui s’opposent justement à la conception du socialisme original ! La Franc-Maçonnerie qui avait défendu l’idéal humaniste d’une communauté de destin dans la liberté, l’égalité et la fraternité, se retrouvait dès lors à son antipode !
Dans l’actualité, les Francs-Maçons incarnent « l’élitisme » au pouvoir et « l’élitisme » est incompatible avec les principes de démocratie et d’autogouvernement…
On découvrait donc, au moment des Gilets jaunes, la contradiction formelle entre une Louise Michel, Franc-Maçonne du Droit Humain, symbole de la Commune de Paris, et le préfet de Paris Didier Lallement, Franc-Maçon lui aussi, mais formellement opposé au « camp » du peuple méprisé !
Ce paradoxe illustre l’histoire de la dégénérescence qui s’est imposée en Occident par le biais du Capitalisme parasitaire financier et sa forme ultra libérale, promotionnée par les grands trusts financiers du monde avec lesquels la Franc-Maçonnerie s’était compromise.
Laurent Nuñez, ancien Directeur Général de la police au Ministère de l’Intérieur, devenu le nouveau préfet de Paris qui a remplacé Didier Lallement, est lui aussi un Franc-Maçon de l’Obédience GLDF.
Chaque Français doit savoir que tous les chefs d’inspection Générale de l’administration sont systématiquement des Francs-Maçons depuis 1945. Chaque Français doit savoir que c’est l’inspection Général qui contrôle les Préfets ! L’inspection Générale est également chargée de missions secrètes et tout cela est exclusivement entre les mains des Francs-Maçons. La Franc-Maçonnerie étant une organisation mondiale, les Francs-Maçons Français ne peuvent pas se permettre d’être exclusivement soucieux des intérêts du peuple français. Il y a dans cette situation de prise de pouvoir, via les grandes administrations pérennes entre leurs mains, un « Etat dans l’Etat », ce qui caractérise ce qu’on appelle « l’Etat profond », l’étatisme jacobin, celui qui se pense comme le rempart du système, le veilleur qui fait en sorte que le pays soit bien séparé en deux « camps » : celui des « élites » qui savent et celui du peuple qui doit se soumettre au grand savoir des « élites » veillant au « statu quo » de la République laïque…
La grande majorité des hauts fonctionnaires qui incarnent l’Etatisme jacobin, sont donc Francs-Maçons.
Le GODF, marqué par l’épisode des persécutions du régime d’extrême droite pro nazis de Vichy, interdisait et continue d’interdire à tous ses membres un quelconque engagement au Front National, devenu le Rassemblement National, taxé encore aujourd’hui du nom « d’extrême droite », même si cela est devenu parfaitement inexact dans la réalité politique actuelle, mais très pratique pour le jeu de dupe qui opère sa magie à chaque élection présidentielle toujours en faveur du projet d’un gouvernement mondial.
Tout à fait par hasard, la police judiciaire de Paris, dont le Commissaire Divisionnaire était Franc-Maçon lui aussi, allait découvrir en 2020 l’existence de la Loge maçonnique « Athanor », qui abritait une officine du crime et qui s’était livrée déjà sur le territoire à plusieurs exécutions de gens représentant une opposition aux intérêts de la toute-puissance Maçonnique dans les affaires comme dans les instances du pouvoir. A cette occasion, la police allait découvrir que des membres Francs-Maçons de la DGSE étaient les commanditaires de ces crimes !
Lallement déclarait que le parti de son « camp » serait là « pour toujours » !
Qui a déjà entendu dire qu’un pouvoir, qu’un Etat, qu’un empire et ses légions toutes- puissantes « auraient été là pour toujours » en ayant eu le dernier mot sur les peuples ?! Non, monsieur Lallement, ce cas de figure n’a jamais existé dans toute l’histoire de l’humanité : « vous n’êtes pas là pour toujours », le pouvoir « n’est pas là pour toujours », l’Etat « n’est pas là pour toujours », car le mensonge n’a qu’une durée de vie limitée. En revanche, le peuple, lui, est assurément là, comme il était là avant l’erreur étatique et comme il sera encore là après le jour de sa chute finale, et cela jusqu’à ce que la Terre-Mère ait décidé elle-même de la fin ultime de l’aventure humaine sur la Planète …
La Franc-Maçonnerie est devenue synonyme de Pouvoir, tellement elle est omniprésente dans toutes les Instances de l’Etat profond opposé à l’Etat Nation. Sarkozy qui a imposé la Constitution européenne en 2008, contre l’avis négatif du peuple Français donné par referendum en mai 2005, constitution qui est un chef-d’œuvre pour la promotion du mondialisme, et structure spécialement adaptée au Nouvel Ordre Mondial pour la destruction en règle de l’Etat Nation, était Franc-Maçon de l’Obédience du Droit Humain. Son chef de campagne électorale et le grand spécialiste de la sécurité était un Franc-Maçon, le Grand Maître du GODF, Alain Bauer.
Tout ce que nous venons d’évoquer signifie que la Franc-Maçonnerie, incarne en effet, « l’élitisme d’Etat », il constitue un énorme réseau mondial et il est omniprésent sur le territoire national. Ses membres sont partout, et permettent un maillage extraordinaire du tissu social français.
Concernant la Franc-Maçonnerie, on a parlé d’un « Etat dans l’Etat ». Je pense que cette expression n’est pas exagérée, car la Maçonnerie en France estime qu’elle est l’incarnation de l’esprit républicain, la conscience morale de la France, le rempart qui défend l’idéal laïc de la France et la dépositaire de la conscience des Droits de l’Homme et du citoyen.
C’est au GODF, au musée de la Franc-Maçonnerie, rue Cadet à Paris, que se trouve l’original manuscrit ayant servi à la première édition de la Déclaration des Droits de l’Homme et du citoyen des 20 au 26 août 1789, car ce sont les membres révolutionnaires du GODF qui avaient élaboré cette déclaration ayant été ensuite proclamée à l’Assemblée Constituante à Paris en août 1789…
Les Francs-Maçons ont été de très actifs artisans de la Révolution de 1789 et c’est la raison pour laquelle on les retrouve encore si nombreux dans les rouages de l’Etat jacobin français.
Comme chacun le sait, Cambacérès, comme beaucoup d’autres révolutionnaires, était Franc-Maçon. Il présentait un projet de Code civil novateur, en août 1793. Fin 1794, un deuxième projet était à peine discuté car, Robespierre renversé, Cambacérés accédait alors au gouvernement. C’est ce Franc-Maçon qui allait diriger le Conseil d’État dont il faisait l’atelier des lois : le Code civil était enfin voté en 1804. Il créait l’organisation judiciaire. Cambacérés poursuivra longtemps l’œuvre législative : codes de commerce, code pénal, code de procédure administrative : création de la Cour des comptes ; judiciaire : réforme de 1810 et statut des avocats. Dans le souci de « restructuration de la société », il patronnera les Obédiences maçonniques et la gestion d’une noblesse originale !
C’est à partir de cet exemple, (qui n’est pas le seul), que l’on peut se rendre compte à quel point la Franc-Maçonnerie est omniprésente par son esprit dans les structures du pouvoir en France, depuis 1789, et comprendre pourquoi elle habite en soi le pouvoir qui a été totalement arraché aux mains du peuple dépossédé de sa souveraineté par le tour de passe-passe du Régime de la « représentation parlementaire »…
C’est pour cette raison que les mondialistes utilisent les rouages de la transmission maçonnique, qui est un authentique pouvoir dans le pouvoir, afin de rendre réel en l’incarnant, le Nouvel Ordre Mondial. La Franc-Maçonnerie appartient pour cette raison au « camp » mondialiste, contre le « camp » des Nations, contre les peuples revendiquant leur autonomie…
C’est ainsi que l’on peut décrypter l’étrange affirmation prononcée par le préfet de Paris, Didier Lallement, s’adressant à une femme Gilet jaune sur la Place d’Italie, le 16 novembre 2019 : « Nous ne sommes pas dans le même camp, Madame ! »
Conclusion
Il est bien utile de savoir pourquoi le pouvoir est pervers par nature et pourquoi le pouvoir n’est jamais légitime, car personne ne détient un pouvoir sur personne. En faisant référence à l’expérience du Chiapas, nous pouvons comprendre comment dans une véritable démocratie digne de ce nom, le peuple est celui qui commande alors que l’Etat est celui qui obéit !
De cela chacun pourra tirer sa conclusion, concernant le pouvoir jacobin perpétré par les réseaux Francs-Maçons, assurant dans l’ombre, un modèle de gouvernance immuable, manipulant au besoin un savoir-faire, en matière de terrorisme d’Etat, depuis l’expérience de la Terreur du 5 septembre 1793 au 27 juillet 1794.
Le rôle essentiel joué par la Franc-Maçonnerie en France (et dans le monde) aujourd’hui, est un rôle de surveillance. Il sert également les réseaux d’influences et les réseaux d’affaires. Cette dérive en son sein n’a pas manqué de provoquer bien des scandales de conflits d’intérêts.
La Franc-Maçonnerie vécue par une Louise Michel était respectueuse du peuple et des intérêts du peuple. La Franc-Maçonnerie, traumatisée par la persécution violente des pro nazis et des nazis en France, dans les années 40, a trahi son idéal humaniste et elle a fait le choix de la facilité en s’assurant le contrôle du pouvoir, dans l’espoir de se protéger ainsi « ad vitam aeternam », « nous sommes là pour toujours », disait Lallement, dérapant parfois dans les pratiques barbouzes, la criminalité et l’arbitraire du pouvoir pour le pouvoir à l’image des Breivik et des Athanor !
Qui assure donc, en France, les rouages concrets d’une mécanique orwellienne bien rodée ? Qui se charge de donner une réalité à ce « meilleur des mondes » vu par Huxley et qui assure les conditions du passage au transhumanisme, au tout numérique, au contrôle absolu des « transhumains nouveaux » tout en veillant sur les moyens mis en œuvre pour l’élimination des récalcitrants ou des sécessionnistes ? C’est la Franc-Maçonnerie !
Le même mois où Klaus Schwab fondateur du FEM (Forum Economique Mondial de Davos) publiait son livre sur la « Grande Réinitialisation », à l’occasion de la « fenêtre d’opportunité » ouverte par la fausse pandémie du SARS-Cov-2 n’ayant jamais été isolé, un franc-maçon italien (33ème degré) Giuliano Di Bernardo présentait son livre aux idées totalitaires.
De 1990 à 1993, il était Grand Maître de la Grande Oriente d’Italia et a ensuite fondé la Gran loggia regolare d’Italia – la Grande Loge régulière d’Italie. Aujourd’hui, il dirige sa propre loge : l’Accademia degli Illuminati, qui a son siège à Vienne. Il écrit dans son livre que les pandémies seront « normales » à l’avenir. Elles seront alors la règle plutôt que l’exception, dit-il. Selon lui, il est indispensable d’imposer la dictature pour obliger les peuples à se soumettre et cela peut être largement facilité par les « pandémies » qu’elles soient vraies ou « fausses » !
On peut alors, par « le piratage de l’animal humain », en utilisant la peur des « pandémies », parvenir à le contrôler infailliblement. C’est ainsi que le Nouvel Ordre Mondial s’imposera au Sapiens sapiens devenu le « transhumain » !
La parole de ce Franc-Maçon nous dit clairement que la Franc-Maçonnerie n’est pas le défenseur de la démocratie : son livre « L’avenir du Sapiens », prône ouvertement un gouvernement mondial composé d’une petite élite. Il appelle de ses vœux une dictature mondiale le plus vite possible. Tout indique, en effet, que les choses vont dans ce sens. Un récent rapport de l’ONU parle de création d’un « système de surveillance mondial », (sous prétexte de lutter contre les pandémies).
Vers la fin de son livre, le Franc-Maçon Di Bernardo écrit sans équivoque que les « Illuminati » doivent être impliqués dans les plans d’un gouvernement mondial dictatorial. Klaus Schwab et Di Bernardo puisent aux mêmes sources…
FIN
Jean-Yves Jézéquel
Les coloriages ajoutés sont un choix de ce blog
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