Comment le Great Reset nuit à la santé mentale des populations
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Comment le Great Reset nuit à la santé mentale des populations
- par Éric Verhaeghe
- 21 novembre 2021
La santé mentale des populations en Occident subit une impressionnante et dangereuse dégradation depuis que les gouvernements y gèrent la crise sanitaire en appliquant les prescriptions du Great Reset, fondées sur les peurs et leur agitation en tous sens. On doit au dernier panorama de la santé publié la semaine dernière une démonstration cinglante des risques psychiques engendrés par la caste éclairée qui prétend faire notre bonheur.
La santé mentale dans le monde industrialisé est désormais en grand danger, après un an de gestion sanitaire en mode Great Reset, où, de confinements en appels quotidiens à la peur, les esprits sont phagocytés par l’angoisse. C’est ce qui ressort du dernier Panorama de la Santé publié par l’OCDE, dont nous reproduisons un tableau particulièrement éloquent.
La santé mentale en chute libre en Occident
Depuis le début du confinement, les symptômes d’anxiété et de dépression ont littéralement explosé dans les pays où le Great Reset est consciencieusement appliqué.
En France, le phénomène dépressif a doublé en un an, comme au Royaume-Uni et au Japon. En Italie, les cas de dépression ont triplé, comme en Suède. Aux Etats-Unis, ils ont quintuplé et au Mexique pratiquement décuplé ! Ces chiffres hallucinants donnent une première idée de l’impact profond de la gestion autoritaire et anxiogène du COVID par les autorités qui utilisent les peurs pour anesthésier toute résistance au Great Reset qui se met en place.
Comment la caste mondialisée impose la peur
D’une certaine façon, il y a l’impact sanitaire apparent du COVID : ce sont les morts, les hospitalisés, les contaminés. Et puis il y a son impact caché, et surtout l’impact de l’excessive dramatisation de la maladie par la caste mondialisée qui se crispe sur son pouvoir. Cet impact caché, c’est la dégradation psychique directement due à l’angoisse maintenue en permanence par une communication gouvernementale tragique, par des campagnes de publicité alarmistes, par la manipulation quotidienne de la peur de la mort, du virus, de la maladie y compris auprès de gens qui sont très peu exposés au risque de mourir.
La caste mondialisée, dans le choix qu’elle a fait d’instrumentaliser la maladie pour zombifier les peuples, réalise en réalité un calcul court-termiste : les morts (au demeurant souvent très âgés) ne peuvent plus se rébeller… alors que les dépressifs sont encore là. Et le prix qu’ils payent risque de durer encore un certain temps…
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