Empêcher les populations d'être soignées , pour les piquer avec l' injection qui tue et handicape
Pour prouver que les populations sont bien infectées et par n'importe quoi , ces gens-là ont imaginé les tests qui font peur, répétés ad nauseam pour maintenir la pression. ("vous vous sentez bien ? erreur , vous êtes porteur de quelque chose qui pourrait être LE virus. " )
Pour soigner , il y avait l'hydroxychloroquine, susceptible de contrer le virus fabriqué par les américains , et qui a été interdite par Mme Buzyn le 13 janvier 2020
Pour gêner la fabrication de l'hydroxychloroquine , une des usines de mise au point des composants de l'Hydroxychloroquine , a brûlé
L' autre produit efficace pour sauver des vies est l'ivermectine , et dont l'ANMS a interdit l'utilisation, n'ayant pas le temps de lire les études qui lui sont consacrées.
Rappelons que l'ivermectine est à l'origine un antiparasitaire, qui a montré, dans des cultures cellulaires en laboratoire, sa capacité de détruire 21 virus, dont le SARS-CoV-2, la cause du COVID-19.
Le produit s'attaque donc au VIRUS , de préférence AVANT les dégâts provoqués par l'infection qui résulte de l'activité néfaste de ce virus dans l'organisme.
Et bien, ce médicament , prescrit en France hors AMM uniquement, est maintenant devenu presque INTROUVABLE au JAPON
On entend , ici , un député japonais qui interroge le ministre de la Santé
On notera , au passage la sobriété de l'environnement de cette assemblée et qui incite à la modestie.
Pas de dorures comme dans les lieux de réunion des princiers élus français
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