Cas d'un vacciné décédé montrant la présence de protéine de pointe dans le coeur et le cerveau
Il ne s'agit que d'un seul rapport de cas, mais les implications pour des patients dont le cerveau et le cœur se sont avérés contenir des protéines de pointe COVID après avoir reçu trois doses de deux injections COVID différentes sont nombreuses.
Et l'entier scénario ouvre la porte à de nombreuses questions sur la sécurité des injections d'ARNm.
Le patient souffrait de la maladie de Parkinson et sa famille avait noté "des changements comportementaux et psychologiques remarquables et une progression soudaine et marquée de ses symptômes de MP, ce qui a entraîné une déficience motrice grave et un besoin récurrent d'assistance en fauteuil roulant", a déclaré Joomi, blogueur de Substack.
Même s'il ne s'est jamais complètement remis des vaccins précédents, il en a quand même reçu un troisième et il est décédé par la suite.
Lors de l'autopsie, les médecins ont trouvé la "protéine de pointe en abondance" dans les tissus cardiaques et cérébraux de l'homme. « Il est important de noter que la protéine de pointe n'a pu être mise en évidence que dans les zones présentant des réactions inflammatoires aiguës (cerveau, cœur et vaisseaux sanguins)…
Cela suggère fortement que la protéine de pointe peut avoir joué au moins un rôle contributif au développement des lésions et de l' évolution de la maladie chez ce patient », ont écrit les médecins.
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