QUI va payer pour des décisions que nous n'avons pas prises ?
De : https://peterhalligan.substack.com/p/who-pays-for-the-measures-about-to?
Qui paie les mesures sur le point d'être imposées pour la réponse à la pandémie et au changement climatique gérées par l'OMS et l'UN-IPCC ? Regardons dans le mirroir.
James Roguski a rejoint Maria Zeee pour ALERTER toute l'humanité - l'OMS a aboli la dignité humaine, des droits de l'homme et des libertés fondamentales dans ses écrits élaborés lors de leurs réunions secrètes et négociant des amendements au Règlement sanitaire international, qui contraint légalement chaque pays membre
Je vais me concentrer sur l'aspect financier.
Passez à la marque des 15 minutes de la vidéo , (Ndt une vidéo Rumble absente) mais, si vous le pouvez , regardez les 48 minutes entières pour tout le contexte.
Demandez-vous comment tout cela va être financé ?
Pas seulement le financement direct des organisations « supranationales » comme l' OMS .
Mais qu'est-ce que les INDIVIDUS "représentant" les nations participant à la "conférence" engagent réellement leurs nations à faire ? N'oubliez pas que personne n'a voté pour ces INDIVIDUS, il n'y a eu aucun processus démocratique pour donner à ces INDIVIDUS le pouvoir de promettre les impôts de leur pays ou d'utiliser leur pays pour utiliser sa solvabilité.
Non, ces INDIVIDUS travaillent pour eux-mêmes, pas pour les électeurs de leur pays . Ils n'ont pas le droit de promettre des impôts ou d'emprunter de l'argent au nom de leur pays .
Rappelez-vous également que leurs pays sont tous en faillite. Les ratios dette/PIB des pays sont tous à ou autour de 100 %. Le PIB mesure la PRODUCTION d'une économie, et non le revenu (bénéfice/intérêt de cette production). Imaginez que vous avez une hypothèque à 100 % pour une maison d'une valeur d'un million de dollars. Vous avez combien . . ZÉRO. Étendons maintenant l'analogie. Vous gagnez, après impôts, 50 000 dollars par an. Mais pour entretenir cette maison, payer la nourriture, les vêtements , les études, la «santé», vous rendre au travail, payer Internet/câble/téléphones, etc., cela coûte 60 000 dollars par an. Est ce que ça va ? Non. Vous êtes en FAILLITE. Vous pouvez faire la même analogie au niveau gouvernemental.
Les gouvernements ont DÉJÀ emprunté plus que la production économique annuelle de leurs économies. Les gouvernements font DÉJÀ travailler leurs employés 2 à 3 jours par semaine pour le gouvernement car les impôts gouvernementaux (directs et indirects) du gouvernement fédéral, de l'État, de la ville et des collectivités locales prélèvent 40 à 60 % des salaires, traitements, revenus d'investissement ou d'épargne de la plupart des gens, ce qui est APRÈS les taxes imposées aux entreprises qui produisent des biens et des services.
Les gouvernements du monde entier ont des dépenses obligatoires et discrétionnaires lorsqu'ils élaborent des plans budgétaires. Les dépenses obligatoires concernent les programmes de protection sociale (sécurité sociale, Medicare, Medicaid, etc.). Pour les États-Unis, cela représente environ 90 % des impôts. Les dépenses discrétionnaires sont beaucoup plus faibles. Pour l'exercice clos le 30 septembre 2023, le gouvernement fédéral américain (et non l'État, la ville ou la municipalité) percevra environ 4,7 billions de dollars d'impôts. En théorie, environ un demi-billion serait «discrétionnaire» – au gré des politiciens. Mais ce n'est plus le cas.
Le gouvernement fédéral américain prévoit de dépenser 9 000 milliards de dollars . L'écart de 4,3 billions de dollars sera constitué d'emprunts ou d'impression de monnaie de la Fed.
La dette nationale accumulée des États-Unis est d'environ 31,4 billions de dollars. Le PIB américain est un peu moins de 26 000 milliards de dollars (rappelez-vous que c'est « la production » et non le revenu. Ce ne sera jamais remboursé. Si je devais vous emprunter de l'argent sans avoir l'intention de le rembourser, ce serait du vol. Aux gouvernements du monde entier monde, tout l'argent emprunté = revenu à dépenser pour tout ce qu'ils ont promis pour acheter des votes (et de garder pour eux).
L'impact des récentes hausses de taux par la Fed ne se fera pas sentir d'un seul coup, seulement sur la dette arrivant à échéance plus les nouveaux déficits annuels.
Mais considérez ce scénario. 31 000 milliards de dollars avec un taux d'intérêt de 3 % représentent presque un billion de dollars par an = environ 20 % d'impôts. Les dépenses discrétionnaires ne représentent que 10 % des impôts. Déjà, il y a des exigences pour réduire les prestations sociales de plus de 10 % sans emprunter de plus en plus. Toute augmentation supplémentaire des taux d'intérêt ne peut qu'entraîner davantage d'emprunts. Toute nouvelle augmentation d'impôt ne peut provenir que des 60 % des revenus les plus bas - les riches (avec plus de 10 millions de dollars) n'ont tout simplement pas la richesse/les actifs nécessaires pour couvrir des billions de milliards de dépenses et de dettes accumulées.
C'est ce que font les socialistes. Dépensez l'argent des autres jusqu'à ce qu'il soit épuisé, puis empruntez jusqu'à ce que la faillite soit imposée.
Ajoutez maintenant les frais supplémentaires que vous devrez payer en raison des nouvelles mesures sanitaires sur le point d'être imposées - 5 à 10 000 dollars par an ou devront être empruntés - or discrétion - par les INDIVIDUS à la conférence sur la santé - via une nouvelle fiscalité qui sera imposé par votre gouvernement.
Les INDIVIDUS à la conférence travaillent pour transmettre la souveraineté de tous les pays du monde à des organisations supranationales, comme l'OMS.
Les mesures poursuivies signifient que ces INDIVIDUS présents à la conférence s'efforcent d'IMPOSER des dépenses non discrétionnaires à tous les gouvernements du monde. Ces gouvernements devront emprunter pour payer les dépenses ou devront augmenter les impôts.
Il en va de même pour les mesures de lutte contre le changement climatique « convenues » – sans vote ni semblant de processus démocratique par des INDIVIDUS nommés par les gouvernements du monde entier.
Plus d'impôts et plus d'emprunts, entraînant plus de pauvreté, de maladies et de famine avec moins d'éducation, d'emploi et un niveau de vie plus bas.
Arbeit macht frei. ( le travail vous libère)
Le résultat inévitable du socialisme. Des périodes de prospérité lorsque vous avez accès au crédit, de récession lorsqu'il n'y en a plus et que les banques centrales ne peuvent plus en imprimer.
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