Mourrir en bonne santé par vaccination

 C'est ce qui est arrivé à pratiquement à toutes les morts subites rapportées dans ce blog  à partir d'un site de recensement des effets indésirables des vaccins anti-covid vantés comme indispensables à la survie de l'humanité. Tous les jeunes ou moins jeunes , volontaires ou non , pour une vaccination supposée être altruiste, étaient sans problème  de santé particulier avant vaccination. Le produit injecté les a  fait trépasser.

Les effets répertoriés et analysés dans les extraits ci-dessous  viennent d'un article publié par Néosanté  et se trouvent à : https://www.neosante.eu/astrazeneca-la-chute-dune-etoile/

Néosanté est une revue mensuelle de santé globale, réalisée par des journalistes professionnels, en collaboration avec des praticiens spécialisés  (médecins et thérapeutes). Elle est  axée essentiellement sur le décodage des maladies, 

leurs causes conflictuelles , les outils de bio-prévention , les nouvelles thérapies 

et l’analyse  des dérives de l’allopathie.


Le titre original de l'article est : 

 

AstraZeneca : la chute d’une étoile ?


Extraits :
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En Allemagne, 13 cas de thromboses veineuses cérébrales ont été rapportés après la vaccination. Intrigués, des chercheurs du centre médical universitaire de Greifswald ont obtenu les échantillons sanguins de 6 victimes et les ont analysés. Ils ont trouvé que le vaccin était bel et bien la cause des accidents en activant les  thrombocytes dans l’organisme du patient. 


En cas de blessure,  les plaquettes sanguines font merveille puisque ce sont elles qui assurent la coagulation du sang et la fermeture de la plaie. Mais dans ces treize cas-ci, le produit injecté a entraîné une réaction inappropriée et les thrombocytes se sont transformés en tueurs en provoquant l’apparition de caillots obstruant les vaisseaux cérébraux. Par quel mécanisme ? 


C’est ce qu’ont découvert les scientifiques norvégiens chargés également d’enquêter sur trois accidents post-vaccinaux chez des soignants. En collaboration avec des immunologistes, le Dr  Holme et ses collègues ont détecté des anticorps spécifiques qui ont déclenché une réaction immunitaire inattendue à l’origine des caillots sanguins. 


Pour les chercheurs, il ne fait pas de doute que cette réponse immunitaire fatale est engendrée par l’acte vaccinal. Contrairement à ce que persistent à raconter de « grands » médias, il est donc bien établi que le vaccin AstraZeneca peut générer de graves troubles de la coagulation. 


Des dizaines de personnes ont également perdu un œil ou sont devenues aveugles à la suite de la piqûre dans le bras. Ce qui demeure controversé, c’est la fréquence à laquelle ces drames se produisent.  C’est au prétexte de leur rareté que les autorités sanitaires ont décidé d’exonérer le vaccin et de reprendre les campagnes d’inoculation massive, en estimant que la balance bénéfice/risque demeurait positive. Or on peut légitimement supposer que le nombre de cas  est largement sous-estimé


Méfiance envers la pharmacovigilance
 
Il y a au moins trois raisons  de penser que les accidents ne sont pas toujours notifiés et qu’ils sont même majoritairement ignorés.  La première tient au principe même  de la vaccination : puisque ses « bénéficiaires » sont généralement des gens  en  bonne santé, la médecine rechigne à reconnaître qu’elle peut les rendre malades. 


Admettre des risques graves et mortels ferait inévitablement chuter la confiance et… la consommation de vaccins par des clients qui n’ont besoin de rien et ont donc bien plus à perdre qu’à gagner. La seconde relève d’un réflexe psychologique compréhensible : les médecins étant censés faire le bien, il leur est difficile d’accepter que l’acte  médical posé puisse faire tant de mal. 


Durant leur cursus universitaire, les carabins n’entendent qu’éloges dithyrambiques sur la vaccination et n’apprennent pas à en évaluer les effets indésirables. Une fois  diplômés et installés, ils sont naturellement enclins à ne pas faire le lien et à se dédouaner des conséquences observées. 


Il y a enfin l’existence bien réelle des coïncidences temporelles : deux événements concomitants peuvent sembler liés à première vue mais il n’y a pas de relation causale entre eux. 


Quand le rapport de causalité est difficile, voire impossible à prouver, la tentation est donc forte de conclure à la simple corrélation due au hasard.  Résultat de tout ça ?  Le nombre d’accidents rapportés aux services de pharmacovigilance est  probablement très inférieur à ce qu’il est dans la réalité. C’est ce que le collectif Initiative Citoyenne avait  mis en évidence dans un dossier réalisé il y a dix ans lors de la pseudo-pandémie de grippe A/H1N1. ............

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