Sars-CoV-2 - La réalité c’est quoi ?

 Les masques ne servent à rien , sauf à se mettre soi-même en mauvaise santé . Le couple Macron le sait bien et vit SANS très bien.


Dans ma région , les masques sont re-devenus obligatoires tout le temps et partout pour un mois supplémentaire . Ordre du préfet, qui annonçait pour semaine 7 un taux d’incidence  censé calamiteux , de 123./100.000  avec , en plus,  une information de  l’arrivée et  de la répartition  avec %  précis des virus importés. 


de RE INFO COVID


Le taux d’incidence utilisé ici, par le préfet et l'ARS ,  est celui des résultats des tests de dépistage  dont on sait qu’ils présentent de nombreuses anomalies incluant  un taux élevé de faux positifs estimé entre 30% et  40%. 




Pour la même période, le réseau SENTINELLES  nous faisait revenir à la réalité avec un taux d’incidence de 41/100.000. - nouvelle aquitaine- 

Les chiffres retenus par SENTINELLES correspondent à des personnes avec des symptômes répertoriés et qui ont consulté un généraliste. Retour au réel.  On est là dans le concret


Sur le site du ministère de la Santé  à la  rubrique ci-dessous



on note que la recommandation  N°3 est de CONSULTER un médecin, en cas de test positif 


On en déduit donc, que si  il y avait eu 123/100.000 testés positifs parmi les personnes qui ne sont pas enfermées en EHPAD ou en prison, il  aurait du y avoir 123 consultations de généralistes.  

A défaut ni le port du masque ni le couvre-feu, pour ces personnes non privées de liberté par leur état,   ne se justifie . 


Pour mémoire SENTINELLES est un réseau de veille sanitaire  crée en 1984  qui centralise et analyse les cas de malades réels et qui ont consulté un médecin de terrain. https://www.sentiweb.fr


Dans la courte vidéo ci-dessous, Dr Wonner rappelle les  seuls chiffres à garder en mémoire et à  transmettre  à tous https://www.youtube.com/watch?v=sNEsqzsSgwk concernant l' épidémie passée. 


En même temps qu’il faut redire, pour cesser d'en faire sans raison,   que  : 

  • Le test  est inadapté en tant qu’outil de diagnostic spécifique pour identifier le virus SRAS-CoV-2
  • Le test ne peut pas faire la distinction entre le virus entier (infectieux) et les fragments viraux. Par conséquent, le test ne peut pas être utilisé pour faire des déductions sur la présence d’une infection.
  • Les preuves irréfutables présentée par les auteurs rendent le test PCR du SRAS-Cov-2 inutile.



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