Infertilité post-vaccinale et risque d'infertilité pour les enfants de vaccinés

 De : https://healthimpactnews.com/2022/studies-show-fertility-rates-plummet-worldwide-following-covid-19-vaccines/

Des études montrent que les taux de fertilité chutent dans le monde après les vaccins COVID-19

Commentaires de Brian Shilhavy
Rédacteur en chef, Health Impact News. 30 août 2022

Une présentation récemment faite par le Dr Christof Plothe, un docteur allemand en ostéopathie qui est également membre du Conseil mondial de la santé , révèle la preuve la plus surprenante à ce jour que les vaccins COVID causent des cas massifs d'infertilité, non seulement chez les femmes, mais  chez les hommes aussi.

Combiné avec le volume record de décès et d'invalidités parmi les vaccinés contre le COVID-19, les implications futures de ce que ce vaccin a fait à la population humaine et au bassin de main-d'œuvre sont presque insondables.

Cette information n'est PAS rapportée dans les médias d'entreprise, et y faire référence, c'est être étiqueté comme quelqu'un fournissant de la "désinformation" .

La présentation a été faite sur le rapport Iron Will . Je vais intégrer la vidéo ci-dessous.

Voici les remarques :

Christof Plothe a réalisé une étude approfondie sur les effets des "vaccins" Covid sur les femmes enceintes. Ses découvertes sont vraiment troublantes. Dans un seul exemple, l'Université de Chicago a demandé aux femmes qui avaient subi des irrégularités menstruelles après l'injection de se porter volontaires pour une étude. Ils espéraient trouver 500 femmes. À ce jour, ils ont reçu plus de 140 000 candidatures !

Les données de M. Plothe sont choquantes. Il partage des diapositives de ses graphiques sur un large éventail d'effets de « vaccins », y compris les baisses de fertilité dans le monde, l'accumulation de nanoparticules lipidiques et de protéines de pointe dans les différents organes du corps, et le fait que le risque de fausse couche avec le  " vaccin" Covid  est plus de 1500 fois plus élevé qu'avec le vaccin contre la grippe.

Combien d'études de sécurité ont été réalisées sur des femmes enceintes ? (Spoiler : la réponse est 'aucune')

Combien de « scientifiques » impliqués dans l'essai de sécurité de Pfizer détiennent des actions dans Pfizer ? (Spoiler : la réponse est "tous")

Dans quelle mesure les taux de natalité ont-ils chuté dans le monde depuis le début du déploiement des « vaccins » ?

Les enfants de mères injectées pourraient-ils naître stériles ?

Pourquoi aucune étude humaine n'a-t-elle été menée sur les effets des nanoparticules lipidiques, connues pour être toxiques ?

Les nanoparticules lipidiques s'accumulent à la concentration la plus élevée dans les organes reproducteurs. Est-ce intentionnel de produire l'infertilité?
Quels autres effets secondaires produisent les nanoparticules lipidiques ?

Pendant combien de temps les protéines de pointe restent-elles actives (et nocives) dans le corps humain ?

Faits saillants par le Dr Mark Trozzi :

• La grossesse dure 9 mois, pourtant ces « vaccins » ont été approuvés en seulement 108 jours. Comment peut-on prétendre à la sécurité pendant la grossesse ? Normalement, l'approbation des vaccins prend dix ans.
• Les femmes enceintes ont été exclues des essais cliniques, mais les injections ont été déclarées sans danger pour les femmes enceintes. Basé sur rien donc !
• 270 femmes sont tombées enceintes pendant l'essai Pfizer ; parmi celles-ci, 238 n'ont pas été signalées et une seule naissance normale a été signalée.
• Le polyéthylèneglycol, qui est un composant de la nanoparticule pégylée utilisée pour délivrer le matériel génétique dans les cellules humaines, était connu pour être une toxine fœtale avant le lancement de covid.
• Les études de Moderna et Pfizer-biotech sur 44 rats pendant seulement 42 jours ont démontré un doublement de la perte de grossesse préimplantatoire et une augmentation de 295 % du taux de malformations congénitales. Il n'y a pas eu d'évaluation des effets de la prochaine génération et les chercheurs étaient  criblés de conflits d'intérêts qu'ils ont essayé de cacher.
• La fertilité nécessite des études à long terme. Celles-ci n'ont pas été réalisées.
• En septembre 2021, des dizaines de milliers de problèmes menstruels chez les femmes ont été signalés à la suite des piqûres, avec des saignements abondants 8000 fois  plus que la normale !
• Une étude japonaise sur la biodistribution a montré une distribution étendue avec une concentration importante dans les ovaires des femmes.
• Les mécanismes potentiels de dommages à la fertilité comprennent la toxicité des nanoparticules pégylées, la toxicité des protéines de pointe, la réponse immunitaire à la SP , l'attaque auto-immune sur les ovaires producteurs de SP et l'attaque immunitaire sur une protéine reproductive essentielle, la syncytine-1, qui est structurellement similaire à la SP.
• Le "vaccin" Moderna utilise une dose plus élevée de 100 mcg que la dose de 30 mcg de Pfizer. Pfizer a arrêté la dose la plus élevée en raison d'une toxicité encore plus élevée, mais Moderna l'utilise toujours.
• L'ARNm injecté persiste chez la plupart des victimes pendant 2 mois et stimule la production de protéines de pointe avec SP persistant 15 mois. La SP endommage les testicules masculins avec une réduction spectaculaire de la spermatogenèse
• Une étude israélienne a montré que le nombre de spermatozoïdes et la fertilité masculine diminuaient d'un seul coup, puis l'étude a pris fin. Que se passe-t-il avec les doses répétées ?
• USA VAERS révèle des rapports massifs sur les problèmes d'infertilité, représentant 95% de tous les rapports d'infertilité au cours des 30 années de notification pour tous les vaccins combinés.
• Partout dans le monde, partout où les «vaccins» sont déployés, les taux de natalité chutent de façon spectaculaire neuf mois plus tard. C'est sans précédent, et comprend l'Irlande, l'Allemagne, l'Australie, le Royaume-Uni, la Suisse, la Suède, le Canada, la Hongrie et d'autres.
• Les pays les plus injectés ont les plus fortes baisses de taux de natalité.
• En comparaison avec les vaccins contre la grippe, ces injections ont un taux de fausses couches associées 1500% plus élevé.
• Certaines études montrent que le polyéthylène glycol provoque l'infertilité de la prochaine génération. Peut-être que les personnes injectées auront des enfants stériles.
• Nous avons besoin de contrôles à long terme, mais les sociétés pharmaceutiques ont injecté les sujets témoins après les brèves périodes d'étude, éliminant ainsi les contrôles à long terme. Ce qui s'en rapproche le plus, ce sont les pays où les gens ont le mieux résisté aux injections forcées.
• Arrêtez les vaccins. Arrêtez de supprimer l'ivermectine et promouvez un traitement sûr du covid. Arrêtez la persécution des médecins qui ont été scientifiquement et éthiquement corrects depuis le début. Ces médecins doivent être disculpés et remis au service des personnes qui ont plus que jamais besoin de nous.
• Le Dr Plothe explore la possibilité que cette modification génétique des humains produise des protéines de pointe virales toxiques, héréditaires et les implications que cela peut avoir pour les enfants.
• La présentation se termine à 24 min et les questions de Will commencent :
• Iron Will soulève des problèmes de faute professionnelle, d'intention, de fausses déclarations, de fraude, de revues compromises, de bons médecins persécutés et du CDC cachant des décès après avoir supprimé 50 000 décès de la base de données VAERS et les avoir reclassés.
• Les inconnues incluent : cette expérience génétique entraînera-t-elle la production héréditaire de SP toxique chez l'homme ? Y aura-t-il des générations futures ?
• Le Dr Plothe voit quotidiennement de nombreux patients endommagés par le «vaccin» covid dans sa pratique et il raconte certaines de ces expériences.
• Le Dr Plothe nous rappelle comment la science fonctionne réellement et appelle à mettre fin à la répression et à ouvrir des forums. « Revenons à la science ; aujourd'hui, pas demain"

Commentaire du Dr Trozzi :

Merci à Iron Will et au Dr Plothe. La réalité est tragique; mais cette interview et son contenu sont exceptionnels. Il ne devrait  être question que  d'arrêter immédiatement ces injections, ainsi que d'enquêter et de poursuivre les nombreux auteurs et complices très lucratifs de crimes sans précédent contre l'humanité.

Imaginez, même en ce moment, les universités de Western Ontario et de Toronto exigent que les étudiants soient injectés et soumis à cette stérilisation, ou qu'ils arrêtent leurs études. Les représentants du gouvernement qui ordonnent cela sont en guerre contre des hommes, des femmes et des enfants innocents et sans méfiance.