L'IVERMECTINE introduit en douce à l'hôpital lui a sauvé la vie
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La famille dit avoir sauvé la vie de papa en lui donnant de l'ivermectine pendant une hospitalisation de 200 jours
par Rose Williams
La famille d'un homme a pris en charge ses propres soins lorsqu'il a été hospitalisé avec le COVID-19. En conséquence, ils pensent qu’ils lui ont peut-être sauvé la vie.
Shannon Fletcher, fille de David Dentz, s'est entretenue avec Liz Collin cette semaine pour partager l'histoire de son père et sa longue bataille contre le COVID.
Dentz a été hospitalisé avec le COVID-19 pendant 208 jours, l’un des séjours COVID les plus longs de l’État. Ce n’est que lorsque sa famille a commencé à lui donner de l’ivermectine que sa santé a commencé à s’améliorer, a déclaré Fletcher.
Premiers jours
Le propre père de Dentz avait été hospitalisé pour COVID-19 à l'automne 2021 à l'hôpital Mercy de Coon Rapids. Une semaine après avoir été testé positif, Richard Dentz a été admis et a ensuite été informé qu'il n'y arriverait pas ( ne s'en tirerrait pas ).
Bien que les visiteurs n'étaient pas autorisés à ce moment-là, Fletcher a insisté pour qu'elle puisse voir son grand-père mourant, et elle a été choquée par son état.
"On aurait dit qu'il avait été laissé pour mort", a-t-elle déclaré. "Il était là depuis environ 24 heures, n'avait pas été nourri, n'avait pas été bougé."
Sa famille a finalement été autorisée à rester avec lui 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, alors elle et ses frères et sœurs sont restés avec lui à tour de rôle. Ils ont subi des pressions pour le mettre sous respirateur, ce qu’ils ont fait. Six jours plus tard, les médecins ont déclaré qu'il devait être débranché du système de réanimation. Il est décédé des suites d'une défaillance d'organe et d'une pneumonie COVID en novembre 2021.
"Je ne plaisante pas, lorsqu'ils l'ont débranché, ils ont fait un commentaire selon lequel il aurait dû être vacciné", a déclaré Fletcher. "Nous avons entendu cela à plusieurs reprises lorsque nous essayions de lui procurer de l'ivermectine ou n'importe quoi."
Vers la mi-novembre, le père de Fletcher, David Dentz, a également été hospitalisé à cause du COVID.
"Ils n'essaieraient rien"
Dentz a été mis sous appareil CPAP et a reçu du remdesivir, le seul médicament qu'il était autorisé à prendre. Le 1er décembre, il a accepté d’être mis sous respirateur.
Fletcher, ses frères et sœurs et leur belle-mère Angie étaient déjà nerveux après la mort de leur grand-père, ils ont donc trouvé étrange que l'hôpital n'exige aucune sorte de mandataire en matière de soins de santé pour Dentz.
La famille a rassemblé de l'argent pour embaucher un défenseur des patients qui demanderait à l'hôpital au nom de Dentz d'autres médicaments – ivermectine, hydroxychloroquine, zinc, « n'importe quoi », a déclaré Fletcher.
"Nous venons de voir cela se produire avec mon grand-père, nous devons essayer quelque chose de différent, et bien sûr, la réponse a été non", a expliqué Fletcher.
Les protocoles de l'hôpital méthodiste obligeaient les médecins à ne pas administrer d'ivermectine, a déclaré Fletcher. Deux semaines après le début du séjour de Dentz à l'hôpital, Fletcher et sa famille payaient de leur poche un avocat , essayant d'obtenir l'aide de Dentz que l'hôpital ne leur fournirait pas.
Ils n'étaient pas autorisés à lui rendre visite pendant cette période et la famille a organisé une manifestation « Sauvons Dave » à l'extérieur de l'établissement. Fletcher pense que son père, qui n’était pas vacciné , a reçu un traitement pire que ceux qui ont été vaccinés contre le COVID.
L'hôpital a également déclaré qu'il ne pouvait pas être transféré.
"Ils ne tenteraient absolument rien", a-t-elle déclaré. «Le nombre d'obstacles que nous avons dû franchir avant de prendre les choses en main était absolument insensé.»
La famille a engagé un avocat qui a accepté de prendre en charge leur cas, pour découvrir le 9 janvier 2022, après près de deux mois d'hospitalisation, que l'épouse de Dentz, Angie, devait obtenir une tutelle d'urgence pour prendre d'autres décisions.
Les médecins et les infirmières ont tenté à plusieurs reprises de faire pression sur Angie pour qu'elle le débranche, a déclaré Fletcher, mais elle n'a pas cédé. Chaque jour de décembre 2021 à juin 2022, Fletcher a parlé avec ses deux frères et sœurs et sa belle-mère, et l'un d'eux a rendu visite à Dentz tous les jours.
« À ce stade, nous avons perdu toute confiance dans les hôpitaux et dans leur protocole unique », a expliqué Fletcher.
L'hôpital a « fait honte » à la famille alors qu'elle ne voulait pas abandonner la vie de Dentz, a déclaré Fletcher. Finalement, Fletcher a décidé qu'elle voulait apporter de l'ivermectine à son père et lui en glisser dans la bouche.
"Ils ne vont rien faire, et [ils] me disent déjà qu'il va mourir, alors autant essayer", a déclaré Fletcher.
Après avoir réussi son plan, sa famille a continué à introduire de la pâte d'ivermectine dans la bouche de Dentz au cours des cinq jours suivants.
« [La quantité] était basé sur le poids, donc nous en avons pris une petite quantité – et je sais que les médias vont le mettre de côté et traiter les gens de fous et ceci et cela – mais je m'en fiche parce que je crois qu'il est là pour ça. », a déclaré Fletcher.
« Le lendemain du jour où nous lui avons administré de l'ivermectine, Angie a reçu un appel et le médecin lui a dit qu'elle ne pouvait pas croire les progrès qu'il faisait. Le lendemain."
Ensuite, Dentz a été transféré hors de l'hôpital chez un spécialiste qui a déclaré qu'il était « surmédiqué » et « trop sous sédation », selon Fletcher.
"Il va à merveille"
Plus de 200 jours après sa première admission, Dentz a été libéré. Fletcher a déclaré qu'il avait du mal à respirer et qu'il souffrait d'insuffisance rénale de stade 3 à cause du remdesivir.
« Compte tenu d'où nous venons, il se porte à merveille », a-t-elle déclaré.
Fletcher soupçonne que l'hôpital Methodist savait ce que faisait la famille. Alpha News a contacté l'hôpital, mais un porte-parole lui a dit que « pour protéger la vie privée des patients, [ils] ne peuvent partager aucune information ».
Fletcher a conseillé de ne pas faire confiance aux grands médias pour « tout ce qu’ils disent ».
Les hôpitaux ont donné la priorité aux profits plutôt qu’aux patients, a-t-elle déclaré, et elle a donc encouragé les auditeurs à « se procurer de l’ ivermectine » et à parler aux gens de leurs expériences avec le COVID.
Ils veulent votre mort.
Ne leur offrez PAS.
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