La caméra ( ou l'appareil photo) du gardien de Fort Talbo
Le gardien de Fort Talbo est artisan à Monticule et peut-être très riche avec des trésors à protéger.
Car , en supposant qu'il ne s'agisse que de sa très grande fortune à protéger, cet appareil en photo ci-dessous vient en doublon avec un système de surveillance de la bobine des individus qui sonnent à son portail.
Avec l'appareil en photo ci-après, il surveille nuit et jour l'entrée de la rue où se trouve sa propriété .
Pourtant , pour entrer dans sa propriété, il suffirait de sauter par dessus le grillage d'1 mètre de haut à l'arrière de sa maison.
On pourrait donc facilement conclure de cette incohérence que le gardien et la gardienne de Fort Talbo espionnent un ou les voisin (s).
Ces deux photos ont été prises vers 5H du matinCet appareil "éclairait" jusqu'à l'entrée de la ruePour mémoire ou information un appareil qui surveille (forcément ....sinon à quoi bon ?) un espace public nécessite des autorisations et une information des usagers de l'endroit par panneau lisible.
1- l'utilisation ou la pose d'une caméra ou d'un appareil photo, qui surveille une rue relève d'une décision du maire et non d'un particulier. Elle nécessite une autorisation préfectorale et qui peut même être demandée directement au ministère de l'Intérieur
2- si le système enregistre des images et est susceptible de permettre l'identification d'une personne , une déclaration doit être faite à la CNIL (Commission nationale de l’informatique et des libertés )
3- un affichage de panneaux indiquant la présence de la vidéo de surveillance aux usagers de la zone surveillée est obligatoire .
Il doit être permanent et comporter un pictogramme représentant une caméra
4- les personnes filmées ou photographies ont un droit d’accès aux images sur lesquelles elles apparaissent.
Étant entendu que la caméra ou l'appareil photo intégré dans l'élément qui surveille la rue nuit et jour ,doit avoir un objectif légitime de sécurité, de prévention des délits ou de gestion du trafic, et non une intention de surveillance individuelle ou de collecte de données personnelles.
kesk’il cherche ce zozo ?
RépondreSupprimerC'est une bonne question , puisque je ne le connais , lui et sa famille, "ni d'Ève ni d'Adam" . Tout ce que je sais est ce que je vois : lui et sa compagne présentent les symptômes basiques des membres des réseaux de harcèlement crapuleux que le temps a révélé. Ils se croient des droits extra-constitutionnels conférés par ce qui ressemble à une organisation aux pratiques de type mafieux qui les utilise , et qu'ils prennent pour une institution légale.
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