Mission impossible : protéger son cerveau des CEM en hôpital
Elle n'a été secourue que quelques heures plus tard.
Transportée à l'hôpital du département, elle s'est retrouvée avec une super infection pulmonaire et une paralysie latérale.
Quelque temps plus tard, elle a été installée en hospitalisation longue durée dans un établissement secondaire, pour rééducation de son côté paralysé.
Cette personne seule dans sa chambre et entourée de systématiquement- masqués- par- exigence -officielle , ne risquait guère de contamination....
Pourtant, on l'a repiquée au bivalent.
L'infection pulmonaire énergivore est repartie comme avant .
Pour soulager les brûlures des escarres, elle a du paracétamol .
Et pour expliquer en plus son affaiblissement général persistant, il y a ceci :
Ce sont les champs électromagnétiques (CEM) détectés dans sa chambre . Chaque colonne correspond à la densité de puissance émise par une fréquence donnée .
En résumé :
À gauche en jaune , on trouve la fréquence porteuse qui se situe entre 5GHz et 6 GHz
Plus à gauche en orange , on trouve la densité de puissance de l'impulsion émise par la fréquence porteuse.
Entre ces deux colonnes on trouve l'unité de valeur de l'impulsion qui est le microWatt/m2
►Preuve d’un lien entre la Covid-19 et l’exposition aux rayonnements radiofréquences des communications sans fil, y compris la 5G
►L’utilisation de la technologie sans fil modifie le cerveau — voici comment
►Paquet d’ondes radio
►La maladie des ondes radio : l’histoire de l’électrohypersensibilité
RépondreSupprimer[Voir aussi :
L'utilisation du paracétamol dans le COVID : une erreur/obstination préjudiciable pour la santé?]