Une mauvaise nuit

 

Les individus ciblés par énergie dirigée ont du mal à faire comprendre et encore plus admettre  ce que représente physiquement  ce qu’on appelle communément TIRS  d’énergie ou AGRESSIONS par énergie  dirigée.

L’ origine de l’énergie dirigée peut aussi se décliner , ou se conjuguer , rendant les descriptions difficiles 

- il peut y avoir des tirs directs qui visent le cerveau  comme lorsque les corses me tiraient dessus avec  fusil à micro-ondes à Paris XV

- il peut y avoir des tirs par ajustement des lobes d’antennes, comme à Paris XIV Bd Edgar Quinet , à  Vannes, à Copenhague ,  etc.. 

- Il peut y avoir des appareils divers  locaux programmés qui cherchent et trouvent un ou des éléments du corps à la manière d’un radar avant de commencer un matraquage de signaux  ciblés

- il peut y avoir…. 

Toute cela  soit vise le cerveau soit s'y  traduit .

La représentation physique des  chocs ou éclatements   dans le cerveau,  ou parfois de  sifflements  dans la cochlée et  qui génèrent autant de décharges électriques brusques - et douloureuses- dans le cerveau peuvent être appréhendées dans les deux courtes vidéos de mauvaise qualité ( sorry)   présentées plus bas. 

En fonction de l’intensité de l’énergie propulsée, il n’est pas rare que le corps ou certaines parties du corps réagissent , en plus, par de courtes convulsions qui entrainent pour le ou les jours suivants des dysfonctionnements organiques selon le ou les organes éprouvés par les conséquences  de ces agressions d’énergie . 

Je venais de passer plusieurs nuits SANS agression, à dormir comme presque tout le monde. 

Pour cette nuit du 18-3 , j’avais re-positionné mon matelas au même endroit espérant que ce calme était acquis. 

ERREUR. 

Les tirs et éclatements dans le cerveau  avaient commencé vers 1H du matin. J’avais fini par  me forcer à aller  chercher l’EEG pour le positionner à 1H53. 

Les tirs/éclatements  avaient repris à 2H08 comme l’indique le tableau ci-dessous qui donne l’heure des réactions du cerveau .

Ce tableau montre donc la cadence -épuisante- des brusques déflagrations électriques dans le cerveau. 

Selon une évaluation faite en hôpital, je suis NON - ÉPILEPTIQUE

Les bandes vertes de l’ image ci-dessus résument en quelque sorte les moments de réactions du cerveau. Les parties blanches entre chaque bande verte correspondent à des  temps de répit.

Sur les deux courtes vidéos ci-après les paquets serrés de lignes vertes représentent les déflagrations électriques et la souffrance DANS le cerveau.  

Majoritairement , au moment des décharges électriques le fonctionnement du cerveau est dans la gamme des ondes cérébrales DELTA. 

La capacité de réaction d' évitement des individus ciblés  peut  ainsi être proche de nulle.