La résilience des coraux défie les affirmations alarmistes d'une catastrophe climatique

 https://www.naturalnews.com/2025-10-19-coral-resilience-defies-alarmist-claims-climate-catastrophe.html

19 octobre 2025 Willow Tohi


  • Les récifs coralliens se sont remis à plusieurs reprises d’épisodes de blanchissement, démontrant ainsi leur capacité d’adaptation malgré les tendances au réchauffement.
  • Des études montrent que les récifs de Polynésie française ont retrouvé leur niveau d’avant la perturbation dans les 5 à 10 ans suivant le blanchissement massif.
  • La Grande Barrière de corail a connu une couverture corallienne record pendant trois années consécutives, ce qui contredit les prédictions pessimistes.
  • Les données historiques révèlent que les coraux ont survécu à des périodes beaucoup plus chaudes, notamment au maximum thermique du Paléocène-Éocène (5 à 8 °C plus chaud qu’aujourd’hui).
  • Les récits alarmistes ignorent souvent les facteurs de stress naturels (cyclones, invasions d’étoiles de mer) tout en exagérant le rôle du climat dans le déclin des récifs.

Les récentes affirmations selon lesquelles le changement climatique décime les récifs coralliens, comme celles relayées par The Hill et la BBC , ignorent les preuves de plus en plus nombreuses de leur résilience. Contrairement aux gros titres apocalyptiques, les coraux ont non seulement survécu aux extrêmes de réchauffement passés, mais se rétablissent aussi avec une rapidité remarquable après les épisodes de blanchissement modernes. Des études scientifiques menées de la Polynésie française à l'Australie révèlent un modèle de rétablissement qui contredit le récit de dommages irréversibles.

Le décalage entre discours alarmistes et données empiriques souligne une tendance plus large : le discours climatique privilégie souvent la peur aux faits. Alors que les décideurs politiques préconisent des interventions coûteuses, les récifs eux-mêmes témoignent de la capacité d'adaptation de la nature.

La science de l'adaptation des coraux

Une étude de 2019 sur les récifs de Polynésie française a démontré un taux de régénération exceptionnel, la couverture corallienne retrouvant son niveau d'avant la perturbation en moins d'une décennie après un blanchissement massif. Une étude de 2024 publiée dans Nature a également révélé que les récifs près de Moorea et de Tahiti se sont rétablis jusqu'à 76 % après des vagues de chaleur répétées, suggérant une tolérance évolutive aux eaux plus chaudes.

Ces résultats contredisent des affirmations comme celles de Rebecca Vega Thurber, de l'Université de Californie à Santa Barbara, qui affirmait que les vagues de chaleur transformaient les récifs en « plaines stériles ». Une telle exagération néglige l'histoire évolutive des coraux : ils ont persisté pendant le maximum thermique du Paléocène-Éocène, lorsque les températures mondiales ont dépassé de loin les projections modernes.

La croissance record de la Grande Barrière de corail

Malgré les avertissements d'une « menace existentielle », la Grande Barrière de Corail australienne (GBR) a enregistré une couverture corallienne record pendant trois années consécutives. Le rapport 2024 de l'Institut australien des sciences marines indique que les trois régions de la GBR se remettent du blanchissement passé, certaines zones dépassant même les moyennes historiques.

La couverture récente de la BBC a omis cette reprise, mettant plutôt l'accent sur une affirmation controversée selon laquelle les températures de 2023 auraient été les « plus élevées depuis 400 ans » – une affirmation fondée sur des données indirectes incertaines. La biologiste corallienne Helen McGregor a tacitement reconnu l'adaptabilité des récifs, admettant qu'ils « ont survécu à de nombreux changements au cours des temps géologiques », tout en présentant le problème comme une crise.

Facteurs de stress naturels contre battage médiatique sur le climat

Les discours alarmistes désignent souvent le changement climatique comme le seul facteur du déclin des récifs coralliens, ignorant les facteurs aggravants tels que les cyclones tropicaux et les invasions d'étoiles de mer à couronne d'épines. Par exemple, le blanchissement de la Grande Barrière de corail de 2016-2017 a coïncidé avec une grave infestation d'étoiles de mer, et pourtant les médias ont attribué la responsabilité du réchauffement au seul phénomène.

Cette approche sélective fausse les données scientifiques. La mortalité des coraux est un élément naturel de la dynamique récifale, les squelettes morts constituant le fondement de la nouvelle croissance. Les données paléoclimatiques montrent que les récifs ont migré vers les pôles lors des périodes chaudes passées – un mécanisme de résilience rarement pris en compte dans les débats politisés actuels.

La situation dans son ensemble : la politique face à la réalité

La pression visant à classer les récifs comme « en danger » (par exemple, le statut proposé par l'UNESCO pour la Grande Barrière de corail) sert souvent des intérêts bureaucratiques et financiers plutôt que la conservation. En présentant les récifs comme les victimes d'un point de bascule climatique imminent, les militants justifient des politiques draconiennes – des taxes carbone aux zones marines protégées – qui ignorent les solutions locales comme la réduction du ruissellement agricole.

Pendant ce temps, les récifs eux-mêmes continuent de défier les prévisions. Comme l'a démontré Climate Realism, la couverture corallienne de l'Indo-Pacifique a augmenté de 1 à 2 % par an depuis 1978, malgré la hausse des niveaux de CO₂.

La résilience plutôt que l'alarme

Les preuves sont claires : les récifs coralliens sont bien plus résistants que ne le prétendent les alarmistes. Si des épisodes de blanchissement se produisent, leur rétablissement est la norme, et non l’exception. Cette résilience remet en question la vision catastrophique du changement climatique et met en lumière les dangers d’une science axée sur les politiques.

Alors que le débat fait rage, une vérité demeure : les coraux ont survécu aux périodes glaciaires, aux éruptions volcaniques et aux impacts d’astéroïdes. Leur survie ne dépend pas de postures politiques, mais de cette même adaptabilité que les alarmistes négligent trop souvent. L’endurance de la nature surpasse la peur de l’humanité.

Les sources de cet article incluent :

ClimateDepot.com

Nature.com

ClimateRealism.com

WattsUpWithThat.com

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