Les parcs éoliens modifient la température du sol et font des ravages sur les populations d'oiseaux et de chauves-souris

 https://www.naturalnews.com/2025-10-09-wind-farms-change-soil-climate-wreak-havoc.html

10/09/2025 // Lance D Johnson

Sous l'apparence blanche et épurée des éoliennes en rotation se cache un secret honteux que l'industrie des énergies vertes refuse de vous révéler. Présentés comme une solution idéale à nos besoins énergétiques, les parcs éoliens industriels sèment en réalité la destruction de nos écosystèmes, sacrifiant la biodiversité et la santé des sols sur l'autel de l'alarmisme climatique. La vérité, souvent enfouie sous les effets des relations publiques des entreprises et des subventions gouvernementales, révèle que cette énergie prétendument propre inflige une blessure profonde, potentiellement irréversible, à la nature. Il est temps de lever le voile sur la nature et de révéler la chaîne de destruction dévastatrice qui commence au plus profond de la terre et s'étend jusqu'à nos pollinisateurs et rapaces les plus vitaux.

Points clés :

  • La construction de parcs éoliens provoque une érosion massive des sols et une perte de nutriments, paralysant les fondements des écosystèmes locaux.
  • La teneur en humidité du sol chute à proximité des turbines en fonctionnement, créant un effet de sécheresse qui affaiblit la végétation et déclenche un effondrement de la biodiversité.
  • Les populations d’insectes s’amenuisent  à mesure que leurs sources de nourriture disparaissent, brisant un maillon essentiel de la chaîne alimentaire naturelle.
  • Les populations d’oiseaux et de chauves-souris sont confrontées à un déclin catastrophique en raison des collisions directes, les éoliennes constituant désormais la principale menace pour les espèces migratrices.
  • L’économie agricole est menacée par la disparition des chauves-souris, qui fournissent des milliards de dollars en services de lutte antiparasitaire et de pollinisation.

Le fléau invisible sous nos pieds

Tandis que les imposantes éoliennes dominent l'horizon, les dégâts les plus insidieux se produisent à l'abri des regards. La construction même de ces installations industrielles, avec leurs fondations massives en béton et leurs routes d'accès tentaculaires, abîme le paysage. Cette première atteinte n'est qu'un début. Des études montrent que pour chaque éolienne, des centaines de tonnes de terre végétale précieuse sont emportées chaque année. Cette couche vitale de la terre, source de toute vie végétale, est emportée par le vent, laissant derrière elle un sol affaibli et appauvri.

Il ne reste qu'un spectre de sol fertile. La teneur en nutriments s'effondre, avec des baisses drastiques d'éléments essentiels comme l'azote, le phosphore et le carbone organique. Simultanément, l'humidité du sol diminue, un phénomène confirmé par des recherches menées dans les prairies chinoises. Une étude de 2022, publiée dans la revue Science of The Total Environment et dirigée par Gang Wang, conclut que le fonctionnement des éoliennes provoque un assèchement important des sols, la teneur en humidité des parcs éoliens diminuant de 4,4 %. Il ne s'agit pas d'une fluctuation mineure ; c'est un changement systémique qui bouleverse l'écosystème tout entier. Le sol, privé de sa vitalité et de son humidité, ne peut plus soutenir une vie végétale robuste. La végétation peine à retrouver sa hauteur et sa densité naturelles, un phénomène particulièrement visible dans les forêts et les haies autrefois luxuriantes.

Une cascade de mort venant de la terre

Cette dégradation des sols déclenche un effet domino de destruction écologique. Lorsque les plantes sont malades et rares, les insectes qui en dépendent pour leur alimentation et leur habitat disparaissent. Une étude menée dans la steppe chinoise du Ningxia établit une corrélation effrayante : à mesure que la densité des éoliennes augmente, le nombre et la diversité des insectes chutent considérablement. Cette perte se répercute ensuite sur la chaîne alimentaire, affamant les oiseaux, les chauves-souris et autres petits mammifères dont la survie dépend des insectes. La chaîne de destruction est claire : un sol endommagé engendre des plantes malades, qui entraînent la mort des insectes, et enfin un printemps silencieux où le bourdonnement de la vie est remplacé par le sifflement monotone des pales des éoliennes.

L'attaque contre la faune sauvage ne s'arrête pas avec cette famine lente et rampante. Les éoliennes sont également des instruments de mortalité directe et atroce. Le discours souvent avancé par les défenseurs de l'industrie minimise cet impact, citant des endroits comme Altamont Pass, en Californie, où ils affirment que chaque éolienne ne tue qu'un seul rapace tous les trente ans. Cette statistique soigneusement sélectionnée est un écran de fumée. La réalité est que des dizaines, voire des centaines de milliers de chauves-souris sont tuées chaque année par les éoliennes, rien qu'en Amérique du Nord . Concernant les populations de chauves-souris arboricoles migratrices, un scientifique a confirmé qu'aucune autre menace bien documentée n'entraîne des taux de mortalité aussi élevés que ceux observés près des éoliennes.

Ces chauves-souris ne sont pas de simples créatures anonymes ; elles sont des piliers de notre économie agricole, générant des retombées économiques estimées à des milliards de dollars grâce à la lutte contre les insectes ravageurs. Leur déclin catastrophique, déjà aggravé par le syndrome du museau blanc, est désormais accéléré par les parcs éoliens. Cette double menace pourrait avoir de graves répercussions sur la production alimentaire et la stabilité des économies rurales . Le Fish and Wildlife Service des États-Unis a reconnu l'ampleur de ce massacre et a exhorté les exploitants de parcs éoliens à suspendre l'exploitation des éoliennes pendant les périodes de forte migration, un appel souvent ignoré dans la ruée vers les crédits d'énergie verte lucratifs.

Une fausse solution qui trahit la nature et l’humanité

L'ironie finale, amère, est que cette dévastation locale généralisée n'a pratiquement aucun impact sur le climat mondial. Les interventions massives sur les sols et la végétation, et l'impact qu'elles représentent sur la biodiversité, démontrent qu'une part importante des politiques de protection du climat se fait aux dépens de la nature. Si un seul parc éolien peut théoriquement refroidir la planète de quelques millionièmes de degré, les dommages qu'il cause à son environnement immédiat sont profonds et indéniables. Il ne s'agit pas d'énergie propre ; il s'agit d'une activité industrielle destructrice qui troque une crise perçue contre une catastrophe écologique bien réelle.

La révolution des énergies vertes, telle qu'elle est actuellement conçue, repose sur des fondements trompeurs. Elle promet un avenir plus propre, mais laisse derrière elle des paysages dévastés, des forêts silencieuses et des sols sans vie. Elle nous invite à ignorer le coût tangible et déchirant pour la création divine, au profit d'un bénéfice climatique hypothétique et infime. En réalité, les parcs éoliens ne sauvent pas la planète ; ils contribuent à la dépouiller de sa richesse biologique, une pale après l'autre. C'est un prix élevé à payer pour un mensonge, et ce sont nos écosystèmes qui en subissent les dommages et en paient la facture.

Les sources incluent :

Whatsupwiththat.com

BlackoutNews.pe

REWI.org [PDF]

USGS.gov

Pubmed.gov

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