Les premiers tirs d'énergie ont traversé l'articulation de l'épaule droite
Pendant que j'organisais, à la lumière d'une torche , l'accumulation des divers matériaux de protection et recommandés sur les sites étrangers de personnes ciblées par énergie dirigée, la torche s'était éteinte, puis rallumée toute seule.
Une fois confortablement installée "à l'étouffé " sous mon barda, avec une priorité d'épaisseurs protectrices pour la boite crânienne , des sensations de brulure s'étaient manifestées sous la plante des pieds et au niveau de parties du corps en contact avec le drap du matelas.
Cela indiquait qu'une énergie de repérage traversait le corps et se concentrait au niveau du changement de chaleur ou de matériaux
En 2015 , Dr Robert Duncan disait : radar .
D'autres mentionnent également l'infra-rouge de repérage .
Et les tirs d'énergie à la verticale s'étaient focalisés sur l'articulation de l"épaule . Ce n'est pas la première fois.
Au petit matin, c'est très vraisemblablement un appareil camouflé en proximité dans une camionnette ou autre qui avait pris le relais pour des tirs d'énergie qui éclataient dans la partie droite du cerveau.
Les tirs semblaient produits à l'horizontal.
Un camé quelconque ferait très bien l'affaire comme intermédiaire volontaire.
Operation HOMO ?
Ici , compte tenu du caractère mafieux de l'organisation ajoutée à mon manque d'importance on aurait tendance à l'enlever l'H.
Mais mon manque d'importance n'a pas d'importance , c'est l'importance du faussaire qui est en face qui fait la différence.
Les opérations HOMO, manifestement différentes de mon histoire de vengeance repressive , ont été révélées dans le livre d'entretien de François Hollande avec deux journalistes " Un Président ne devrait pas dire ça"
Elles ont été évoquées également par Obama qui , en privé , avait concédé qu'il était un excellent tueur.
Il avait , par exemple, fait assassiner , un américain d'origine yéménite et en plus ses jeunes enfants .... pour qu'ils n'aient pas l'occasion de venger leur père .
En France, c'est une loge franc-maçonne de tueurs (ATHANOR) qui nous a rappelé en 2020 cette sinistre habitude de se débarrasser des gêneurs ou détestés .
Quand j'avais interrogé Brave IA sur le faussaire en face de moi, la réponse avait été que son nom avait été mentionné dans la procédure d'Athanor.
Une seconde interrogation ultérieure et légèrement différente mais toujours sur Brave IA disait que NON, NON, il n'était pas nommé en relation avec l'affaire Athanor.
HISTOIRE DE COCHON D'INDE
... qui pourrait expliquer les éclatements dans la partie droite de la boite crânienne ,...... si des humains sont implantés pour expérimentation , au cours d'un évènement quelconque : mise sous coercition chimique ou opération sous anesthésie.
Par Sylvain Biget, Futura
Publié le 15/11/2012
" L'oreille interne produit de l'électricité. Faiblement et irrégulièrement, mais cela suffit à alimenter un circuit électronique peu gourmand, ce qui pourrait être suffisant pour rendre des implants autonomes. Des chercheurs viennent de le montrer en équipant un cochon d'Inde d'un émetteur radio...
La puce, son émetteur et son condensateur sont suffisamment miniaturisés pour pouvoir se loger profondément dans l'oreille. © Patrick P. Mercier
Des chercheurs du MIT, du Massachusetts Eye and Ear Infirmary (MEEI) et du Département des sciences et techniques de la santé piloté par l'université Harvard et le MIT, ont travaillé sur une étonnante source d'alimentation pour une puce électronique.
Ce minuscule émetteur radio est en effet alimenté en électricité avec les ressources biologiques de l'oreille interne d'un mammifère, en l'occurrence un cochon d'Inde.
Les scientifiques savent depuis 60 ans que cette oreille interne renferme une véritable minicentrale de production électrique. Tout se passe au niveau de la cochlée, aussi appelée limaçon. Le fonctionnement de cet élément, qui ressemble à une coquille d'escargot, s'apparente à celui d'une batterie. Une pompe à ions induit des différences de concentrations en ions sodium et potassium de part et d'autre d'une membrane, séparant l'endolymphe de la périlymphe, générant ainsi une petite tension électrique, qui se mesure en dizaines de millivolts. Toujours présente, bien que variable, cette différence de potentiel sert à produire le signal nerveux (électrique) envoyé sur le nerf auditif et modulé par les variations de pression de la périlymphe, lesquels sont liées aux vibrations du tympan.
L’illustration n’a pas pu être chargée
Dans la partie A, ce schéma de l’oreille interne permet d’identifier la cochlée (cochlea). La puce électronique (endoelectronics chip) est installée dans l'oreille moyenne (middle ear), là où se trouvent les osselets (ossicles). Les 2 électrodes viennent percer la fenêtre ronde (round window). Le volet B montre l’intérieur de la cochlée avec les deux canaux contenant la périlymphe et le canal cochléaire qui contient l'endolymphe. Les différences de concentrations en ions sodium (Na+) et potassium (K+) génèrent une tension électrique de 70 à 100 mV, recueillie par les électrodes. © Nature
Une puce (faiblement) alimentée par l'oreille interne
Pour leur expérience, c'est à l'entrée de la cochlée que les scientifiques ont posé des électrodes. Ils ont exploité cette capacité à produire de l'électricité pour alimenter les composants électroniques sans altérer l'audition. Sur cette puce se trouvait un émetteur radio qui, pour cette expérience, transmettait des informations sur les conditions chimiques de l'oreille interne.
Pour consommer le moins d'énergie possible, le dispositif a été placé à l'extérieur de l'oreille de l'animal. Ainsi, les ondes pouvaient être émises sans avoir à traverser la peau.
L'énergie dégagée par l'oreille interne est très faible, et de plus irrégulière. Plutôt que d'alimenter directement l'émetteur radio, l'électricité générée est temporairement accumulée dans un petit condensateur, dont la charge complète exige entre 40 secondes et 4 minutes.
Les tests sont concluants mais il faudra plusieurs années avant de pouvoir implanter un dispositif électronique dans l'oreille interne d'un être humain. D'après les chercheurs, ce type d'appareillage pourrait servir à alimenter un implant cochléaire ou un autre dispositif interne (mais il faudrait qu'il soit très peu gourmand en électricité). La technique pourrait aussi permettre de surveiller l'activité de l'oreille pour détecter un dysfonctionnement.
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Publication sur la revue Nature de l'article de l'équipe de chercheurs
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