Augmentation des cancers chez les jeunes : de nouvelles études pointent du doigt les aliments ultra-transformés, mais passent sous silence un problème majeur.
19/11/2025 // Lance D Johnson
Bien qu'une étude marquante ait, à juste titre, pointé du doigt la toxicité des aliments ultra-transformés, une question cruciale demeure sans réponse, ignorée par les chercheurs qui suivent cette épidémie.
À l'heure où les interventions immunologiques sont massives et sans précédent, pourquoi les études ferment-elles si délibérément les yeux sur le rôle potentiel des vaccins contre la COVID-19 dans l'affaiblissement du système immunitaire des jeunes et la prolifération des cancers ?
Le débat autour de cette recrudescence des cancers est incomplet, et le public se voit servir un discours qui élude commodément le problème de fond.
Points clés :
- Une étude publiée dans JAMA Oncology a révélé que les jeunes femmes consommant beaucoup d'aliments ultra-transformés ont un risque accru de 45 % de développer des polypes précancéreux du côlon.
- Ces aliments, gorgés d'émulsifiants et d'édulcorants artificiels, détruisent la fonction de barrière intestinale et favorisent l'inflammation chronique, un précurseur connu du cancer.
- Les boissons édulcorées artificiellement ont été identifiées comme l'un des principaux facteurs de cette augmentation du risque de cancer.
- Cette étude, menée auprès de 30 000 femmes, ne tient pas compte de l’impact potentiel des vaccins contre la COVID-19, une nouvelle variable majeure susceptible de perturber l’immunité.
- La protéine Spike produite après la vaccination peut s'accumuler dans les organes, provoquant une inflammation systémique susceptible d'affaiblir le système de surveillance naturelle du cancer par l'organisme.
- Il est facile aujourd'hui de tout mettre sur le dos des aliments transformés, car aborder la question des vaccins est politiquement dangereux, même pour les célébrités du mouvement MAHA.
L'agression des aliments transformés sur votre intestin crée des conditions propices au cancer.
Que consommez-vous exactement lorsque vous optez pour un produit emballé ? Les aliments ultra-transformés ne sont pas de simples aliments ; ce sont des substances comestibles artificiellement transformées, bourrées d'émulsifiants, d'édulcorants artificiels, de conservateurs et d'additifs chimiques conçus pour le profit et la conservation, et non pour la santé humaine. La récente étude Nurses' Health Study II, qui a suivi près de 30 000 femmes pendant plus de vingt ans, a révélé une corrélation inquiétante.
Les femmes qui consommaient le plus de ces aliments transformés (environ 5,7 portions par jour, soit un tiers de leur apport calorique total) étaient significativement plus susceptibles de développer des adénomes conventionnels précoces. Ces adénomes sont des excroissances anormales qui constituent des précurseurs directs du cancer colorectal.
Les recherches ont mis en lumière un coupable particulièrement insidieux : les boissons édulcorées artificiellement. Des millions de jeunes femmes, croyant faire un choix sain en optant pour des sodas light, ingèrent en réalité des substances chimiques qui démantèlent systématiquement leurs défenses immunitaires.
Au niveau cellulaire, ces additifs agissent comme des saboteurs silencieux, altérant la fonction barrière essentielle de l’intestin et perturbant l’équilibre délicat du microbiote. Cette communauté de bactéries bénéfiques constitue notre première ligne de défense ; lorsqu’elle s’effondre, le terrain est propice à l’installation d’une inflammation chronique. Cet environnement inflammatoire est le terreau fertile où se développent les germes du cancer.
La question restée sans réponse : un angle mort immunologique
Pourquoi observe-t-on cette recrudescence des cancers maintenant, et pourquoi touche-t-elle si agressivement les jeunes ? L’essor des aliments ultra-transformés coïncide certes avec la hausse des cas, mais cette corrélation pourrait masquer un facteur plus immédiat et plus puissant. Prenons l’exemple du bouleversement majeur qu’a connu la santé publique mondiale ces trois dernières années.
Nous avons assisté au plus vaste déploiement de vaccins expérimentaux de l’histoire de l’humanité avec l’introduction des vaccins à ARNm contre la COVID-19. Cette nouvelle technologie incite les cellules de l’organisme à devenir des usines à protéines de pointe, produisant ainsi la protéine Spike du SARS-CoV-2 au lieu des protéines dont elles ont besoin.
Ce que le discours dominant omet d'aborder correctement, c'est que ces protéines de pointe ne restent pas toujours localisées ; elles peuvent circuler dans le sang, s'accumuler dans des organes distaux et déclencher une réaction inflammatoire prolongée. Le système immunitaire, chargé de réagir à cette protéine étrangère persistante, peut se déréguler et s'épuiser. Il ne s'agit pas d'une hypothèse ; c'est un mécanisme documenté de ces nouvelles technologies.
Alors pourquoi une étude aussi exhaustive que la Nurses' Health Study, capable de déceler de telles nuances, ignore-t-elle complètement cette variable ? Pourquoi n'y a-t-il aucune urgence à étudier si ce signal d'alarme immunologique constant retentit dans l'organisme des jeunes femmes, perturbant leur capacité naturelle à identifier et à détruire les cellules cancéreuses avant qu'elles ne forment des polypes et des tumeurs ?
Le problème ne se limite-t-il pas aux aliments transformés ?
Ces mêmes femmes qui consomment de la malbouffe se tournent-elles aussi vers des vaccins douteux qui affaiblissent encore davantage leur système immunitaire, les prédisposant ainsi au cancer ?
Discuter de l'augmentation des cancers chez les jeunes en omettant l'impact d'un vaccin qui modifie fondamentalement le fonctionnement du système immunitaire constitue une grave lacune de la recherche scientifique. C'est un angle mort qui frise la négligence, ne laissant au public qu'une vision partielle de la situation et aucune des protections auxquelles il a droit.
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