Lobotomie chimique anonymisée à l'hôpital Sainte-Anne , 1 rue Cabanis, Paris
Lobotomie chimique et camisole chimique sont les petits noms donnés au largactil depuis le début de son utilisation en 1952
C’est un psychotrope.
Il était censé me soigner, selon les amis et autres subalternes de Mr Raphael Gaillard, de :
- l’achat d’une tente de Farday
- plusieurs changements de serrure
- plusieurs déménagements et même peut-être
- de la douleur provoquée par les tirs d'énergie
J’avais subi cette lobotomie chimique et pire, en 2013 dans un service dépendant de Mr Raphael Gaillard, à l'hôpital Ste-Anne de Paris, après avoir été droguée et enlevée de l'hôpital européen Georges Pompidou de Paris.
En 12 ans , je n'avais pas réussi à avoir accès à mon entier dossier.
En janvier 2025 , un avis de la CADA avait provoqué quelques déflagrations électriques dans des cerveaux de responsables concernés par mon dossier à l’hôpital Sainte-Anne de Paris de 2013
Cet avis mentionnait mon droit d’accès au dossier hospitalier complet me concernant.
Quand en février 2025 j’étais sortie du métro Glacière pour me diriger vers le 1 rue Cabanis, j’avais 1/2 d’avance sur l’heure indiquée pour ma venue au service des usagers.
Le gars sur le terre-plein proche du métro avait retroussé sa manche fissa pour consulter sa montre et dégainé son smartphone rapido.
Quand j’avais pénétré dans le bureau de Mme Simon, elle m’avait accueillie hilare en agitant une feuille de papier .
Elle brandissait , disait-elle la lettre qu’elle m’avait préparée m’indiquant de ne pas venir pour cause de dossier incomplet.
Il manquait , selon elle, la photocopie d’une récente pièce d’identité.
J’avais présenté ma CI pour copie ….. avant d’être renvoyée dans mes foyers par Mme Louise SIMON , d’un « on vous enverra le dossier par LAR«
Elle était hilare ++.
J’attendais, entre autres dans ce dossier, un envoi de copies de prescriptions datées et avec le nom du prescripteur et sa signature.
5 mois plus tard, j’avais reçu 34 feuilles plus ou moins semblables à celle-ci, et censées être les copies des prescriptions médicamenteuses de 2013 et qui m’avaient été cachées pendant 12 ans.
Ce 3ème envoi en 4 mois était fait par le service dépendant de M Raphael GAILLARD, apparemment adepte de l’anonymisation
( pseudomisation ? ) des prescriptions.
La personne qui avait été chargée de fouiller dans mon dossier avait pour identifiant IEP 2144703
Les pseudos GAYOLI et DUMESP faisaient penser à :
- Olivier Gay
- Pierre Dumesnil De Maricourt
Pourtant l’article 75 ( article R.4163-5 du CSP) du code de déontologie stipule clairement qu’il est interdit d’exercer la médecine sous un pseudonyme
Et le commentaire précise : L’usage d’un pseudonyme, défini par la jurisprudence comme « un nom de fantaisie librement choisi par la personne pour masquer au public sa personnalité véritable dans l’exercice d’une activité particulière » est, par voie de conséquence, interdit Le non respect de cette interdiction est passible d’amende et de sanctions disciplinaires.
Les médicaments que l’on m’avait forcée à ingurgiter étaient
-VALIUM
-LARGACTIL
-RISPERDAL
Ces médicaments ne pouvaient être prescrits que par un médecin et inscrit au tableau du conseil de l’Ordre
En 2013, Mr Pierre Dumesnil De Maricourt était interne dans le service où l'on m'avait bouclée .
Ce service dépendait de Mr Raphael Gaillard
En 2013 Mr Pierre Dumesnil De Maricourt travaillait à sa thèse
Hypothèse glutamatergique de la dépression : exemple de la Kétamine , avec Raphael Gaillard comme directeur de thèse
L’ordre des médecins ne reconnaissait pas Mr Dumesnil De Maricourt comme l’un des leurs en 2013.
Le CDOM75 l’affirmera le 6 août 2025 ( lettre ref: DISC/YH/80927)
Effectivement , pour Pierre Dumesnil De Maricourt née en 1983 , en 2013, internet donnait seulement une activité immobilière, dans la SCI CAPORAL
Apparemment , en suivant les informations de CDOM75, il faudra attendre l’arrêté du 1er avril 2016 , pour que Mr Dumesnil De Maricourt s’inscrive au tableau de l’Ordre des médecins de Paris.
Alors, à quel titre Pierre DUMESNIL DE MARICOURT avait-il pu apporter des médicaments aux relents de LSD , venant de l’extérieur de l’hôpital Sainte Anne , et à mon seul usage, pour que je les prennent pendant le week-end du 25-26 mai 2013 ?
Fournis par qui ?



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