La nanomédecine peut nuire gravement à l'organisme humain et entraîner des conséquences mortelles. Selon l'Initiative nationale sur les nanotechnologies, les vaccins contre la COVID-19 relèvent de la nanomédecine.
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https://anamihalceamdphd.substack.com/p/hhs-office-of-information-security?
Lien vers la présentation du HHS
Il s'agit d'une présentation du Bureau de la sécurité de l'information du ministère de la Santé et des Services sociaux, en collaboration avec le Centre de coordination de la cybersécurité du secteur de la santé (H3C).
Le Centre de coordination de la cybersécurité du secteur de la santé (HC3) a été créé par le Département de la santé et des services sociaux pour aider à la protection des informations vitales et contrôlées liées aux soins de santé et pour garantir que le partage d'informations sur la cybersécurité soit coordonné dans l'ensemble du secteur de la santé et de la santé publique.
On peut constater les risques liés à l'intelligence artificielle, à la 5G, à la nanomédecine, y compris le bioterrorisme par inhalation de particules.
La quatrième révolution industrielle et technocratique déferle sur le secteur de la santé avec une force irrésistible, non sans risques dont le ministère de la Santé et des Services sociaux (HHS) est pleinement conscient. Je pense que ces risques sont largement sous-estimés, notamment en ce qui concerne les effets d'une IA incontrôlée sur la nanomédecine et la microrobotique, même si la vulnérabilité humaine au piratage est un fait établi. Comment un établissement de santé pourrait-il contrôler les éléments malveillants d'une IA, lorsqu'il a été démontré qu'une IA programmée pour découvrir de nouveaux médicaments peut identifier 40 000 nouvelles armes biologiques en seulement six heures ?
J'en ai parlé ici :
Il est clair que le HHS ne nie pas l'utilisation de la nanomédecine et des tests à distance (ou télésurveillance ?). Cette présentation date d'il y a trois ans et des progrès significatifs ont été réalisés dans ces domaines depuis. Un point important soulevé par mon collègue, le Dr Hagima de Roumanie, est que cette étude de janvier 2021, intitulée « Approbation clinique des vaccins à ARNm contre le SARS-CoV-2 basés sur la nanotechnologie : impact sur la nanomédecine translationnelle », cite…
« Initiative nationale américaine sur les nanotechnologies : stratégie de recherche environnementale, sanitaire et sécuritaire : mise à jour 2024 » . Ce document indique clairement que l’autorisation de la vaccination contre la COVID-19 par des produits à ARNm constitue une expérimentation mondiale de phase 4 pour le développement et la mise en œuvre de la nanomédecine. Il s’agit d’un nouveau médicament (allopathique ou « naturel ») à base de nanoparticules.
Ce nouveau médicament peut pirater le corps humain, selon le HHS, comme décrit ci-dessous.
Ma question est la suivante : pourquoi un tel silence entoure-t-il la découverte de nanotechnologies d'auto-assemblage dans le sang humain ? Les agences gouvernementales sont-elles complices d'un plan technocratique visant à pirater l'humanité entière ? N'est-ce pas une question légitime, étant donné l'impunité dont jouissent les auteurs des crimes contre l'humanité liés à la COVID-19 ?












Pour plus d'informations : https://dranamihalcea.com/
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