Italie - Mort de deux autres enseignantes après vaccination avec le produit AstraZeneca

 Texte anglais et liens à : https://healthimpactnews.com/2021/italy-two-more-teachers-dead-after-astrazeneca-covid-shot/

Italie: Mort de  deux autres enseignantes après vaccination avec le produit  AstraZeneca

ITALIE - AstraZeneca a changé le nom de son produit expérimental anti-COVID-19 en Vaxzevria pour essayer de  sauver sa réputation et ses ventes. Malheureusement, le changement de marque n'a pas arrêté ce qui s'approche rapidement d’un génocide en Italie.
Annonce Facebook d'Augusta Turiaco
 

Deux autres enseignantes italiennes sont mortes après avoir reçu des injections du produit d'AstraZeneca contre  leCOVID-19. Mme Augusta Turiaco a reçu la première dose  le 11 mars, selon le quotidien La Stampa. Cette professeure de musique de Messine, 55 ans, a publié une nouvelle photo de profil Facebook ce jour-là, faisant savoir à tout le monde qu'elle était «vaccinée».
 

Mais la situation s'est rapidement aggravée. Mme Turiaco s'est immédiatement sentie malade après l’injection. Des maux de tête sévères ont persisté pendant des jours, au point qu'elle ne pouvait plus rien faire. Elle a été admise au Policlinico Gaetano Martino le 24 mars. Les médecins lui ont diagnostiqué une hémorragie cérébrale due à une thrombose. En d'autres termes, c'était encore un autre problème de coagulation sanguine causé par l'injection d'AstraZeneca.
 

Mme Turiaco a été placée dans un coma  médical. Les médecins ont pratiqué une chirurgie du cerveau pour essayer de la sauver. Mais c'était trop tard. Elle était en état de mort cérébrale le 31 mars ou vers cette date. Sa famille a publié une déclaration encourageant d’autres personnes utiliser  le produit AstraZeneca malgré la mort de leur être cher.

Cinzia Pennino est morte  après l’injection d'AstraZeneca
 Mme Cinzia Pennino était professeure de sciences à l'Institut Don Bosco de Palerme. Elle a reçu sa première dose d’ AstraZeneca le 17 mars ou vers cette date, selon le journal sicilien Giornale di Sicilia. Cette personne de 46 ans a été admise à la polyclinique Paolo Giaccone de Palerme le 24 mars dans un état critique.


Les médecins des soins intensifs lui ont diagnostiqué une «thrombose profonde étendue». Oui, plus de caillots sanguins. Elle avait également des antécédents de réactions allergiques sévères aux vaccins. Mme Pennino est décédée le lendemain matin. Les autorités sanitaires de Palerme ont publié la déclaration admirable «aucune corrélation entre le produit AstraZeneca et la mort de la femme».
Mme Pennino a fait beaucoup de bénévolat et a été décrite comme une «personne lumineuse» par ses collègues.

Le massacre italien continue
Les décès ci-dessus surviennent juste une semaine après que nous ayons signalé de nombreux décès post-«vaccin» en Italie. Il n'y a aucun moyen de connaître chaque mort et les effets indésirables de ces injections expérimentales. Mais ce  qui se passe en Italie  montre qu'AstraZeneca commet des crimes contre l'humanité.
 

L'entreprise peut cependant se cacher derrière le «consentement non éclairé» de toutes les personnes qui se portent volontaires pour ces injections expérimentales.
Il n'y a tout simplement aucune raison rationnelle pour quiconque de subir ces injections. 

C’est un risque énorme ,et  la seule récompense étant 15 minutes d’attention sur les réseaux sociaux. Si vous ne mourez pas immédiatement, vous aurez les prochaines années pour vous interroger sur les effets à long terme de ces traitements expérimentaux. 

Restez vigilants et continuez à répandre la vérité,  quelqu’en soient les désagréments.



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