Dr Mercola accusé de faire de la désinformation ... par ceux qui en font
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NPR s'embarrasse de désinformation et de mensonges flagrants sur le Dr Mercola 23 septembre 2021
Dans une émission pleine de désinformation et de mensonges purs et simples, la National Public Radio s'est mis dans une sale situation en calomniant le Dr Mercola.
L'émission s'ouvre avec l'animateur de NPR , Robin Young appelant le Dr Mercola "le plus grand diffuseur de mensonges sur le COVID", puis appelant America's Frontline Doctors, une organisation indépendante dont le Dr Mercola n'est pas membre et avec laquelle il n'a aucune affiliation, "son" groupe et qu'il aurait "créé".
Young interroge ensuite le Dr Humayun Chaudhry, président-directeur général de la Fédération des commissions médicales d'État (FSMB) au sujet de la recommandation de la FSMB aux commissions médicales d'État d'imposer, de suspendre et de révoquer les licences des médecins qui ne suivent pas le récit général de COVID.
Ensemble, Young et Chaurdhry montrent à plusieurs reprises qu'ils sont soit ignorants, soit diffusent délibérément leur propre désinformation en ce qui concerne l'hésitation à la vaccination, les traitements COVID tels que l'ivermectine (en le qualifiant de médicament pour animaux qui n'a montré "absolument aucune efficacité" à traiter le COVID) et les professionnels de la santé qui remettent en cause les vaccins.
En demandant si le Dr Mercola a toujours sa licence de médecin , Young affirme une deuxième fois qu'il est le « plus grand diffuseur de désinformation » et qu'il ne semble pas s'en soucier, car il gagne beaucoup d'argent en « vendant des alternatives aux soins standards traditionnels.
De toute évidence, Young ne prend ses informations que du Center for Countering Digital Hate (CCDH), financé par l'argent noir, qui a analysé 483 contenus de médias sociaux sur six semaines pour proposer ce qu'ils ont appelé la « douzaine des désinformateurs », avec le Dr. Mercola en tête de leur liste.
Le fait est que Young répand lui-même la désinformation, alors que la vice-présidente de la politique de contenu de Facebook, Monika Bickert, a publié une déclaration disant que non seulement il n'y a aucune preuve que la liste du CCDH est exacte, mais en plus que les personnes nommées par le CCDH n'étaient responsables que de 0,05 %. de tout le contenu sur les vaccins sur le site de Facebook, et non les 73 % que clame le CCDH.
Young et Chaudhry concluent leur émission en appelant les sociétés de médias sociaux à mieux surveiller leurs forums pour censurer la «désinformation» sur le COVID et les vaccins et pour que les États jouent un rôle plus actif dans l'enquête et la révocation des licences des médecins qui ne respectent pas la ligne directrice sur le COVID.
SOURCES:
WBUR (NPR Boston) September 21, 2021
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