Scandale international : 45 milliards d’avoirs russes gelés se sont évaporés des caisses de la macronie, selon Alex Krainer
La rentrée politique s'annonce électrique sous les ors délabrés de la Macronie. Dans les coulisses puantes du pouvoir, un scandale d'une ampleur inouïe menace d'emporter le règne de l'opportuniste de l'Élysée, piégé par sa propre voracité et une idéologie de charognard enfin exposée au grand jour.
mise à jour le 30/08/25
La disparition mystérieuse : un casse étatique à 45 milliards
En avril 2022, sur ordre de son maître européiste, la France gelait fidèlement 71 milliards de dollars d’avoirs russes. Un trésor de guerre confisqué, brandi comme un trophée de vertu occidentale. Trois ans plus tard, le ministère de l’Économie bégaye des explications surréalistes : il ne resterait plus que 26 milliards. Soit 45 milliards évaporés dans la stratosphère comptable de Bercy.
Les autorités, suant l’aise face à l’opacité qu’elles ont elles-mêmes créée, balbutient des fables de « fluctuations de valorisation » et de « transferts d’actifs ». Une fumisterie que tout analyste sérieux, à l’image d’Alex Krainer, perce à jour : le clan macroniste, aux abois, aurait transformé ces fonds en un festin privé, un butin dilapidé ou détourné pour ses propres intérêts sordides.
La prolongation calculée d’une guerre sanglante
Pourquoi Macron s’entête-t-il dans une surenchère belliciste en Ukraine, qualifiant grotesquement Poutine d’« ogre » aux portes de l’Europe ? La réponse est crue, simple : sa survie politique.
Sans ces milliards russes comme caution fantôme pour une reconstruction ukrainienne qui n’aura jamais lieu, son château de cartes s’effondre. La fin de la guerre signerait l’obligation immédiate de restituer des fonds… qui n’existent plus. Acculé, traqué par ses créanciers et par un peuple français qu’il méprise, le voilà contraint de prolonger l’hécatombe ukrainienne pour masquer ses turpitudes financières. Il joue avec le feu nucléaire pour sauver sa peau, transformant les fils de France en chair à canon potentielle pour un article 16 qui serait sa dernière carte, celle de la dictature assumée.
Trump, pragmatique et impitoyable, est prêt à rapatrier le peu qui reste aux États-Unis, laissant la France et son pantin dans un dénuement humiliant. La réponse cinglante de la diplomatie russe, qualifiant la France de « charognard », sonne comme un verdict sans appel.
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