Sécurité sociale : une escroquerie en bande organisée à 23.000 €

 

23 000 €

C'est le montant que m'avait annoncé l'employée de la sécurité sociale interrogée .

" c'est une goutte d'eau " avait-elle commenté . 

Certes , mais c'est aussi manifestement une habitude , et alors c'est 

X 

le multiplicateur qui devient intéressant.

Pour réussir cette extorsion d'argent public ,  Ils s'y mettent à 4 ou 5 . 

Le jeune praticien  avec un mois d'ancienneté comme praticien hospitalier tenait le rôle du lampiste. 



Pour mémoire , une mauvaise rencontre entre mon pied et un pavé m'avait fait chuter rue de Vaugirard. Ma tête avait rencontré un autre pavé et avait  fabriqué quelques hématomes qui s'élargissaient bêtement. 
À  la demande d'un spectateur de l'incident , les pompiers m'avaient transportée à HEGP.
 En guise de remerciement j'avais sournoisement vomi dans leur camionnette  .
Et  livrée dans cet état nauséabond à HEGP, je m'étais endormie sur un brancard en attendant l'examen.

A plus de 23h,   un individu bizarre m'avait réveillée  avec  des questions idiotes et qui le faisaient rigoler.
Il avait fini par vouloir  me donner un décontractant . 
Va pour le décontractant !
Sauf ... que ... j'étais tombée dans un état comateux.

Et quand le jeune  irascible suivant était venu me secouer pour me réveiller aussi , je ne savais pas où j'étais.

J'avais été droguée , enlevée et transportée hors des urgences générales .

Libérant  généreusement mon parfum de  vomi  dans la pièce  je m'étais levée pour partir . 
Pas question !, avait dit le jeune énervé qui exigeait le nom d'un Tiers. 
Un tiers ? mais pour quoi faire ?
Un tiers , c'est tout. 
Après  quelques palabres  peu amènes , on avait fini par téléphoner l'un après l'autre  à mon ami  :  ce dernier avait dit  à l'autre que j'étais égale à moi-même et que  tout allait bien. 

Le jeune praticien  en face de moi n'avait pas l'air d'aimer. Ce tiers ne lui convenait pas. Pas fiable. 
Quoi ? un ami de 40 ans, ingénieur des Mines, professeur d'Économie à Paris Dauphine , pas fiable ? 

A court d'argument, le petit praticien devenu colérique  s'était mis à me donner ses ordres enrobés de chantage et de menaces: j'avais interdiction de sortir de la chambre.
Et il était parti. 
Pendant trois heures je n'avais plus revu Vincent Boillet . 

Vincent Boillet ,   avait  donc mis 3 heures pour  écrire 9 lignes  de propos décousus, portant une en-tête de certificat. 

Ce sont ces 9 lignes  qui serviront  à ponctionner 23 000 € à la sécurité sociale , en m'enfermant , avec le concours  de quatre ou cinq  vieux habitués et complices de ce type de situation bâtarde  soigneusement dissimulée. 

Compte tenu du risque insensé que Vincent Boillet  avait pris avec l'article de loi qu'il avait sélectionné pour justifier sa prose de 9 lignes,   il était évident qu'il agissait sur ordre de sa hiérarchie et avec une protection assurée.

Qui avait cette assurance suprême d'impunité  et tout pouvoir sur le lampiste V. Boillet  et sur ma vie ? 

Envers et contre le contenu et le sens  de l'article de loi utilisé par Vincent Boillet pour me priver de mes droits constitutionnels clairement revendiqués, j'avais été sequestrée. 

Vincent Boillet piétinait déjà allègrement le code de la Santé publique , dans un exercice spectaculaire d'ABUS de POUVOIR , tout comme le feront ses complices .

Grâce à ce tout nouvel adepte  de l'argent public aspiré dans l'interêt des siens  , je serai sequestrée sans que quiconque en soit averti, contrairement à ce que prétend la loi.

Dans ce lieu de sequestration aux murs écaillés et à l'odeur d'excrément H/24 (à cause des psychotropes qui donnent la diarrhée ), il y avait deux autres femmes. 

L'une  était d'origine kabyle  et , curieusement possédait un téléphone portable   mais  qu'elle ne voulait  prêter à personne . 



L'autre était d'origine antillaise et priait plusieurs saints différents plusieurs fois par jour dans l'espoir d'obtenir leur aide pour sortir de cet enfer .....  mement.  
Elle disait avoir fait  l'équivalent  d'une dépression post-partum après un arrêt de grossesse.  
Et "ils" lui avaient infligé 20 électrochocs sous curarisation.
"Ils" venaient aussi  la nuit pour lui faire avaler le contenu d'une ampoule.

Plus tard, et la dernière fois que j'étais venue lui apporter des cigarettes elle m'apprendra qu'"ils" allaient la placer dans un centre d'handicapés. 

Son cerveau avait été  bousillé.

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