"Exercice Polaris " = 2 jours de simulation pandémique par l'OMS
De : https://www.naturalnews.com/2025-04-09-who-conducts-2day-pandemic-simulation-exercise-polaris.html
Une participation de 350 groupes prédateurs de la santé dans le monde entier
04/09/2025 // Lance D Johnson

- L’OMS mène une simulation de pandémie de deux jours, l’exercice Polaris, impliquant plus de 15 pays et 20 agences de santé.
- L'exercice teste un nouveau mécanisme mondial de coordination des urgences sanitaires, réunissant des responsables de la santé publique prédateurs et des organisations qui cherchent à mettre en œuvre un état de biosurveillance.
- Ces simulations, présentées comme des mesures de préparation, masquent en réalité des campagnes de propagande bioterroristes mondiales et des visées totalitaires.
- Ces simulations sont conçues pour maximiser la conformité aux programmes de vaccins prédateurs déjà en cours de développement.
- Les psychopathes de l’OMS n’ont pas réussi à contenir leur pandémie de grippe aviaire en 2024 et 2025 et tentent de trouver de nouvelles façons de soumettre les populations à leurs plans.
Un nouvel appareil de contrôle mondial tente de prendre forme
Dans un monde encore sous le choc des conséquences du scandale de la COVID-19 et d'une avalanche de mandats illégaux, l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) occupe à nouveau le devant de la scène avec un exercice de simulation de pandémie de deux jours, l'exercice Polaris . Ce dernier exercice, auquel ont participé plus de 15 pays et 20 agences régionales de santé , a relancé le débat sur les véritables intentions de ces exercices. Les défenseurs de la liberté de santé soulignent que ces simulations ne se limitent pas à la préparation, mais s'inscrivent dans un programme plus large visant à exercer un contrôle sur les discours et les politiques de santé mondiale. La même planification avait eu lieu en 2019, juste avant la propagation de la COVID-19.
L'exercice Polaris, organisé la semaine dernière, visait à tester le Corps mondial d'intervention d'urgence sanitaire (GHEC) de l'OMS, un dispositif visant à renforcer les équipes d'intervention d'urgence des pays, à coordonner le déploiement des équipes d'intervention et des experts, et à améliorer la collaboration entre les nations. Selon l'OMS, l'exercice a impliqué plus de 350 groupes d'intervention d'urgence sanitaire connectés dans le monde entier, simulant une épidémie d'un virus fictif se propageant à travers le monde.
Les pays participants étaient le Canada, la Colombie, le Costa Rica, le Danemark, l'Éthiopie, l'Allemagne, l'Irak, le Royaume d'Arabie saoudite, le Mozambique, le Népal, le Pakistan, le Qatar, la Somalie, l'Ouganda et l'Ukraine. Les agences sanitaires régionales et internationales participantes comprenaient le CDC Afrique, le CDC Europe, la FICR, l'OIM, l'UNICEF, le Réseau mondial d'alerte et d'action en cas d'épidémie, l'initiative des équipes médicales d'urgence, les partenaires en attente et l'Association internationale des instituts nationaux de santé publique.
Le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, Directeur général de l'OMS, a souligné l'importance de la coopération mondiale : « L'exercice Polaris démontre que la coopération mondiale est non seulement possible, mais essentielle. » Cependant, ce discours d'unité et de préparation suscite le scepticisme de ceux qui considèrent l'OMS comme une organisation terroriste mondiale, notamment à la lumière du scandale de la COVID-19. L'obscurcissement des origines du virus et la promotion de la recherche sur les gains de fonction et des programmes de vaccins prédateurs ont soulevé de graves préoccupations éthiques.
Le timing de l'exercice Polaris est particulièrement remarquable, compte tenu de l'historique de simulations similaires. Mi-octobre 2019, quelques mois seulement avant l'épidémie de COVID-19, l'Université Johns Hopkins, le Forum économique mondial (FEM) et la Fondation Bill & Melinda Gates ont organisé l'Event 201, un exercice pandémique qui prédisait de manière inquiétante l'émergence du SARS-CoV-2. Cette prétendue coïncidence a suscité de nombreuses spéculations sur le rôle de ces organisations : créer des campagnes de propagande bioterroriste à l'avance et développer des structures de pouvoir capables de contraindre les gens à se soumettre à de nouvelles expériences médicales.
Ces simulations ne sont pas fortuites, mais s'inscrivent dans une stratégie préméditée visant à créer les conditions d'une biosurveillance et à la mise en œuvre de mandats médicaux illégaux. L'accent mis par le régime Biden en 2024 sur la préparation à une pandémie de grippe aviaire alimente encore ces inquiétudes, suggérant un schéma de réponses terroristes orchestrées se faisant passer pour une préparation.
La véritable menace : le contrôle, pas les virus
Le Dr Mike Ryan, Directeur exécutif du Programme des urgences sanitaires de l'OMS, a affirmé que l'exercice Polaris « a montré ce qui est possible lorsque les pays agissent avec urgence et unité, avec le soutien de partenaires bien connectés ». Cependant, si les leçons du scandale de la COVID-19 nous ont appris quelque chose, c'est que la « préparation » mondiale sert souvent de façade pour le contrôle plutôt que de véritable protection.
La véritable menace, comme l'histoire l'a montré, n'est pas le prochain virus, mais celui qui aura le pouvoir de le déclarer et de préparer les vaccins. Le rôle de l'OMS dans la déclaration des urgences de santé publique et l'orientation des réponses mondiales a été source de controverses. Les liens étroits de l'organisation avec les entreprises pharmaceutiques et le PCC, ainsi que l'opacité de ses processus décisionnels, ont soulevé des questions sur ses véritables motivations.
Alors que le monde continue de faire face aux conséquences du scandale de la COVID-19, la dernière simulation de l'OMS, l'exercice Polaris, rappelle brutalement la nécessité de transparence et de responsabilité dans la gouvernance sanitaire mondiale. L'obscurcissement des origines du virus et la promotion de la recherche sur les gains de fonction et des programmes de vaccins prédateurs représentent une grave menace pour les droits humains et la dignité humaine. Couper le financement de l'OMS est un début, mais son démantèlement devrait être un objectif de guerre pour protéger le monde des contrôles totalitaires et de la propagande bioterroriste émanant de cet enfer.
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