L'affaire Brigitte aux USA
Ce que certains appellent une simple rumeur est désormais structuré en argumentaire juridique. L’affaire Brigitte Macron franchit un cap. Ce qui n’était qu’une polémique numérique devient un potentiel scandale d’État, alimenté par des accusations précises : faux documents d’identité, tromperie électorale, atteinte à la sincérité du scrutin. Christian Cotten, en s’adressant directement au Doyen des juges d’instruction, ne parle plus de soupçons, mais de crimes et délits impliquant des acteurs de l’État. Il ne s’agit plus seulement d’identité, mais d’un dispositif global de dissimulation.
Le front judiciaire se structure. L’avocat François Danglehant porte l’attaque au cœur de l’appareil répressif en ciblant dix magistrats de la Cour d’appel de Caen et de la Cour de cassation. Il accuse ces hauts responsables d’avoir sciemment protégé les époux Auzière, piliers d’une dissimulation de masse visant à neutraliser judiciairement les lanceurs d’alerte. Derrière les procédures, une architecture politique : celle d’une justice utilisée pour verrouiller un mensonge d’État et préserver l’illusion démocratique.
Mais l’affaire s’étend au-delà des frontières françaises. Aux États-Unis, des figures influentes comme Joe Rogan ou Candace Owens relaient les informations et prennent parti. Candace Owens affirme que les Macron, dépassés par l’ampleur du dossier, ont tenté d’acheter son silence. Sans plainte déposée contre elle, elle prépare une nouvelle vague de révélations, convaincue que la vérité est devenue une arme impossible à enterrer.
Quand la rumeur devient enquête, quand le soupçon prend la forme d’un acte judiciaire, la fracture s’ouvre. Et ceux qui pensaient contrôler le récit découvrent qu’il leur échappe.
Il y a des vérités qu’on ne peut pas diffamer. Nicolas Stoquer vous la dévoile, en direct sur GPTV
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