Harcèlement neuro-technologique à l'hôpital Sainte Anne ( Paris)
Quelques jours plus tôt il y avait eu un incident étrange dans le couloir sans lumière naturelle de ce service .
Une jeune femme ( appelons-la Baya) d'origine kabyle, enfermée sans savoir exactement pourquoi selon elle , avait accusé haut et fort un des deux responsables du service, Mr Oussama Kébir, également d'origine kabyle, d'être un pervers .
Le "dit" pervers était à portée de voix.
Il était immédiatement allé chercher une infirmière avec ordre de faire avaler des comprimés supplémentaires à Baya et de la mettre en pyjama bleu de détenue .
Et dans ce couloir rectiligne , avec d'un côté la sortie interdite et de l'autre côté les gogs puants , Baya et son pyjama trop grand , avaient été retrouvés à plusieurs reprises étalés sur le sol.
Baya perdait connaissance et tombait .
Baya était ma jeune voisine de lit , extrêmement coquette et toujours tirée à 4 épingles .
Ce déguisement clownesque avec pyjama bleu trop grand pour elle, H/24, était une humiliation stigmatisante de vengeance sadique , comme si les produits toxiques imposés ne suffisaient pas .
Quelques jours plus tard , un BEUR était entré dans cette chambre. Il s'était présenté comme un employé d'un autre service. Il n'avait donc rien à faire dans cet endroit.
Il avait fait un rapide repérage visuel de la position des lits et des occupantes, avant de claquer la porte avec un " salut"
La nuit suivante, il y avait eu du ramdam à l'étage du dessus : des meubles avaient été poussés bruyamment.
Et un harcèlement de signaux pulsés tournants avait commencé . Cela ressemblait à l'utilisation d'un magnétron de four à micro-ondes.
Au matin, Baya se disait complètement abrutie en décrivant le phénomène nocturne à sa manière.
Elle voulait le signaler et s'en plaindre.
J'avais réussi à l'en dissuader .
Le rappel des méthodes employées dans cet endroit pour faire taire les gens qui s'expriment , décrivent ou témoignent, avait eu raison de sa croyance au droit à être traitée en être humain normal.
Le chef de pôle de ce service était déjà Monsieur Raphaël Gaillard : au bout de 13 ans , cet homme cache toujours une partie de mon dossier fabriqué sous sa gouvernance (droguée, enlevée, sequestrée, transférée, maltraitée)
Les deux chefs de service, sous ses ordres, étaient Monsieur Oussama Kébir et Monsieur Olivier Gay
Au service de qui ?
A la page 101 et suivantes de son livre "L'homme augmenté", Monsieur Gaillard vante les bienfaits et résultats prometteurs , selon lui, des électrochocs ( sortes de crise d’épilepsie provoquée) devenus électroconvulsivothérapie , comme s'il n'avait jamais vu l'état de souffrance des zombies de ce service qui sortaient de leur séance d'électrochoc pourtant sous anesthésie .
RépondreSupprimerFatou, une jeune femme venue demander de l'aide pour une dépression équivalent à une dépression post-partum s'était vue mise automatiquement sous curatelle ( pour être entièrement à disposition) , et avait subi une vingtaine de séances d'électrochocs en plus d'une chimiothérapie impressionnante ( médocs).
Elle n'avait rien oublié de la cause de sa peine. elle était simplement devenue de plus en plus soumise .
Une autre, mère de famille , avait également eu une vingtaine d'électrochocs ( remboursés combien ? )+ des médocs , qu'elle arrivait à recracher .
L'une et l'autre étaient devenues de grandes fumeuses et "faisaient le trottoir "
c.a.d qu'elle sortaient sur le trottoir quémander des cigarettes à des passants fumeurs ou ramasser des mégots pour reconstituer des cigarettes avec du papier à rouler Le Zouave acheté par un copain
Mon ami, qui habitait quelques rues plus loin , et à qui j'avais raconté cette désastreuse situation, avait pris l'habitude lorsqu'il passait dans cette rue, d'avoir toujours en poche une paquet de cigarettes à distribuer
Voir : https://etouffoir.blogspot.com/2025/04/les-mandalas-de-lhopital-sainte-anne.html
RépondreSupprimerEXTRAIT d’un article d u 13 avril 2015 … à propos des électrochocs et de l’hôpital Sainte
La BHE est la barrière hématome-encéphalique
La BHE est capable de discrimination, forcément positive. Ainsi, pour protéger le système nerveux central de tout ce que le sang véhicule d’indésirable, la BHE filtre et sélectionne les substances qu’elle admet , tout en évacuant aussi les déchets produits par un cerveau qui carbure.
Pour fonctionner correctement et éviter les dégâts, le cerveau , géniale petite usine électro et bio-chimique , a aussi besoin d’être protégé de toute perturbation de son milieu . Et il l’est par une BHE en bon état de fonctionnement.
On sait par exemple qu’une interruption d’apport de sang au cerveau de plus de 10 secondes entraînera une perte de connaissance .
10 secondes !
Mais comme la BHE est réfractaire à des médicaments nécessaires contre certaines maladies , elle doit parfois être « ouverte ».
Pour permettre cette « ouverture », une start-up française CarThera avait , en 2014, mis au point un procédé basé sur des ultra-sons .
« l’ouverture « de la BHE serait le terme médical.
La « cassure », différente « d’endommagement » du à l’alcool ou au tabac par exemple, est, par contre, un mot approprié dans les situations barbares ou criminelles de destruction de BHE sans justification médicale urgente (tumeur) .
Cette pratique de la « cassure » ne soigne apparemment même pas les déments ou psychopathes qui la pratiquent et qui passent d’une proie à une autre .
Cette « cassure » de la BHE est donc surtout faite de blessures et autres inflammations locales .
Deux des causes importantes de « cassure » de la BHE sont représentées par les électrochocs et le rayonnement à haute densité d’énergie d’ ondes électromagnétiques . * (2)
Ce dernier point peut se décliner en exposition d’une part et en soumission à des tirs d’ondes imparables, d’autre part. C’est le cas pour les cibles de harcèlement électronique
Il existe encore au moins un établissement français qui pratique les électrochocs de façon quasi industrielle et qui fait honte à de nombreux spécialistes. ( hôpital Sainte Anne)
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Il s’agit du service universitaire de l’hôpital de la rue Cabanis , Paris XIV. On y incarcère sans réel contrôle pour y humilier avec enthousiasme tout ce qui est fraternellement livré pour broyage.
Dans cet endroit, on peut voir des jeunes ou moins jeunes , réputés dépressifs , sortir de « leur » séance d’électrochocs, zombifiés . Certains se crashent sur leur lit, prostrés, ne se souvenant ni d’avant hier, ni d’hier. D’autres marchent dans le couloir comme des déments, tête baissée. Tous veulent éviter de parler ou d’avoir à répondre. Qu’on les oublie.....
Parmi les premières études montrant la perméabilité de la BHE générée par des radiations électromagnétiques continues on trouve celle-ci
LG Salford, A Brun, K Sturesson, JL Eberhardt et BR Persson, « Permeability of the blood-brain barrier induced by 915 MHz electromagnetic radiation, continuous wave and modulated at 8, 16, 50, and 200 Hz. », Microsc. Res. Tech., vol. 27, 1994, p. 535–542 (PMID 8012056)
Elle indique que des HF de 915 MHz et des ondes pulsées et modulées de 8Hz , 16 Hz, 50 Hz, 200 Hz peuvent « casser » la BHE.
En cassant la BHE , il serait semble-t-il plus facile d’atteindre le système nerveux central , pour lui faire accepter des produits toxiques ,
Est-ce que cet hôpital ferait de l'expérimentation humaine non consensuelle de médicaments sur le système nerveux ou/et le cerveau , grâce aux électrochocs , présentés comme des soins de la dépression ou autres troubles de comportement ?
RépondreSupprimerJe viens de retrouver ce complément et que j'avais oublié : LES VOIX DANS LE CRÂNE à l'hôpital Sainte Anne ( Paris )
RépondreSupprimerDans un témoignage ( écrit) que m’avait confié une jeune femme , il était dit qu’elle n’avait pas pu mener sa grossesse à son terme, pour des circonstances de vie difficiles. Épuisée , elle était allée frapper, confiante , à l’hôpital Saint Anne de Paris pour faire soigner sa déprime. La sachant démunie et isolée , le service concerné l’avait immédiatement placée sous sa complète autorité, pour lui infliger sa série préférée de 20 électrochocs zombifiants .
Quelques mois plus tard, cette jeune femme copieusement droguée , et par ailleurs très pieuse, avait commencé à entendre des voix et qu’on lui avait présentées comme précieuses. Elle avait, alors, été décidée inapte au travail, à encadrer et à placer dans un foyer d’handicapés.