L’OMS n’a pas tué le covid, le covid doit tuer l’OMS
De : https://www.covid-factuel.fr/2024/03/30/loms-na-pas-tue-le-covid-le-covid-doit-tuer-loms/
L’OMS, Organisation Mondiale de la Santé, WHO en anglais, est une agence de l’ONU qui a été créée en avril 1948. Selon sa constitution, elle a pour objectif d’amener tous les peuples des États membres et partenaires au niveau de santé le plus élevé possible, la santé étant définie dans ce même document comme un « état de complet bien-être physique, mental et social et ne consistant pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité ».
Le problème de cet organisme est qu’il est devenu un outil entre les mains de financiers et de l’industrie pharmaceutique, qui se sont fixés comme objectifs de diriger la santé (et ses traitements…) dans le monde, en passant par-dessus les États, leur imposant ses directives au service de ses bailleurs. Ces ambitions sont apparues très clairement et se sont amplifiées avec la crise covid qui aura été un bon tremplin pour arriver à ses fins.
Déjà lors des épisodes de grippe aviaire et de grippe H1N1, on a vu comment elle avait déclaré une pandémie afin de prendre la main alors qu’il n’y avait pas lieu de le faire. Cela a été permis en changeant les critères qui définissent l’urgence sanitaire. Avant il fallait non seulement que la maladie éclate dans plusieurs pays à la fois, mais aussi qu’elle ait des conséquences très graves avec un nombre de cas mortels au-dessus des moyennes pour les maladies équivalentes. On a rayé cet aspect dans la nouvelle définition pour ne retenir que le critère du rythme de diffusion de la maladie, que certains manipulent en remplaçant les constatations sur le terrain par des projections mathématiques, permettant de déclencher toute une batterie de mesures profitables. Pour le covid, ces projections du début se sont toutes révélées très loin de la réalité, rappelons que la pandémie de SarsCov-2 n’aura tué, même sans traitement, que 0,09 % de la population mondiale (7 millions). Rappel d’une notion oubliée : un vaccin n’est pas un traitement, c’est fait pour empêcher d’attraper une maladie, pas pour la traiter.
Ce n’est pas fini. Tel Nostradamus, l’OMS annonçait déjà en 2023 une pandémie X pour 2024, évoquée en janvier 2024 au Forum économique Mondial de Davos (réunion des grands argentiers de la planète et de leurs hommes de main, dirigée par un ex professeur de management industriel et financée à 100 % par des entreprises) justifiant ainsi le déclenchement immédiat de ces mesures dès le premier cas de n’importe quel virus ou bactérie de son choix.
INTERVIEW D’UN SPÉCIALISTE
Un site suisse a interrogé le Dr Wolfgang Wodarg, particulièrement qualifié pour porter un regard sur l’OMS. C’est l’ancien et longtemps président de la commission santé au Conseil de l’Europe, il est médecin, interniste et pneumologue, diplômé en santé publique et spécialisé en épidémiologie à l’université John Hopkins. Voici ce que cet homme d’expérience dit de l’OMS :
« Au début, je suivais ses recommandations avec assiduité, malheureusement par la suite, j’ai assisté à la dérive complète de cette organisation, sous l’influence de ses sponsors. L’industrie pharmaceutique a commencé à avoir un impact sur toute une série de normes qui sont définies par l’OMS. Cela peut être la définition de maladies, la manière de signaler les effets secondaires ou même la définition des valeurs pour établir les diagnostics. Par exemple, le jour où les valeurs du taux normal de cholestérol ont été modifiées, cela a immédiatement permis à l’industrie de vendre beaucoup plus de médicaments.
Aujourd’hui, l’OMS n’est plus au service des populations, elle est l’instrument de ses bailleurs de fonds. L’organisation permet d’ouvrir des marchés pour ses investisseurs, et même d’avoir des ventes garanties. Il suffit de faire peur aux gens pour créer un problème auquel l’industrie pharmaceutique a déjà prévu un remède. Ensuite, l’OMS en fera une promotion gratuite.
Par contre, une fois que les produits sont distribués, les vaccins administrés, il n’y a pas de suivi. On ne mesure jamais les conséquences des campagnes à long terme. On ne fait pas non plus d’études comparatives, par exemple entre les vaccinés et les non-vaccinés. Voilà ce qu’est devenue l’OMS : une entreprise de marketing.
À vrai dire, avec toutes les connaissances et les ressources dont nous disposons actuellement, nous avons ce qu’il faut pour être en bonne santé. Nous n’avons pas besoin de l’OMS pour cela. C’est un instrument qui a été inventé pour concentrer du pouvoir… Nos gouvernements ne nous défendent pas. Ils sont au service de ces multinationales avec la complicité des banques, la Banque mondiale, le Fonds monétaire international et leurs partenaires à Davos… nous en sommes au point où il est devenu impossible de critiquer qui ou quoi que ce soit. Pourtant c’est ce qui nourrit la démarche scientifique : le doute et la critique. C’est vraiment grave. On devrait se souvenir des conséquences que cela peut avoir. Je pense par exemple aux dégâts d’un médicament comme le Softenon qui a causé tant de malformations congénitales. Si plus personne ne peut se plaindre, ni contester leurs affirmations et leurs produits, nous sommes en danger ». Interview à lire.
ACTION ET EFFICACITÉ DE L’OMS
Dans cette crise, l‘OMS aura tout fait dans l’excès et l’inefficacité, avec même un résultat négatif. Cela a commencé avec des prévisions démesurées pour justifier des mesures tout aussi démesurées. Cela a continué avec les tests PCR, dont elle a reconnu par la suite qu’ils étaient mauvais, tout comme elle a aussi fait marche arrière pour toutes les mesures d’accompagnement, se défilant comme les autorités américaines en disant qu’ils n’ont rien imposé, et que chacun était libre, sans aller jusqu’à l’attitude de la FDA vis-à-vis de l’ivermectine, s’en lavant les mains, en disant que ses propos n’engageaient que ceux qui les écoutaient et qu’ils n’avaient qu’à pas les écouter.
La France a été bonne élève, suivant les consignes. Nous n’allons pas comparer la France avec l’Afrique ou l’Asie, mais avec le pays européen qui a le moins suivi les consignes : la Suède. Ce pays n’a rien imposé en matière de masques, de distanciation, de confinement, de fermeture d’écoles et autres établissements, et où on avait le droit de se tenir debout dans les bars. Résultats : la France a eu plus de décès covid et actuellement deux fois plus de surmortalité post covid, et des conséquences socio-économiques considérables, il faudra des années pour nous en remettre. Avec le coût de 400 milliards d’euros pour notre pays, notre déficit 2023 est de 5,5 % du PIB contre 0,3 % pour celui de la Suède. Pour le « bien-être mental et social » de la constitution de l’OMS, c’est plutôt raté.
En ce qui concerne le « bien-être de l’état physique » de cette constitution, l’OMS ne s’est pas occupée des malades mais de ses bailleurs. Elle a tout fait pour que toute possibilité de traitements avec les médicaments existants soit interdite, au profit de traitements inconnus mais rentables. Dès le début elle a déconseillé tout traitement médical, en retirant par exemple sa page en ligne présentant l’ivermectine comme traitement essentiel, en dénigrant l’hydroxychloroquine se justifiant en ne sélectionnant que des études défavorables. Pour l’ivermectine, ne trouvant pas d’étude défavorable, elle réussit l’exploit de dire qu’il ne faut pas l’utiliser en présentant des chiffres réduisant de 80 % la mortalité ! Par contre dès que le Remdesivir à 2 000 euros est sorti, elle s’est précipitée pour le conseiller, pour reculer quelques mois plus tard devant l’évidence : amélioration dérisoire au prix d’inconvénients conséquents. Tout a été fait pour assurer le monopole aux « vaccins » à ARNm à venir, dont on a pu voir que bien qu’injecté, tout le monde a quand même attrapé la maladie, sans exception, et deux fois plutôt qu’une. Quant à la protection des formes graves, on ne peut que constater, dans chaque pays et à l’échelle mondiale, plus de décès après vaccins qu’avant, c’est un mensonge de plus.
Pour expliquer cela, n’oublions pas que Bill Gates, premier bailleur de l’OMS, avait investi dans BioNTech fin septembre 2019, peu avant la déclaration de pandémie et les mesures d’ostracisme à l’égard de tout autre traitement par l’OMS. Si vous vous posez une quelconque question concernant un délit d’initié dans le timing ou un quelconque conflit d’intérêt dans les mesures, c’est que vous êtes un dangereux complotiste.
TRAITÉ PANDÉMIE
Grâce à la complicité passive de tous les gouvernements, ces dérives pourraient bien s’amplifier avec la 77ème Assemblée mondiale de la santé qui aura lieu le 27 mai 2024, les membres de l’OMS devant se prononcer sur le « Traité pandémie » et la réforme du « Règlement sanitaire international ». Selon le Forum économique de Davos de janvier 2024, la pandémie de Covid-19 offre une occasion de façonner une reprise économique et l’orientation future des relations, des économies et des priorités mondiales, le secteur privé devant être le principal moteur du plan.
Ce projet est rédigé de manière à ce que l’on pense, comme signalé au départ, que chaque pays garde « un droit souverain de légiférer », mais au fil des pages les « renforcent », « favorisent »,« encouragent » sont de plus en plus remplacés par « s’engagent ». Si on peut penser qu’il n’y a pas d’obligation tel que rédigé, apparaît à partir de la 25e page, la notion d’«obligations qui sont celles des Parties en application de l’Accord de l’OMS sur les pandémies », notion qui apparaît plus d’une demi-douzaine de fois. D’ailleurs en ce qui concerne les protocoles annexes : « tout protocole à l’Accord de l’OMS sur les pandémies n’a force obligatoire que pour les Parties au protocole en question ». Ce qui est vrai pour les annexes, l’est a fortiori pour le principal ! Cet « Accord » est bien un traité. Cerise sur le gâteau : « L’Accord de l’OMS sur les pandémies n’admet aucune réserve ».
Aucune sanction n’est prévue, mais c’est sans doute à venir, la Conférence des Parties devant adopter un règlement intérieur à sa première session, et « peut adopter des amendements, des annexes et des protocoles à l’Accord de l’OMS sur les pandémies ». Après signature, vous êtes tenus aux « obligations qui sont celles des Parties en application de l’Accord de l’OMS sur les pandémies » pendant au minimum 3 ans, car vous ne pouvez dénoncer votre signature avant 2 ans, et cette dénonciation ne prend effet qu’un an plus tard !
Cet « Accord » est bel et bien un « Traité », supra national qui ôterait toute souveraineté aux États en cas de nouvelles pandémies, nous rendant alors pour toujours dépendants et sous la coupe de quelques manipulateurs.
QUELQUES FAITS
Deux points sont à souligner pour comprendre toutes ces attitudes.
En ce qui concerne les ressources de l’OMS, on peut constater sur leur site (en retard de 2 ans, chiffres 2021), que le premier bailleur est Bill Gates (Fondation + Gavi) pour plus d’un milliard (17,25 % des ressources), devant l’Allemagne avec 953 millions. Viennent ensuite les USA 448 M, la Commission Européenne 310 M et le Royaume Uni 367 M. La France est dans le peloton de queue avec 33 M.
L’intention hégémonique de l’OMS colle parfaitement avec les idées et les amis de son Directeur Général. Tedros Adhanom Ghebreyesus était le troisième plus haut membre du Front populaire de libération du Tigré en Éthiopie, organisation d’extrême gauche qui est devenue partie du Front démocratique révolutionnaire du peuple éthiopien, organisation terroriste. Lorsqu’il était responsable de la santé en Éthiopie, Human Rights Watch a rapporté que Tedros s’était engagé dans une répression politique généralisée en affamant et refusant de soigner les Éthiopiens d’autres ethnies, notamment les Amharans (deux millions de personnes ont été massacrées). Il a été présenté et élu patron de l’OMS en 2017 grâce à la Chine. Une fois élu, il a immédiatement tenté de nommer le président marxiste zimbabwéen, Robert Mugabe (qui s’est livré à des violations massives des droits de l’homme à caractère raciste et anti-blanc) comme « ambassadeur de bonne volonté » auprès de l’OMS.
Voilà à qui nos dirigeants font allégeance. Quant à la Chine qui l’a mis en place, elle a pu bénéficier de retours sur investissement. Alors que les épidémies et pandémies portent très souvent le nom de la région d’où elles proviennent (grippe espagnole, maladies respiratoires du Moyen-Orient, virus du Nil, Ebola (rivière du Congo), etc.), en 2020, à la demande de la Chine, l’OMS de Tedros a forcé le monde à changer le nom de « virus de Wuhan » en COVID, puis on a vu les freins que l’OMS a mis pour les enquêtes sur l’origine du virus.
CONCLUSIONS
Pour moi, de cette crise covid, il y a plusieurs leçons à en tirer pour éviter pire à l’avenir.
Outre le fait que les politiques ne devraient pas décider des soins et devraient laisser les médecins (seuls à avoir l’expérience) libres de traiter, il y a deux autres leçons.
La première est qu’il faut supprimer l’OMS. Le Dr Wolfgang Wodarg, qui sait de quoi il parle, le dit bien : « nous n’en avons plus besoin, les médecins ont tout ce qu’il faut, il suffit de les laisser faire ».Nous avons souffert de décisions politiques aberrantes. Si on laisse faire l’OMS, ce sera pire, les décisions ne seront même plus prises chez nous, on ne sait par qui, sans pouvoir de contrôle par le peuple, base de toute démocratie. Pour les résultats, on a vu que pour le covid ils ont eu tout faux sur l’ampleur de la pandémie, exagérée au départ justifiant des mesures qu’ils ont soutenues et qui se sont toutes avérées inutiles voire néfastes.
D’anciens Français l’ont bien compris avant nous, puisque le Sénat de Louisiane viendrait de voter à l’unanimité un projet de loi interdisant l’application dans l’État des règles et des mandats de l’Organisation Mondiale de la Santé, du Forum économique mondial et de l’ONU !
La seconde, je l’ai déjà écrit ici mais personne d’autre n’en parle : il faut fermer tous les laboratoires de type P3 et P4. Qu’ont-ils apporté à l’humanité ? Pas évident en ce qui concerne le positif, par contre, ce que je sais, c’est que ces laboratoires et leurs chercheurs ont tué 7 millions de personnes dans le monde. Combien en ont-ils sauvés depuis leur création ? N’oublions pas que cette épidémie n’est pas née d’un rapport entre une chauve-souris et un pangolin, mais est sortie d’un de ces laboratoires, probablement celui de Wuhan, mis en place par la France, avec des recherches voulues et financées par les américains sur les gains de fonction, pour rendre transmissibles à l’homme des virus qui ne l’étaient pas. Un jour, avec leurs conneries, ils arriveront à tuer l’humanité. C’est plus grave qu’une bombe atomique, les dégâts ne restant pas localisés mais s’étendant sur la planète entière.
Commentaires
Enregistrer un commentaire